J'étais à la piscine en train de faire bonzette entre deux russes au corps de rêve quand je me suis perdu dans mes pensées : qu'est ce qui me définissait comme individu ? Pleins de choses évidemment, mais l'une d'entre elle souvent oublié c'est la culture. Elle fait de vous un être entouré d'un imaginaire et d'une présence.
Quels ont été vos rencontres avec la culture qui ont votre vision du monde ? Faites une chronologie comme suit
Visuel de la (des) jaquette(s) de l'oeuvre
Ce qu'elle vous a apporté
Et vous faites suivre dans un ordre plus au moins chronologique
Quand la culture a changé votre vie
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Magus
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18 août 2012, 18:36
« Modifié: 18 août 2012, 19:40 par Konrad »
lolimut
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18 août 2012, 18:54
Je ne pense pas que des oeuvres en particulier permettent vraiment de nous définir. À moins d'oeuvres engagées (1984, V pour Vendetta...) qui peuvent faire naître en toi des convictions politiques, c'est plus un ensemble d'oeuvres qui définit ta personne, ton imaginaire, ta perception de l'univers. Je ne me suis que rarement trouvé dans une situation où je me suis dit "tiens, ça me rappelle tel livre, tiens, ça me rappelle tel film".
Personnellement la plupart de ma culture est vidéoludique, et depuis quelques années j'aime me balader dehors et me poser des questions sur l'existence de tout un tas de choses : comment ce bâtiment a-t-il été bâti ? pourquoi ce chêne a cette forme singulière ? que regardait cet écureuil avant de rentrer dans son arbre ?...etc. Ça a fait naître en moi une sorte de curiosité à propos de tout ce qui m'entoure. Pourtant je ne saurais pas dire quel jeu a déclenché ça, je pense que c'est un tout. Il en va de même pour le reste de la culture.
Personnellement la plupart de ma culture est vidéoludique, et depuis quelques années j'aime me balader dehors et me poser des questions sur l'existence de tout un tas de choses : comment ce bâtiment a-t-il été bâti ? pourquoi ce chêne a cette forme singulière ? que regardait cet écureuil avant de rentrer dans son arbre ?...etc. Ça a fait naître en moi une sorte de curiosité à propos de tout ce qui m'entoure. Pourtant je ne saurais pas dire quel jeu a déclenché ça, je pense que c'est un tout. Il en va de même pour le reste de la culture.
valentin buck
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18 août 2012, 19:58
Ca m'a permis de comprendre la société et montré qu'on ne pouvait blâmer personne des maux dont elle souffre car nous en sommes tous coupables et innocents. Avec son anti-manichéisme extrême la série justifie et condamne, et montre les faiblesses de la société, du système, de la morale et de l'Homme lui-même.
Ceux qui ne prévoient pas de la regarder dans un futur proche sont des petits fils de putes à qui on devrait interdire toute parole et pensée politique.« Modifié: 18 août 2012, 20:02 par Balthazar »
Ca m'a permis de comprendre la société et montré qu'on ne pouvait blâmer personne des maux dont elle souffre car nous en sommes tous coupables et innocents. Avec son anti-manichéisme extrême la série justifie et condamne, et montre les faiblesses de la société, du système, de la morale et de l'Homme lui-même.
Ceux qui ne prévoient pas de la regarder dans un futur proche sont des petits fils de putes à qui on devrait interdire toute parole et pensée politique.
Vassily Kandinsgruy
- Membre
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18 août 2012, 20:02
Pourquoi ? Pas besoin de regarder une série pour savoir ça ahah.
Ceux qui ne prévoient pas de la regarder dans un futur proche sont des petits fils de putes à qui on devrait interdire toute parole et pensée politique.
Pourquoi ? Pas besoin de regarder une série pour savoir ça ahah.
valentin buck
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18 août 2012, 20:04
ui mais toi t'es dieu alors voilo
Vassily Kandinsgruy
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𝑻𝒚𝒆𝒍
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18 août 2012, 20:36
Je ne m'étais jamais tant intéressé à la culture de l'individu qu'après la lecture de ce "siège des conventions des usages sociaux" inhérent à la plénitude des strates de l'avatar du plan individuel de la pensée de l'homme comme valeur intrinsèque. En plaçant l'Homme en tant qu'âme suis generis à elle-même plutôt que de le désigner comme un groupe d'individus (société), ce livre a fait voler en éclat les frontières de l'appréhension et s'est incarné comme un tremplin vers mon "historiosophie de l'Homme", précurseur à ma lecture de Stirner qui a joué le rôle indigent de bouche-trou à mes bases de l'époque puisqu'il me fallait un palier sur lequel poser mon échelle.« Modifié: 18 août 2012, 20:38 par Senoses »
Je ne m'étais jamais tant intéressé à la culture de l'individu qu'après la lecture de ce "siège des conventions des usages sociaux" inhérent à la plénitude des strates de l'avatar du plan individuel de la pensée de l'homme comme valeur intrinsèque. En plaçant l'Homme en tant qu'âme suis generis à elle-même plutôt que de le désigner comme un groupe d'individus (société), ce livre a fait voler en éclat les frontières de l'appréhension et s'est incarné comme un tremplin vers mon "historiosophie de l'Homme", précurseur à ma lecture de Stirner qui a joué le rôle indigent de bouche-trou à mes bases de l'époque puisqu'il me fallait un palier sur lequel poser mon échelle.
Aurelgadjo
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19 août 2012, 17:27
culture ou savoir ?
Vieille chatte
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19 août 2012, 17:57
Un ensemble d'oeuvres peut me marquer, mais il est très rare qu'une seule oeuvre puisse me dérouter au point de changer ma vision des choses. Des courants plutôt, en particulier ceux de l'expérimental, du trip-hop, du Nouveau Théâtre, de la littérature américaine, de l'entre-deux-guerres, du cinéma horrifique, de la culture entourant les sound-systems, du psychédélisme en général, de l'abstract hip-hop, & j'en passe.
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