je poste ici une hypothèse sur les différents aspects de la vie d'une pokémon (en l'occurrence Gobou), de manière la plus réaliste et cohérentes possible. Je ne doute pas qu'il y aura beaucoup de chose à améliorer pour ce coup d'essais, je compte sur vous pour m'aider à progresser sur le fond comme sur la forme.
Prologue
Ce Rapport prend comme point de départ les informations relevées sur l’espèce de Pokémon Laggron et ses stades juvéniles par le Professeur Seko et son équipe. L’intégralité des travaux du Professeur Seko et de son équipe est disponible dans l’ouvrage « Espèces d’Hoenn ». Publication majeure rapportant l’inventaire des pokémons présent sur Hoenn et les connaissances relatives à leur sujet collectées auprès des habitants et observées par l’équipe de recherche. Ces travaux précèdent la création du pokédex d’Hoenn et la reconnaissance des espèces locales dans les Pokédex internationaux.
Concernant le pokémon Laggron : l’article présente sa ligné évolutive, la description physique complète des différents stades et différentes planches zoologique lui son consacrée. Après étude de ses capacités l’équipe de recherche le classe comme de type Eau/Sol excepté le stade juvénile qui est considéré comme uniquement aquatique.
L‘espèce est rattachée à la famille Poissonboue donc ils sont les seuls représentants.
L’article ne fait en revanche pas mention de la répartition de ces pokémons, ni de leur comportement à l’état sauvage. En effet l’étude ayant pour but de mener un inventaire le plus complet possible les auteurs ont eu recours à des spécimens provenant d’élevage pour les Pokémons traditionnellement proposés aux débutants dans la région.
Il est à noter que le sexe ration relevé par l’équipe mis en évidence pour cette espèce est fortement déséquilibré avec 87,5% de mâle pour 12,5% de femelle soit 1 femelle pour 5 mâles mais n’explique pas la raison de ce déséquilibre.
Autant de questions auxquelles l’étude va essayer d’apporter des réponses.
Aire de répartition
Le réseau fluvial de Hoenn étant assez pauvre. Les fleuves plutôt court et étroit rendent difficile la présence en nombre d’un pokémon ayant les mensurations de Laggron
Laggron est donc une espèce fréquentant un marais maritime. Hors si Hoenn est pauvre en rivière, elle offre un littoral étendu et une grande quantité d’iles. Il y en a une par contre qui retient l’attention, car elle est susceptible d’apporter tout ce qu’il faut à notre poisson boue. Il y a donc tout lieu de penser qu’il vit sur cette île, il en est même certainement endémique.
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Biotope
J’ai affirmé plus haut que cette ile avait tous ce qu’il fallait, en premier tout d’abord un beau marais boueux. En effet tout est réuni pour la formation d’un marais sur cette ile.
Seul un de ces coté est face à l’océan et soumis à des courants forts (représenté par des flèches bleues sur la carte). Les ¾ de ces cotes s’ouvrent sur des bras de mer.
Dans les bras de mers en revanche le courant est très faible car à part un petit fleuve et les marées rien n’est susceptible de générer un fort courant. Résultat de ce courant faible les sédiments se déposent au font y compris sur les zones qui seront émergées à marée basse. Ces zones peuvent être très importantes s’il n’y a pas de relief. (Zone marécageuse représenté en rouge sur la carte)
Cette partie d’Hoenn étant plutôt végétaliser, des espèces d’arbres ont dû s’adapter à ce type de milieu, formant une mangrove offrant protection et nourriture à tous un tas de pokémons.
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Le climat y est généralement clément.
Le printemps peux se révélé pluvieux, mais reste plutôt calme. L’été est chaud et humide, les températures grimpent régulièrement à plus de 30°C et l’humidité peux se révélé étouffante. Les orages et tempêtes alimenté par l’océan vienne régulièrement mourir sur cette cote. L’île offrant une protection à la métropole de Lavandia des risques de vents violent et d’inondations.
Enfin l’automne voit les températures flanchées et offre une douceur qui continueras avec un hiver peu rigoureux marqué uniquement par quelque vague de fraicheur avec une température d’une douzaine de degré.
