20 octobre 2011, 19:44
Allez, parce que ce sont toujours les mêmes qui se tapent le boulot
Un policier arrête un automobiliste qui vient de brûler un stop.
- Puis-je voir votre permis de conduire s'il vous plaît ?
- Il y a un problème ?", Réplique le conducteur faussement étonné.
- Vous venez de franchir un stop sans vous arrêter...
- Allez, y'avait pas une voiture à trois kilomètres à la ronde ! reprend l'interpellé.
- Vous devez marquer un temps d'arrêt, regardez des deux côtés et repartir avec prudence, explique l'agent. "Montrez-moi votre permis !"
- Vous n'avez vraiment que ça à faire, m'ennuyer pour si peu. Vous ne pourriez pas vous occuper de la sortie des écoles plutôt...
- Monsieur, montrez moi vos papiers et j'oublierai votre dernier commentaire, reprend le policier imperturbable.
- Bon d'accord, accepte finalement l'automobiliste, mais d'abord vous allez m'expliquer la différence entre ralentir et marquer un temps d'arrêt ?
Le policier perd alors quelque peu son sang froid, attrape le conducteur par le cou et commence à le tabasser à coups de matraque sur la tête.
Il dit : Alors maintenant, Monsieur, vous souhaitez me voir ralentir ou marquer un temps d'arrêt ?
Le garde-champêtre aperçoit un baigneur dans la rivière et il lui crie :
- Vous n'avez pas vu la pancarte ? C'est défendu de nager ici !
Et l'autre, qui gigote comme un forcené, réussit à répondre :
- Je nage pas ! Je me noie !
- Ah bon ! dit le garde-champêtre. Alors, faîtes, faîtes !
C'est un avocat qui fait le contre-interrogatoire d'un médecin pathologiste lors d'un procès. Le but de la manœuvre est d'établir avec certitude l'heure de la mort...
L'avocat:
- À quelle heure avez-vous examiné la victime?
Le médecin:
- Vers 22 heures...
L'avocat:
- Et la victime était morte à cette heure... Nous sommes d'accord?
Le médecin (avec une grimace):
- Non. L'homme était assis sur la table et me demandait pourquoi j'allais l'autopsier.
Pourquoi les poètes ne se font jamais incinérer ?
De peur de ne plus pouvoir faire de vers après leur mort.
Un p'tit est nouveau à l'école, la maîtresse lui demande son prénom mais il ne le dit pas. La maîtresse lui demande :
-Où est ta maman ?
-Elle est passée sous un tracteur
-Où est ton papa ?
-Il est passé sous un tracteur
-Où sont tes frères et sœurs ?
-Ils sont passés sous un tracteur
-Et toi en attendant où étais-tu ?
-Moi j'étais sur le tracteur !
Et parce que j'ai envie de ressortir une blague déjà postée, voilà le final:
Le président du tribunal : Madame, voudriez-vous nous dire votre âge ?
La gentille vieille dame : Bien sûr. J'ai 91 ans.
Le président du tribunal : Voulez-vous nous dire, sans vous contrarier, ce qui vous est arrivé ?
La gentille vieille dame : J'étais assise devant chez moi, sous la tonnelle. C'était un soir de Printemps, il faisait bon. Un jeune homme s'est approche furtivement et il est venu s'asseoir auprès de moi.
Le président du tribunal : Le connaissiez-vous ?
La gentille vieille dame : Non, mais je l'ai trouvé très sympathique tout de suite.
Le président du tribunal : Qu'est-il arrivé ensuite ?
La gentille vieille dame : Il a commence à me caresser la cuisse.
Le président du tribunal : Et vous ne l'avez pas interrompu ?
La gentille vieille dame : Non, Monsieur le juge.
Le président du tribunal : Et, pourquoi donc ?
La gentille vieille dame : Ben, c'était agréable. Personne ne m'avait fait ça depuis la mort de mon Grégoire, il y a trente ans de cela.
Le président du tribunal : Et ensuite ?
La gentille vieille dame : Il a commencé à me caresser les seins.
Le président du tribunal : Lui avez-vous dit d'arrêter ?
La gentille vieille dame : Non, pas du tout.Le président du tribunal : Pourquoi, ça ?
La gentille vieille dame : Ben, Monsieur le juge, ses caresses m'ont fait revivre.
J'étais excitée. Je ne m'étais pas sentie aussi bien depuis des lustres.
Le président du tribunal : Et ensuite ?
La gentille vieille dame : Bon, je me sentais tellement sexy que j'ai écarté mes vieilles jambes et que je lui ai dit : "Prenez-moi, jeune homme, prenez-moi!"
Le président du tribunal : Qu'a-t-il fait alors ? Vous a-t-il prise ?
La gentille vieille dame : Nom de dieu, bien sûr que non ! Il s'est mis à gueuler "Poisson d'avril !" En ricanant comme un con. Et c'est là que je l'ai descendu, ce petit enfoiré...