Votre journée en live

pourquoi je connais la derniere photo ?

C'est un roc, c'est un cap, que dis je c'est un cap, c'est une péninsule.

Citation de: Miles Fenne le 01 mars 2012, 22:37

pourquoi je connais la derniere photo ?

Femme idéale.

Citation de: Cigey le 01 mars 2012, 22:39

Horrible putain, on dirait qu'elle s'est pris un camion en courant derrière.
Elle a un air de skrillex avec les photos, c'est encore pire

T'as pas de goûts mec

Tiens en parlant de crush, celle que j'aimais beaucoup est venue me reparler quand elle est venue dans le bus, je suis pas sur qu'elle s'attendait à me voir vu qu'elle a fait un signe de blasage. On a parlé de mes parents qui divorcent, elle semblait dégoutée ce qui est bizarre vu que je pensais qu'elle s'intéressait plus à moi, friend ou whatever.  

Citation de: Carreaux le 01 mars 2012, 22:41

Citation de: Cigey le 01 mars 2012, 22:39

Horrible putain, on dirait qu'elle s'est pris un camion en courant derrière.
Elle a un air de skrillex avec les photos, c'est encore pire

T'as pas de goûts mec

Si, mais pas les mêmes, dsl. C'est une arabe ?

à lire si vous en avez quelque chose à foutre, j'ai cru lire que quelqu'un voulait un compte-rendu ou un truc dans le genre

Spoiler

Je me pointe à Châtelet trop tôt ne voulant pas visiter le centre Georges Pompidou. Je me pose donc dans un coin avec mon fidèle MacBook pour taffer sur RG entre deux épisodes de community. Je reçois un texto riche en émoticones dont la provenance ne fait aucun doute. Amaia m'explique que Gabriel et son fidèle destrier Marion attendent en bas du centre, et qu'eux même ne vont pas tarder à en sortir. Je m'y rends donc, affublé de mes choix vestimentaires injustifiables sous la torture, et je repère de loin un bonnet panda sous lequel se trouve une très belle métisse accompagnée d'un homme au visage cordial qui scrute l'horizon. Je décide de prendre la température en appellant Gabriel pour lui faire croire que je suis bloqué dans les transports et que je pourrais pas venir. Il a l'air de s'en foutre. Je m'avance alors et je sors un gode ceinture de mon sac à main, Marion l'enfile et sodomise sauvagement Gabriel. Ce dernier, souffrant le martyr crie à l'aide, mais les passants, croyant surement à un spectacle itinérant restent indifférents. Nous échangeons ainsi quelques premiers mots timides dus au burlesque de la situation et crachons dans le dos des retardataires ; Amaia a perdu son portable et a dû repartir le chercher. Ils arrivent finalement. Pierre, l'organisateur et hôte et son regard froid et calculateur mais humain. Léo, sa mine sympathique, son visage qui n'est sans rappeler un lion dans la fleur de l'âge, sans aucun doute le pourquoi de son prénom. Et quelques centimètres plus loin et plus bas, Amaia, agile et discrète à la manière de son animal favori.

Après quelques échanges, et des regards curieux vers L'univers de Léo, un magasin de la capitale, nous décidons de nous diriger vers un restaurant Américain comme si c'était un bar, et nous procédons à la commande de boissons respirant la virilité quoi que puissent en dire les envieux

Restés dans cette position pour trop longtemps à mon goût, je décide d'être le mec qui brise l'ambiance en rappelant qu'on doit partir. Regards haineux de la part de mes condisciples. Marion et Gabriel nous abandonnent peu de temps après cet épisode pour aller visiter une école, euphémisme de très mauvais goût pour désigner leurs rapports sexuels rapides et déplaisants. Nous décidons à la suite de ça d'aller chercher le colis à la gare. Amaia nous fait perdre 15 minutes dans un magasin d'huiles (???) dans lequel je manque de faire une attaque. Le fidèle Léo m'en sauve rapidement en prenant la fuite avec moi tel un leveinard au parc safari. Tandis que j'essaie de déterminer les pros et cons d'un saut rapide sur la voie ferrée, Amaia reçoit un appel anonyme. Une voix masquée lui donne une description rapide de la personne qui apportera le paquet. Cette personne arrive. Elle donne le sac et se barre rapidement, ce qui attire le regard soupçonneux de deux agents de sécurité qui posent des questions digne d'un sketch de Dave Chappelle. Nous nous dirigeons alors vers le K-Mart parisien, dirigés par un ami au téléphone, en passant par un magasin de Mangas. Amaia semble fondre devant les denrées, Pierre Léo et Moi nous dirigeons vers les boissons.

Nous finissons par ne rien prendre

Sur la route vers le Louvre, Léo nous fait part de ses connaissances en art => Louvre => Maison => flemme d'écrire a+

Ah ouais tiens d'ailleurs, en rentrant de la gare où on a lâché Fen, j'ai croisé les deux mecs de Very Bad Blagues.