Adopter un vieux tas

Je me demande si c'est légal, franchement ça me paraît pas impossible.

Regardez, un vieux con, Jacques, 53 balais et fan de nursing, son fantasme c'est d'être un gros bébé et que sa mémère s'occupe de lui jour et nuit.

Il lurk sur le net et il tombe sur une une petite poulette, Noémie, 24 ans. Un vrai canon la meuf, typée latina aux formes aguicheuses, un peu dans ce genre : http://4.bp.blogspot.com/-7K98-oz7w-g/UB7oATDYnOI/AAAAAAAAHDc/v--cJC3_0VA/s1600/hispanic_teen_headshot_ohbi.jpg
Gros coup de bol pour Jacques la meuf est elle aussi fan de nursing et adore prendre le rôle de la mère.

Ils décident de se rencontrer et de pousser le concept à son paroxysme et ils se rencontrent IRL, et Noémie adopte Jacques pour devenir sa mère officiellement.

Le fantasme du gros Jacques est porté au pinacle. Ce gros porc libidineux rentre du taf en même temps que Noémie et il se la prend violemment sur la table-basse du salon et enfourne son gros appendice fangeux dans le coquillage pur et nacré et cette bombasse exotique que tout le monde voudrait se taper, il la vicie comme un lépreux dévoyé.

Une fois son affaire bouclée place au nursing, Jacques se fout à poil s'il l'était pas déjà et se fout dans sa couche king size pour les vieux incontinents dégueulasses et s'enfile dans tous ses accessoires de bébé taille adulte, hochet, tétine et peluche de gamin et se fout dans son parc pour bébé spécialement foutu là pour lui.

C'est là que ça commence, il reste là affalé comme un gros étron qui flotte dans la cuvette et commence à geindre pour que Noémie vienne s'occuper de lui. Elle lui fait un câlin et lui chante un truc débile pour qu'il s'endorme, puis viens l'heure de bouffer. Et Jacques à faim, alors il se met à chialer comme un enculé, à geindre et à réclamer sa becquée, alors Noémie le console et lui ramène des petits pots Blédina totalement à gerber qu'elle lui fait manger à la cuiller, pendant qu'il bave, qu'il avale pas et qu'il en fout partout comme un gros dégueulasse. Puis elle lui fera des petites tapes dans son dos gras, nu et vérolé pour qu'il lâche un rot pestilentiel au parfum de fond de cachot qui tuerait un cadavre.

Après le repas c'est pas fini, elle ramène le gros Jacques dans son pa-parc où il commence à faire des micro siestes et à jouer avec ses jouets pendant qu'il digère. Et enfin il démoule son gros cake aux quatre chocolats dans un bruit de pet liquide, un torrent flasque et corrosif qui se répand dans sa couche pour engluer son cul et ses parties de sa vieille perde jusque dans son prépuce.

Noémie est aux anges, enfin elle peut changer la couche de son petit chéri ! Alors elle va en chercher une neuve et revient vers lui, ouvre sa couche sale et lui redresse les jambes pour le torcher avec un gant de toilette humide. Jacques a la chance d'avoir un transit plutôt facile et lâche de gros pets débectant par intermittence, et Noémie, enjouée : "Eh bien eh bien, on a des problèmes ? C'est bien mon petit, c'est pas facile tout le temps la vie, hein ?", avec de grands yeux humides, elle affiche un large sourire.

Elle a bien passé et repassé son gant jusque dans la prostate de ce véritable bauge humain pour lui essuyer sa soupe vaseuse, alors elle lui talc mainte ses grosses fesses creusées de goret répugnant et lui enfile sa nouvelle couche.

Maintenant c'est l'heure d'aller se coucher, alors elle traîne son fils adoré jusque dans son lit à barreaux où le gros Jacques pourra baragouiner des "areuh areuh" pitoyables pour attendrir sa petite Noémie qui l'embrasse sur le front avant d'allumer la veilleuse.
Demain le gros Jacques devra se lever tôt pour aller bosser, mais demain c'est demain.

Après avoir couché son nouveau fils la petite Noémie passe la soirée en solitaire à se fister la moule devant le PC du salon, parce que cet après-midi ça lui a pas suffit. Elle se masturbe jusqu'à n'en plus pouvoir sur des vidéos pédophiles, parce que c'est ça qu'elle aime, le nursing n'était pas capable à lui seul d'étancher sa soif de sexe interdit.

Demain elle aussi elle devra se lever tôt pour aller bosser, mais demain c'est demain.