> K_MAS : je donnerais cher pour connaître des gens intéressants comme la fille que tu nous citais là. Les gens qui m'entourent sont si ennuyeux, le pire étant qu'à force je le deviens aussi.
Sinon, jolie phrase de conclusion.
Votre journée en live
Althen
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Castho
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26 février 2012, 19:22
Mais tellement.
Citer
je donnerais cher pour connaître des gens intéressants comme la fille que tu nous citais là.
Mais tellement.
Boumbibthebob
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26 février 2012, 19:23
Faudrait faire un topic ou Lez raconterait toutes ces aventures :')
Maître Renard
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26 février 2012, 19:24
T'inquiètes pas, suffit que Carreaux fréquente des drogués et autres cas sociaux.Citerje donnerais cher pour connaître des gens intéressants comme la fille que tu nous citais là.
Mais tellement.
Althen
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26 février 2012, 19:24
Bah t'as Carreaux déjà. Elle n'est sans doute pas aussi intéressante que l'idéal absolu du caractère "intéressant" d'une personne tel que nous le concevons, mais c'est déjà mieux que le néant que représentent les gens que je côtoie. Et j'imagine qu'il y en a d'autres qu'elle.Citerje donnerais cher pour connaître des gens intéressants comme la fille que tu nous citais là.
Mais tellement.
Castho
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26 février 2012, 19:25
True story, mais j'ai juré le secret absolu.
Justement, je crois qu'elle en connait 2/3 comme ça, faudra qu'elle me les présente.T'inquiètes pas, suffit que Carreaux fréquente des drogués et autres cas sociaux.Citerje donnerais cher pour connaître des gens intéressants comme la fille que tu nous citais là.
Mais tellement.
Bah t'as Carreaux déjà. Elle n'est sans doute pas aussi intéressante que l'idéal absolu du caractère "intéressant" d'une personne tel que nous le concevons, mais c'est déjà mieux que le néant que représentent les gens que je côtoie. Et j'imagine qu'il y en a d'autres qu'elle.Citerje donnerais cher pour connaître des gens intéressants comme la fille que tu nous citais là.
Mais tellement.
True story, mais j'ai juré le secret absolu.
Vieille chatte
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26 février 2012, 19:29
Cette meuf était tout ce qu'il y a de plus banal en surface, si tu ne la connais pas. Elle avait des goûts normaux, en tout, elle était très jolie, mais ne cassait pas trois briques niveau physique.
Si tu grattes un peu la croûte, t'apprends juste qu'elle a eu une vie folle. Je ne lui ai parlé d'abord que parce qu'elle était dans ma classe, sinon jamais je ne lui aurais adressé la parole.
Elle est pleine de bonté, pleine d'enthousiasme, mais elle cache une réelle dépression & je la comprends. Elle était aussi victime de rumeurs, genre salope, lesbienne, droguée, pute, etc (certaines de ces rumeurs étaient vraies, simplement, qu'on te désigne par un trait de ta vie/personnalité, ça peut être blessant). Tout le monde la traitait de menteuse concernant ses histoires, même les profs, c'est peu dire, car elle sortait souvent de classe pour régler ses problèmes. Le souci, c'est qu'elle était bien trop intimiste pour dévoiler aux gens ce qu'elle vivait, & j'étais une des rares personnes envers lesquelles elle avait une pleine confiance.
& vraiment, rien de ce que tout le monde prétendait comme mensonge ne l'était. Cette fille est un aimant à merdes, jamais je n'aurais pu continuer à vivre si j'avais été elle.
Citerje donnerais cher pour connaître des gens intéressants comme la fille que tu nous citais là.
Mais tellement.
Cette meuf était tout ce qu'il y a de plus banal en surface, si tu ne la connais pas. Elle avait des goûts normaux, en tout, elle était très jolie, mais ne cassait pas trois briques niveau physique.
Si tu grattes un peu la croûte, t'apprends juste qu'elle a eu une vie folle. Je ne lui ai parlé d'abord que parce qu'elle était dans ma classe, sinon jamais je ne lui aurais adressé la parole.