Nidification
La femelle Lagroon prépare son nid seul et à marée haute. Elle se choisit un arbre dans la mangrove relativement loin dans les terres. Elle en brise les racines méthodiquement de manière à former une petite chambre entre les racines immergées de l’arbre. Elle s’attelle ensuite à la construction d’un barrage circulaire autour de la chambre, les racines servant de support à un amas de roche, de bois mort et de boue.
La femelle pondra ensuite dans la chambre remplie d’eau entre 90 et 120 œufs avant de recouvrir l’ouverture de branchage. Une fois le nid camouflé, la femelle ne s’occupera plus de sa ponte. Les Œufs et les petits seront dorénavant livrés à eux-mêmes.
Œufs
Les œufs ont la forme d’une sphère d’environ 35mm de diamètre, transparente elle laisse apercevoir l’embryon sous la forme d’une petite bille foncé en son centre.
Elle est recouverte de mucus un peu collant, mais donc le principale intérêt est de contenir des antifongiques et des antibiotique pour protéger l’œuf des maladies. Il ralentit un peu les pertes d’eau si l’œuf se retrouve hors de l’eau. Cependant il n’offre qu’une protection temporaire et si l’œuf est accroché trop haut il finira par mourir de déshydratation.
Incubation
La température à l’intérieur du nid n’est pas forcément stable elle est dicté par les mouvements d’eau et les variations de température de celles-ci en fonction des talents de bâtisseuse de la femelle Lagon. La croissance des œufs varie en fonction de la température.
En dessous de 10°C les œufs meurs Entre 10 et 15 °C ils rentrent en léthargie, leur développement étant alors stoppé. Cependant après un certain stade de développement cette léthargie ne peut être maintenue indéfiniment, l’embryon finissant par mourir.
La température optimale de développement se trouve entre 20 et 30°C. La durée d’incubation totale est d’environ 45 jours (un peu moins si les températures sont clémente, un peu plus si les températures sont fraiche)
Enfin si les températures dépassent les 40°C dans le nids les œufs risquent un coup de chaleur fatale
Durant les 2 premiers jours l’embryon ne fais que grossir par division cellulaire.
Puis pendant 6 jours des modifications cellulaires internes vont opérée la cartographie du corps va être mis en place, le système nerveux va commencer à apparaitre
L’embryon va ensuite tendre vers la forme d’un haricot, qui va s’allongé pour former le corps du futur Gobou.
Au bout de 14 jours on peut voir les branchies apparaitre.
Les pattes commence à se développé aux bout de 20 jours, puis les nageoires à partir du 23 ème jour.
A partir du 40ème jour le petit Gobou est parfaitement formé. Il restera cependant dans l’œuf tant qu’il restera du liquide vitellin pour le nourrir. Finalement vers le 45ème jour le petit sortir de son œuf.
Impact des températures sur le sex-ratio
Attardons nous un moment sur la phase de déterminisme du sexe dans l’œuf. On l’a vu le sex-ratio de l’espèce est fortement déséquilibré, les mâles étant largement plus nombreux (5 mâles pour une femelle).
Les températures estivales sont probablement une cause importante de ce phénomène. En effet il existe des chromosomes sexuels chez Laggron. Il s’agit d’un système ZW (par opposition au notre qui est XY). Mais lors de l’incubation des œufs les températures peuvent influencer le sex-ratio en provoquant notamment l’apparition de mâles portant un génome femelle.
Trois cas de figure sont possibles.
- Le cas Mâle
L’œuf porte un génome mâle (ZZ). Les chromosomes Z et notamment le gène DMR1 codant la sécrétion d’androgène, notamment de testostérone. L’embryon répond à ces androgènes en se développant en mâle. Ici la température n’influe pas sur le développement de l’œuf.
- Le cas Femelle
L’œuf porte un génome femelle (ZW). Le chromosome Z entraine la production de testostérone par l’action du gène DMR1 comme précédemment. Le Chromosome W, par le biais du gène DM-W qui lui est propre, va enclencher la sécrétion d’une enzyme : l’aromase. Cette enzyme va agir sur la testostérone pour la transformé en un œstrogène l’œstradiol. L’embryon se développera alors en femelle. Mais pour que cette réaction puisse se faire il faut que les températures restent sous la barre des 30°C durant la phase de déterminisme sexuelle
- Le cas Néomâle
L’œuf port le génome femelle (ZW). Les deux chromosome sécrètent leur hormone respective. Mais les températures sont trop hautes, l’aromase est dégradé et ne peux plus réagir avec la testostérone. Cette testostérone va provoquer le développement de l’embryon en mâle viable et fertile.
