GRAND REPERTOIRE DES THEORIES
Ici seront stocké toutes les théories que les membres ont posté, que ce soit celle du concours ou celle que vous pourrez écrire spontanément pour ensuite les poster ici.
Tout est trié par auteur. N'hésitez pas à émettre votre avis sur tout ce joyeux bordel.
ANSWER
Arceus, Dieu ou dieu ?
Sujet:
Depuis la quatrième génération, un nouveau Pokémon est apparu, créant la polémique: Arceus.
Basically I'm the class
Décrit comme "sorti d'un oeuf" et "apparu du néant", créateur du monde de profession, il semble être l'échelon ultime du Pokémonde. Mais est-ce vrai pour l'Arceus tel que nous le connaissons?
Les plus attentifs remarqueront qu'Arceus est décrit comme ayant "mille bras". Ok. Soit je suis myope, soit les dessinateurs sont des fainéants, soit Arceus est incomplet. Sur l'artwork ci-dessus, nous remarquons une théorie intéressante, à savoir que son "disque" est cassé.
Alors que penser? Une prochaine version d'Arceus sera-t-elle disponible dans un avenir plus ou moins proche? Ou bien les développeurs laisseront-ils planer le mystère?
Une autre vision des choses et disponible. Voyez le disque d'Arceus, on remarque très nettement des pics faisant penser à des rayons. Arceus serait-il le Dieu du Soleil? La couleur de son disque, dorée, ainsi que la forme de celui-ci, laisse présager une certaine liaison.
Il est bon de rappeler que, dans l'Antiquité (et même avant), le Soleil était toujours associé à une divinité majeure (Appolon, Râ....)
Ainsi, Arceus serait le Pokémon représentatif de la Lumière, il est donc logique de penser qu'il viendrait du néant, car, sans Lumière, rien n'existe à proprement parler.
Une petite parenthèse s'impose sur Pyrax, la mite de feu représentant elle aussi le Soleil pour une antique civilisation (bâtisseuse du Château Enfoui). D'après moi, Pyrax représenterait la chaleur du Soleil, de par son type Feu. Il est donc la manifestation des bienfaits directs du Soleil, la manifestation d'Arceus se faisant sur un plan plus symbolique, plus magique.
Arceus, Dieu ou dieu?
Depuis la quatrième génération, un nouveau Pokémon est apparu, créant la polémique: Arceus.
Basically I'm the class
Décrit comme "sorti d'un oeuf" et "apparu du néant", créateur du monde de profession, il semble être l'échelon ultime du Pokémonde. Mais est-ce vrai pour l'Arceus tel que nous le connaissons?
Les plus attentifs remarqueront qu'Arceus est décrit comme ayant "mille bras". Ok. Soit je suis myope, soit les dessinateurs sont des fainéants, soit Arceus est incomplet. Sur l'artwork ci-dessus, nous remarquons une théorie intéressante, à savoir que son "disque" est cassé.
Alors que penser? Une prochaine version d'Arceus sera-t-elle disponible dans un avenir plus ou moins proche? Ou bien les développeurs laisseront-ils planer le mystère?
Une autre vision des choses et disponible. Voyez le disque d'Arceus, on remarque très nettement des pics faisant penser à des rayons. Arceus serait-il le Dieu du Soleil? La couleur de son disque, dorée, ainsi que la forme de celui-ci, laisse présager une certaine liaison.
Il est bon de rappeler que, dans l'Antiquité (et même avant), le Soleil était toujours associé à une divinité majeure (Appolon, Râ....)
Ainsi, Arceus serait le Pokémon représentatif de la Lumière, il est donc logique de penser qu'il viendrait du néant, car, sans Lumière, rien n'existe à proprement parler.
Une petite parenthèse s'impose sur Pyrax, la mite de feu représentant elle aussi le Soleil pour une antique civilisation (bâtisseuse du Château Enfoui). D'après moi, Pyrax représenterait la chaleur du Soleil, de par son type Feu. Il est donc la manifestation des bienfaits directs du Soleil, la manifestation d'Arceus se faisant sur un plan plus symbolique, plus magique.
LIGER
Le crâne d'Osselait
I-Introduction
Osselait, le Pokémon autour duquel gravitent bien des questions.
Pourquoi porte-il un crâne en guise de casque? A qui ce crâne appartient-il? De quel matière est-il constitué? Que se passerait-il si l'on tentait de lui retirer?
Longtemps les scientifiques ont tenté d'apporter des réponses à toutes ces questions: certaines tiennent debout, d'autre sont totalement burlesques.
Ici, je vais donc essayer d'éclaircir certains mystères qui entourent un Pokémon que même la science a du mal à cerner: Osselait.
II-Caractéristiques physiques
Haut du corps:
-Tête protégée d'un crâne/masse osseuse
-Yeux apparents
Milieu du corps:
-Membres de couleur brune
-Ventre de couleur crème
-Tient un os dans sa main gauche
Bas du corps:
-Membres inférieurs petits & épais
-Pieds se terminant par ce qui semble être de petits sabots
IIISelon le Pokédex...
Les descriptions du Pokédex, bien qu'ayant parfois quelques différences, expriment en général la même idée.
Bleu/Rouge: ne retire jamais son casque en os. Personne n'a jamais vu son vrai visage. Jaune: porte le crâne de sa défunte mère. Ses pleurs résonnent dans son casque en une triste mélodie.