Elle est pleine de bonté, pleine d'enthousiasme, mais elle cache une réelle dépression & je la comprends. Elle était aussi victime de rumeurs, genre salope, lesbienne, droguée, pute, etc (certaines de ces rumeurs étaient vraies, simplement, qu'on te désigne par un trait de ta vie/personnalité, ça peut être blessant). Tout le monde la traitait de menteuse concernant ses histoires, même les profs, c'est peu dire, car elle sortait souvent de classe pour régler ses problèmes. Le souci, c'est qu'elle était bien trop intimiste pour dévoiler aux gens ce qu'elle vivait, & j'étais une des rares personnes envers lesquelles elle avait une pleine confiance.
& vraiment, rien de ce que tout le monde prétendait comme mensonge ne l'était. Cette fille est un aimant à merdes, jamais je n'aurais pu continuer à vivre si j'avais été elle.
Cocktail monotone
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26 février 2012, 19:30
Pourquoi c'est Purne et pas Prune?
Althen
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26 février 2012, 19:31
J'ai lu le post de K_MAS, puis celui de Vico, j'ai eu l'impression de chuter vertigineusement. No offense.
Weby
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26 février 2012, 19:32
Prune
Brune
Burne
Purne
Brune
Burne
Purne
Althen
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26 février 2012, 19:32
Anyway, K_MAS, je pense qu'on est tout au courant qu'une personne ne se révèle réellement intéressante que lorsqu'on a gratté le vernis qui tapisse une personnalité en surface. Tu sais ce que cette fille devient?
Vieille chatte
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26 février 2012, 19:38
J'étais sorti avec elle en 1ère S, c'est-à-dire il y a environ 4 ans. Elle avait été dans ma classe depuis le début du lycée. Nous sommes restés en très bon termes après rupture l'année suivante (notre relation amicale était bien plus intéressante qu'une relation amoureuse, selon moi, donc j'ai rompu), même si nous rechutions de temps à autre dans de petites aventures passagères, l'attirance entre nous étant très forte, mais juste à cause de la compassion que nous avions entretenue au fil des années.
Moi j'avais redoublé, elle était en terminale, j'avais une vie chargée, & nous n'étions plus dans la même classe, donc nous avons fini par prendre chacun un chemin différent, tout en restant en contact.
Elle a fini par déménager à MTP pour ses études, en rompant tout contact avec les gens qu'elle connaissait d'Arles, démarrer une nouvelle vie pour oublier toutes les merdes qui lui avaient pourri l'ancienne. Je suis heureux pour elle, elle le méritait, & apparemment sa vie est bien plus stable depuis, d'après les rares informations que j'ai eues à son sujet depuis.
Anyway, K_MAS, je pense qu'on est tout au courant qu'une personne ne se révèle réellement intéressante que lorsqu'on a gratté le vernis qui tapisse une personnalité en surface. Tu sais ce que cette fille devient?
J'étais sorti avec elle en 1ère S, c'est-à-dire il y a environ 4 ans. Elle avait été dans ma classe depuis le début du lycée. Nous sommes restés en très bon termes après rupture l'année suivante (notre relation amicale était bien plus intéressante qu'une relation amoureuse, selon moi, donc j'ai rompu), même si nous rechutions de temps à autre dans de petites aventures passagères, l'attirance entre nous étant très forte, mais juste à cause de la compassion que nous avions entretenue au fil des années.
Moi j'avais redoublé, elle était en terminale, j'avais une vie chargée, & nous n'étions plus dans la même classe, donc nous avons fini par prendre chacun un chemin différent, tout en restant en contact.
Elle a fini par déménager à MTP pour ses études, en rompant tout contact avec les gens qu'elle connaissait d'Arles, démarrer une nouvelle vie pour oublier toutes les merdes qui lui avaient pourri l'ancienne. Je suis heureux pour elle, elle le méritait, & apparemment sa vie est bien plus stable depuis, d'après les rares informations que j'ai eues à son sujet depuis.