Or on a vu que les températures estivale peuvent largement dépasser les 30°C, même dans un abri. Les naissances estivales donnant presque exclusivement des mâles. Les femelles naissant donc soit au printemps, soit en automne. Les températures hivernales sont peu propices aux naissances, même si on peut observer quelque pontes, les œufs restent généralement en léthargie jusqu’aux débuts du printemps.
Le Stade Larvaire : Gobou
Après l’éclosion nous avons laissé nos Gobou tous juste venu au monde à l’intérieur des nids.
Pour survivre les jeunes larves doivent absolument réussir 2 choses. Premièrement grandir car à la naissance les petits font à peine 5cm à la naissance et avec cette taille on ressemble à un amuse-bouche pour pas mal de monde. Deuxièmement sortir du nid fortifié sous peine de finir par mourir de faim.
Les petits vont quand même profiter de leur abri aussi longtemps que possible, Ils vont commencer par manger ce qui reste de leur œuf. Puis manger les œufs qui n’ont pas éclos (œufs non fécondé, mort nés, déshydratés), ils vont aussi chercher tous les végétaux présent entre les racines de leurs arbre. Lors que la nourriture va commencer à manquer, les petits chercheront à sortir. En fonction des nids, ils peuvent soient cherché à grimper pour traverser les branchages qui le recouvre. Soit trouvé un endroit ou le flux et le reflux des marées à commencer à troué les parois de boue. En cas de besoin les petits sont déjà capable d’envoyé un petit jet d’eau sous pression.
Une fois dehors les petits resteront groupées, ils progresseront toujours à proximité des racines des arbres de manière à pouvoir y plongé aux moindres dangers. La recherche de nourriture reste individuelle et il faut parfois s’éloigner un peu pour trouver quelque chose à manger. Ca morphologie lui permet d’être aussi à l’aise dans l’eau que dans le marais qui s’étend à marée basse. Les entrelacements de racines offrant une protection contre les animaux plus gros.
Les Gobous sont des animaux diurnes, ils sont de nature un peu curieuse et joueuse mais reste prudent. Etant naturellement grégaire, il se laisse assez facilement apprivoiser une fois capturer, le dresseur remplaçant alors son groupe de frères et sœurs.
Les Gobous sauvages partagent leurs existences entre ces trois activités principales : le jeu, la recherche de nourriture et le repos à l’abri des prédateurs. Et ces prédateurs peuvent se révéler nombreux. Les Tentacool évitent de s’enfoncer dans les racines des arbres mais elles sont tout à fait capables d’attraper et d’empoisonner rapidement un petit Gobou. Les Goélise et les Békipan prélèvent eux aussi leur lot d’imprudent. Mais celui qui fait le plus de dégât se sont les bandes de Carvanha, équipé de solides mâchoires ils peuvent se montré effroyablement efficace à marée haute.
Mais Gobou de quoi se nourrit-il ? Et ben c’est un opportuniste qui va manger un peu tout ce qu’il trouve. Il va brouter des algue, manger des fruits tomber à l’eau, chasser les insectes à sa taille ou bien fouiller la vase à la recherche des organismes qui s’y cache (avec parfois des surprise). Il n’est pas contre s’occuper des carcasses des malheureux qui se sont fait piéger par le reflux de la marée.
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« Good Morning Mudkip » - Phycofox : Déviant art
La morphologie de Gobou est adaptée à son mode de vie aquatique et terrestre : Ses poumons lui permette de vivre hors de l’eau mais ses branchies ne l’oblige pas à remonter chercher de l’air. Sa peau sécrète un mucus visqueux afin d’éviter la déshydratation, la peau est très fragile ainsi le mucus contient aussi différente enzymes aidant à sa protection et à sa cicatrisation. La peau est renouvelée d’un bloc lors d’une mue intégrale, cependant l’exuvie est souvent fragmentée quand le pokémon cherche à s’en défaire. En règle général elle sert également de repas.