Althen
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26 février 2012, 19:41
Bien, bien, j'en suis content pour elle si sa vie était aussi complexe (je ne pense pas que qualifier sa vie de "merdique" serait adapté).Anyway, K_MAS, je pense qu'on est tout au courant qu'une personne ne se révèle réellement intéressante que lorsqu'on a gratté le vernis qui tapisse une personnalité en surface. Tu sais ce que cette fille devient?
J'étais sorti avec elle en 1ère S, c'est-à-dire il y a environ 4 ans. Elle avait été dans ma classe depuis le début du lycée. Nous sommes restés en très bon termes après rupture l'année suivante (notre relation amicale était bien plus intéressante qu'une relation amoureuse, selon moi, donc j'ai rompu), même si nous rechutions de temps à autre dans de petites aventures passagères, l'attirance entre nous étant très forte, mais juste à cause de la compassion que nous avions entretenue au fil des années.
Moi j'avais redoublé, elle était en terminale, j'avais une vie chargée, & nous n'étions plus dans la même classe, donc nous avons fini par prendre chacun un chemin différent, tout en restant en contact.
Elle a fini par déménager à MTP pour ses études, en rompant tout contact avec les gens qu'elle connaissait d'Arles, démarrer une nouvelle vie pour oublier toutes les merdes qui lui avaient pourri l'ancienne. Je suis heureux pour elle, elle le méritait, & apparemment sa vie est bien plus stable depuis, d'après les rares informations que j'ai eues à son sujet depuis.
Vieille chatte
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26 février 2012, 19:57
Si, je te promets, quand il ne t'arrive que des couilles chaque jour au point d'exploser ton portable au sol une fois par semaine à cause de crises d'hystéries ou d'angoisses, je t'assure que c'est une vie de merde.
Attendre chaque jour en sachant pertinemment qu'un truc pas cool va se passer, c'est badant.
Par exemple, lors d'un concert, où tout le monde était enthousiaste, l'ambiance est vite retombée : elle venait d'avoir un coup de fil lui apprenant qu'une de ses amies était maintenue dans un coma artificiel, dans un genre de bocal régénérateur, car elle avait été immolée par le feu par des connards de sa ville. Vois-tu, ça te donne des envies de suicide, & rien que pour son courage, je la respecte.
Attendre chaque jour en sachant pertinemment qu'un truc pas cool va se passer, c'est badant.
Par exemple, lors d'un concert, où tout le monde était enthousiaste, l'ambiance est vite retombée : elle venait d'avoir un coup de fil lui apprenant qu'une de ses amies était maintenue dans un coma artificiel, dans un genre de bocal régénérateur, car elle avait été immolée par le feu par des connards de sa ville. Vois-tu, ça te donne des envies de suicide, & rien que pour son courage, je la respecte.
Althen
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26 février 2012, 19:59
Si, je te promets, quand il ne t'arrive que des couilles chaque jour au point d'exploser ton portable au sol une fois par semaine à cause de crises d'hystéries ou d'angoisses, je t'assure que c'est une vie de merde.Ouh :/ Mais elle vivait où?
Attendre chaque jour en sachant pertinemment qu'un truc pas cool va se passer, c'est badant.
Par exemple, lors d'un concert, où tout le monde était enthousiaste, l'ambiance est vite retombée : elle venait d'avoir un coup de fil lui apprenant qu'une de ses amies était maintenue dans un coma artificiel, dans un genre de bocal régénérateur, car elle avait été immolée par le feu par des connards de sa ville. Vois-tu, ça te donne des envies de suicide, & rien que pour son courage, je la respecte.
Vieille chatte
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26 février 2012, 20:00
Salins-de-Giraud, près d'Arles.
Althen
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26 février 2012, 20:04
Salins-de-Giraud, près d'Arles.Et ça craignait tant que ça? Bah putain. En tout cas oui, comme tu dis elle mérite le respect pour avoir su endurer tout cela stoïquement. Je t'avoue que quand j'ai une petite conne qui vient pleurnicher sur son sort parce que ouin son ex sort avec sa meilleure amie et que ouin personne ne l'aime pour ce qu'elle est mais pour son fric, j'ai comme une envie de la baffer, même si je ne peux pas prétendre avoir vécu des choses particulièrement dures dans ma vie.
Suceur de poste
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26 février 2012, 20:05
j'aurais jamais cru
Par exemple, lors d'un concert, où tout le monde était enthousiaste, l'ambiance est vite retombée : elle venait d'avoir un coup de fil lui apprenant qu'une de ses amies était maintenue dans un coma artificiel, dans un genre de bocal régénérateur, car elle avait été immolée par le feu par des connards de sa ville. Vois-tu, ça te donne des envies de suicide, & rien que pour son courage, je la respecte.t'est un romantique finalement K MAS
j'aurais jamais cru
Nosbar
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26 février 2012, 20:05
Bon c'est soirer vie ma vie ?
J'ai eu la chance de grandir dans un des quartier des plus pourrie de France, en Essonne, dés gamain je savais que c'était pas normal ce qui s'y passait, je voyais des mec rassembler dans le hall avec des fusils à pompe cacher dans un local taper leur raille de CC sur le capot de leurs 205 GTI, des bruit de meuf qui hurlais vers les caves, la nuit je dormais pratiquement pas, quelque fois des coups de feu déchirais le silence suivie de hurlement de douleur parfois juste en bas de ma fenêtre, ma mère pleurait souvent quand ça arrivait mon père maudissait la France en Italien, mes soeurs se cachais sous le lit de notre unique chambre.
Un jours je devais avoir 12 ans, je rentre au collège de la Nacelle à Corbeil-Essonne, et la je découvre la "vie" je me fait taper par des plus grand pour me "former" que je devienne un "ghetto youth thar le zoo" comme ils disaient, je subie ça sans jamais pleurer ou me plaindre j'encaisse, me disant qu'un jours la roue tournera, puis vers mes 14 ans j'ai monter une équipe avec des potes blanc, on est était les "White dragon", on voulait faire comme les grand vendre du shit, baiser des chienne, faire de l'argent par tout les moyens possible, s'habiller avec du G-STAR, des cuirs Red-Skins, chaussure Armanie, bannane Lacoste, on voulait plus aller en cours, donc on s'est rencarder avec des Maroquins, ils étaient grossiste, mais pour les petits ils vendaient aussi des 12 grammes à chrome, pour nous lancer, j'ai vécu de ça pendant 3 ans, puis un jours qui avait débuter comme les autres, j'avais embrasser ma fille en sortant de chez moi, pris mes 25 grammes pour les vendre dans le local, je m'y dirige quand je vois un gros Q7 noir qui passe une vitre qui se baisse avec un mec qui me regarde, j'ai crue c'était un renois mais c'était une cagoule ta 3 mec qui sont sortie matraque téléscopique en main ils m'ont démonter les jambes et le tors, pris tout ce que j'avais sur moi et y en a un qui ma poser un 6.35 sur le front en me disant que si j'appelais les keuf ils savaient ou je vivais, au moment où il se barre 4 camions de CRS qui passe :')
Je me suis barrer les gars on pris très chère au tribunal d'après ce qu'on ma dit y en a un qui a pris 7 ans pour la drogue le flingue et la voiture voler.
C'est ce jours là ou j'ai tout fait pour sortir de ce milieux, je me suis dit que je voulais pas mourir dans ce quartier pourrie d'une balle dans la tête.
J'ai eu la chance de grandir dans un des quartier des plus pourrie de France, en Essonne, dés gamain je savais que c'était pas normal ce qui s'y passait, je voyais des mec rassembler dans le hall avec des fusils à pompe cacher dans un local taper leur raille de CC sur le capot de leurs 205 GTI, des bruit de meuf qui hurlais vers les caves, la nuit je dormais pratiquement pas, quelque fois des coups de feu déchirais le silence suivie de hurlement de douleur parfois juste en bas de ma fenêtre, ma mère pleurait souvent quand ça arrivait mon père maudissait la France en Italien, mes soeurs se cachais sous le lit de notre unique chambre.