La nageoire sur la tête est sensible aux différences de pressions, lui permettant de fuir les prédateurs potentiels. Ses pattes sont situé sous son corps lui permettant de patauger dans la vase sans ce que ses branchies ne soit abimer. Ses branchies sont d’ailleurs plutôt rigides et son protéger un une fine peau perméable. La queue est également pourvue d’une nageoire servant à la locomotion, elle fait office de gouvernail quand le gobou nage sous l’eau. Les pieds sont légèrement palmés. Facilitant la nage et limitant l’enfoncement dans la vase.
Le Stade Sub-adulte : Flobio
Après plusieurs mois à arpenter la mangrove pour se nourrir et grossir Gobou arrivera à une taille critique d’environ 40-45cm, pour un poids pouvant atteindre 600 grammes (Je sais on est très loin des 7.6 kg annoncé du pokédex mais c’est plus lourd que le chat moyen alors qu’il est carrément plus petit).
Le corps du Gobou va alors se préparer à l’évolution, Notamment par le développement des os du bassin et l’augmentation musculaire des pattes arrière. Cela peut entrainer une petite gêne lors des déplacements.
L’évolution survient véritablement lors de l’acquisition de la station « debout » caractéristique de cette phase. Suivi assez rapidement par une poussé de croissance pendant laquelle le tout nouveau Flobio va être doté d’un appétit d’ogre.
La nageoire caudale voit sa croissance stopper, régresser puis disparaitre après quelque mue. Deux Nageoires dorsale prennent le relais. Malgré le fait qu’elles traversent la peau à deux endroits différents elles possèdent une racine commune. Comme pour Gobou elles sont équipées de capteur de pressions indiquant au pokémon la présence de mouvement dans son dos.
Les pattes avant s’allongent et se musclent permettant de se défendre plus facilement et de chasser de plus grosse proie.
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Lorsque ces changements s’achèvent notre jeune Flobio mesure dans les 60cm et pèse une petite dizaine de kilos. En l’espace des 6 à 7 semaines que dure le processus totale de l’évolution de Gobou en Flobio celui-ci aura multiplié sont poids par 12.
A la fin de cette poussé de croissance les Flobio se trouve un abri ou s’enterre dans la boue entrant dans une phase de repos, dormant beaucoup et pouvant jeune plusieurs jours. La croissance n’est cependant pas stoppée mais elle est plus lente et continu.
Afin de fournir l’énergie nécessaire à cette croissance Flobio va manger plus et plus gros. Il conserve un régime omnivore en consommant es feuille et des fruits, mais dorénavant la chasse est ouverte et pour chasser il faudrat parfois aller s’aventurer dans les bras de mers. Les pokémon poisson n’ont cas bien se tenir : Magicarpe, Carvanha, Hypotrempe tous sont susceptible de finir dans l’estomac du poisson boue nouvelle version. Seul les Tentacools s’en sortent bien, leur piètre valeur nutritive ne vallent pas le risque de se faire empoisonner. Enfin un Goélisse inexpérimenté ou affaiblit permet d’apporter un peu de viande rouge au menu.
Il faut cependant ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre et s’attaquer à plus gros que soit peut faire basculer du statut de chasseur à chasser, car la plupart des carnivore plus gros que lui sont susceptibles d’un faire leur repas. Dans les airs il faut noter que les Békipan n’hésiteront pas à s’attaquer à un jeune Flobio.
L’évolution s’accompagne également de grands changements comportementaux. Le jeune flobio s’est en effet isolé du groupe pendant son évolution. Il va vivra son adolescence, en solitaire, ou en groupe réduit de deux ou trois individus. Ils ne s’établissent pas sur un territoire mais vagabonde dans la mangrove à la recherche de nourriture pour grossir. Avec l’âge, le pokémon cherchera à se faire accepter par un groupe de Laggron.
Le reste n'est pas encore rédigé. en effet je n'aie pas encore parlé de Laggron. pareil j'ai pas encore traité le cas des shynei, ni de la Méga-forme, ni de la reproduction, ni de la classification enfin bref il y a encore des chose à dire.