Un jours je devais avoir 12 ans, je rentre au collège de la Nacelle à Corbeil-Essonne, et la je découvre la "vie" je me fait taper par des plus grand pour me "former" que je devienne un "ghetto youth thar le zoo" comme ils disaient, je subie ça sans jamais pleurer ou me plaindre j'encaisse, me disant qu'un jours la roue tournera, puis vers mes 14 ans j'ai monter une équipe avec des potes blanc, on est était les "White dragon", on voulait faire comme les grand vendre du shit, baiser des chienne, faire de l'argent par tout les moyens possible, s'habiller avec du G-STAR, des cuirs Red-Skins, chaussure Armanie, bannane Lacoste, on voulait plus aller en cours, donc on s'est rencarder avec des Maroquins, ils étaient grossiste, mais pour les petits ils vendaient aussi des 12 grammes à chrome, pour nous lancer, j'ai vécu de ça pendant 3 ans, puis un jours qui avait débuter comme les autres, j'avais embrasser ma fille en sortant de chez moi, pris mes 25 grammes pour les vendre dans le local, je m'y dirige quand je vois un gros Q7 noir qui passe une vitre qui se baisse avec un mec qui me regarde, j'ai crue c'était un renois mais c'était une cagoule ta 3 mec qui sont sortie matraque téléscopique en main ils m'ont démonter les jambes et le tors, pris tout ce que j'avais sur moi et y en a un qui ma poser un 6.35 sur le front en me disant que si j'appelais les keuf ils savaient ou je vivais, au moment où il se barre 4 camions de CRS qui passe :')
Je me suis barrer les gars on pris très chère au tribunal d'après ce qu'on ma dit y en a un qui a pris 7 ans pour la drogue le flingue et la voiture voler.
C'est ce jours là ou j'ai tout fait pour sortir de ce milieux, je me suis dit que je voulais pas mourir dans ce quartier pourrie d'une balle dans la tête.
Vieille chatte
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26 février 2012, 20:08
Bah c'est isolé, entre la Méditerranée & le Rhône, coupé de toute autre ville par la Camargue. C'est un village de 2000 habitants environ, tout le monde se connait, beaucoup se haïssent. La ville n'est accessible qu'en traversant la Camargue, ou en prenant un bac (la demande de pont n'a jamais été honorée).
Donc oui, ça craint énormément. Les jeunes s'y font chier, certains y sont par dépit. Ca engendre de la violence, de la prise de drogue, des conflits & du grand n'importe quoi. Un flic à cheval a déjà piétiné un gars quelconque en pleine nuit sans que ça dérange personne.
& oui, toutes ces petites putes méritent qu'on tue un de leurs parents.
Donc oui, ça craint énormément. Les jeunes s'y font chier, certains y sont par dépit. Ca engendre de la violence, de la prise de drogue, des conflits & du grand n'importe quoi. Un flic à cheval a déjà piétiné un gars quelconque en pleine nuit sans que ça dérange personne.
& oui, toutes ces petites putes méritent qu'on tue un de leurs parents.
Althen
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26 février 2012, 20:09
J'avoue avoir du mal à appréhender que ce genre d'endroit peut réellement exister. Tu es un extrême, je suis l'autre, j'ai vécu toute ma vie dans un milieu ultra-protégé, banlieue sans histoires pendant mon enfance, où je ne sortais jamais de chez moi et n'avais aucun ami à cause de la paranoïa maladive de ma mère qui sortait de sa Normandie profonde, et ville de bourges pendant mon adolescence, une ville morte, de vieux, où il n'y avait strictement rien à faire. De ma vie, je ne me suis jamais attiré le moindre problème, mais en contrepartie je n'aurais vécu aucune expérience digne d'être retenue.
Suceur de poste
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26 février 2012, 20:11
tu t'est pas pris de balle.
mais sérieux ta raison mec parce que tu perd toujours dans cette putain de spirale et quand t'arrive au centre c'est que t'est soit mort soit tu n'a plus rien d'autre a perdre
mais sérieux ta raison mec parce que tu perd toujours dans cette putain de spirale et quand t'arrive au centre c'est que t'est soit mort soit tu n'a plus rien d'autre a perdre
Vieille chatte
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26 février 2012, 20:14
Justement, ces expériences nous forgent, mais ce n'est pas pour autant qu'on leur est redevables : si nos âmes pouvaient récupérer toute leur innocence, on le ferait directement. Ces malheurs qui arrivent, ces conneries qu'on fait, ce sont plein d'excellents souvenirs, mais ce sont aussi des mémoires qui nous hantent jusqu'à la fin de nos vies, des choses qu'on ne peut pas oublier.
J'avoue avoir du mal à appréhender que ce genre d'endroit peut réellement exister. Tu es un extrême, je suis l'autre, j'ai vécu toute ma vie dans un milieu ultra-protégé, banlieue sans histoires pendant mon enfance, où je ne sortais jamais de chez moi et n'avais aucun ami à cause de la paranoïa maladive de ma mère qui sortait de sa Normandie profonde, et ville de bourges pendant mon adolescence, une ville morte, de vieux, où il n'y avait strictement rien à faire. De ma vie, je ne me suis jamais attiré le moindre problème, mais en contrepartie je n'aurais vécu aucune expérience digne d'être retenue.
Justement, ces expériences nous forgent, mais ce n'est pas pour autant qu'on leur est redevables : si nos âmes pouvaient récupérer toute leur innocence, on le ferait directement. Ces malheurs qui arrivent, ces conneries qu'on fait, ce sont plein d'excellents souvenirs, mais ce sont aussi des mémoires qui nous hantent jusqu'à la fin de nos vies, des choses qu'on ne peut pas oublier.
Suceur de poste
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- 1375 posts
26 février 2012, 20:18
je plussoie le post ci dessus infinimentJ'avoue avoir du mal à appréhender que ce genre d'endroit peut réellement exister. Tu es un extrême, je suis l'autre, j'ai vécu toute ma vie dans un milieu ultra-protégé, banlieue sans histoires pendant mon enfance, où je ne sortais jamais de chez moi et n'avais aucun ami à cause de la paranoïa maladive de ma mère qui sortait de sa Normandie profonde, et ville de bourges pendant mon adolescence, une ville morte, de vieux, où il n'y avait strictement rien à faire. De ma vie, je ne me suis jamais attiré le moindre problème, mais en contrepartie je n'aurais vécu aucune expérience digne d'être retenue.
Justement, ces expériences nous forgent, mais ce n'est pas pour autant qu'on leur est redevables : si nos âmes pouvaient récupérer toute leur innocence, on le ferait directement. Ces malheurs qui arrivent, ces conneries qu'on fait, ce sont plein d'excellents souvenirs, mais ce sont aussi des mémoires qui nous hantent jusqu'à la fin de nos vies, des choses qu'on ne peut pas oublier.
Althen
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26 février 2012, 20:19
Houla, je raconte ma vie.
Je te l'accorde, néanmoins je pense qu'il aurait été préférable pour moi de vivre dans un juste milieu entre les deux, au lieu d'avoir eu droit à l'univers miteux et vide dans lequel j'ai vécu. Je pense d'ailleurs que vivre ainsi, ne voir personne, ne jamais sortir, a pas mal conditionné mon caractère actuel, assez répugné par trop de relations sociales, par les soirées, par les grands groupes de potes, etc. C'est ce que j'essaie tant bien que mal de changer en découvrant des gens intéressants où je peux, mais jusqu'à présent ça ne change pas ma manière d'être, j'ai peur d'être figé, et de devenir inintéressant moi-même, en fait.J'avoue avoir du mal à appréhender que ce genre d'endroit peut réellement exister. Tu es un extrême, je suis l'autre, j'ai vécu toute ma vie dans un milieu ultra-protégé, banlieue sans histoires pendant mon enfance, où je ne sortais jamais de chez moi et n'avais aucun ami à cause de la paranoïa maladive de ma mère qui sortait de sa Normandie profonde, et ville de bourges pendant mon adolescence, une ville morte, de vieux, où il n'y avait strictement rien à faire. De ma vie, je ne me suis jamais attiré le moindre problème, mais en contrepartie je n'aurais vécu aucune expérience digne d'être retenue.
Justement, ces expériences nous forgent, mais ce n'est pas pour autant qu'on leur est redevables : si nos âmes pouvaient récupérer toute leur innocence, on le ferait directement. Ces malheurs qui arrivent, ces conneries qu'on fait, ce sont plein d'excellents souvenirs, mais ce sont aussi des mémoires qui nous hantent jusqu'à la fin de nos vies, des choses qu'on ne peut pas oublier.
Houla, je raconte ma vie.
Chris_TCK
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26 février 2012, 20:19
Sinon, j'ai vécu une vie normale moi, pas une vie de peder droguer blondiner portuger à la lezahna, sale pute va, t'avais qu'à déménager de ton coin paumé, bite.
Vieille chatte
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26 février 2012, 20:21
J'ai sûrement bien plus bougé de partout en quelques années de lyée que ton gros cul de fat gitan ne pourra jamais le faire.
Sinon, j'ai vécu une vie normale moi, pas une vie de peder droguer blondiner portuger à la lezahna, sale pute va, t'avais qu'à déménager de ton coin paumé, bite.
J'ai sûrement bien plus bougé de partout en quelques années de lyée que ton gros cul de fat gitan ne pourra jamais le faire.
Vieille chatte
- Membre
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26 février 2012, 20:21
L'important n'est pas d'où tu viens, mais où tu désires aller.
Je te l'accorde, néanmoins je pense qu'il aurait été préférable pour moi de vivre dans un juste milieu entre les deux, au lieu d'avoir eu droit à l'univers miteux et vide dans lequel j'ai vécu. Je pense d'ailleurs que vivre ainsi, ne voir personne, ne jamais sortir, a pas mal conditionné mon caractère actuel, assez répugné par trop de relations sociales, par les soirées, par les grands groupes de potes, etc. C'est ce que j'essaie tant bien que mal de changer en découvrant des gens intéressants où je peux, mais jusqu'à présent ça ne change pas ma manière d'être, j'ai peur d'être figé, et de devenir inintéressant moi-même, en fait.J'avoue avoir du mal à appréhender que ce genre d'endroit peut réellement exister. Tu es un extrême, je suis l'autre, j'ai vécu toute ma vie dans un milieu ultra-protégé, banlieue sans histoires pendant mon enfance, où je ne sortais jamais de chez moi et n'avais aucun ami à cause de la paranoïa maladive de ma mère qui sortait de sa Normandie profonde, et ville de bourges pendant mon adolescence, une ville morte, de vieux, où il n'y avait strictement rien à faire. De ma vie, je ne me suis jamais attiré le moindre problème, mais en contrepartie je n'aurais vécu aucune expérience digne d'être retenue.
Justement, ces expériences nous forgent, mais ce n'est pas pour autant qu'on leur est redevables : si nos âmes pouvaient récupérer toute leur innocence, on le ferait directement. Ces malheurs qui arrivent, ces conneries qu'on fait, ce sont plein d'excellents souvenirs, mais ce sont aussi des mémoires qui nous hantent jusqu'à la fin de nos vies, des choses qu'on ne peut pas oublier.
Houla, je raconte ma vie.
L'important n'est pas d'où tu viens, mais où tu désires aller.
Chris_TCK
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26 février 2012, 20:22
c bi1
J'ai sûrement bien plus bougé de partout en quelques années de lyée que ton gros cul de fat gitan ne pourra jamais le faire.
c bi1
Nesis
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26 février 2012, 20:23
nosbar t'es un bon gars quand-même