Argent: Il porte constamment le crâne de sa mère. Personne ne sait à quoi il ressemble sans ce crâne.
Cristal: Il est orphelin à la naissance. Il porte le crâne maternel et cache son vrai visage.
Rouge Feu:Ce Pokémon porte le crâne de sa défunte mère sur sa tête. On raconte qu'il se met à pleurer dès qu'il se retrouve seul.
Et caetera.
Selon ces descritptions donc, ce qu'arbore Osselait serait le crâne de sa défunte mère.
Par conséquent, chaque Osselait enfile le crâne de sa mère morte, comme ça, naturellement.
"Oh merde ma mère est morte, vite, première chose à faire: récupérer son crâne et me le foutre sur la tête."
Euh, vous êtes sérieux?
De plus, ceux qui ont émi cette théorie n'ont visiblement pas examiné de près la forme & la structure du crâne d'Ossatueur.
Examinons côte à côte les deux Pokémon.
Nous relevons tout de suite plusieurs différences frappantes.
Chez Osselait:
-Narinee bien visibles
-Cornes arrondies
-Nez peu allongé
-Petites cornes sous les narines
Chez Ossatueur:
-Absence de narines, ou du moins très peu visible
-Nez beaucoup plus fin & allongé
-bsence de corne sous les narines
-Cornes aux extrémités pointue
Nous pouvons donc en arriver à cette certitude: Osselaitne porte pas le crâne de sa mère.
Mais alors, qu
IV-Origine de la masse osseuse
Je vais me baser, pour ma théorie, des similitudes entres deux Pokémon: Osselait & le petit de Kangourex.
Tout d'abord, il sont sensiblement de même taille. Ensuite, il ont exactement la même morphologie: petit corps, membres courts, sabots.
Le crâne d'Osselait est celui de sa défunte mère?
Balivernes. Voici d'où viennent réellement Osselait & son crâne.
Maman Kangourex vient d'avoir un petit. Elle le glisse dans sa poche ventrale où elle l'élevera: celle-ci procurera au bébé chaleur & protection. Une fois plus âgé & trop grand pour être transporté dans la poche ventrale de la mère, le petit s'en ira, libre comme l'air, tout le monde il est content, etc.
Malheureusement, tout ne se passe pas toujours comme cela.
S'il arrivait que la mère, suite à un combat un peu trop violent, décède, qu'adviendrait-il du petit? Comment survivrai-t-il?
En l'absence de la protection maternelle, il devra se débrouiller pour se nourrir, se loger, bref, survivre. Face à cette situation périlleuse, le corps réagira & le petit subira quelques changements.
Et oui, je suis sûr que vous voyez où je veux en venir. Tout d'abord il faut savoir que la couleur violette qu'a habituellement le petit Kangourex est dû à un manque de lumière. En effet, passant la plus grande partie de son temps dans la poche ventrale de sa mère, les rayons du soleil ne pigmenteront pas sa peau.
Le bébé abandonné & sans aucune aide maternelle va, lui, subir une coloration de la peau: elle deviendra brune.
Mais les changements ne s'arrêtent pas là, & c'est bien cette partie qui nous intéresse.
Le petit Kangourex abandonné, confronté désormais aux dangers du monde extérieurs tels que divers prédateurs, aura bien du mal à rester en vie sans protection.
Le corps va donc réagir naturellement: il va donner au bébé de quoi se protéger.
Il va produire une importance dose de kératine, la même matière dont sont constitués les ongles humains & les cornes de Rhinocéros, formant une protection naturelle au niveau de la tête, l'endroit où le jeune Kangourex est le plus vulnérable.
L'homme invente des histoires grotesques pour justifier des faits scientifiques, & tout cela à cause de son ignorance. Un Osselait ne porte pas le crâne de sa mère toute sa vie bordel, ceci est un phénomène scientifique, une évolution qu'à accordé la nature.
le motif de pokéball sur le chapeau de Gaulet
"Qu'elles sont intelligentes, ces bestioles! Elles ont copié le motif des Pokéball pour tromper leurs proies!"
Voici ce que vous entendrez lorsque vous présenterez un Trompignon ou un Gaulet à n'importe quelle personne.
C'est faux.
Ici nous voyons bien les motifs semblables à ceux des Pokéball actuelles: nous les retrouvons sur les membres supérieurs et le chapeau de Gaulet.
Alors se pose la question habituelle: "Pourquoi & comment ce Pokémon a-t-il imité ce motif?"
La possibilité que l'inverse se soit produit, c'est à dire que ce soient les hommes qui aient copé le Pokémon, n'a jamais été évoquée.
C'est pourtant ce que je vais tenter de démontrer ici.
I- Le système de capture de Gaulet
Ici, nous voyons un jeune dresseur qui, manquant totalement de connaissances sur les systèmes de capture des Pokémon, s'approche d'une "Pokéball".
Hop, le combat est déclenché.
Comment s'y prend le Gaulet? A quoi servent les motifs de Pokéball qu'il arbore?
Et bien ses bras & son chapeau ont deux rôles bien distincts:
1-Attirer la proie. Le Gaulet joue ici sur la curiosité des jeunes Pokémon voire des dresseurs en phase d'apprentissage, qui n'hésiteront pas une seule seconde à s'approcher de cet étrange motif.
2-Libérer les spores. En effet, leurs membres ornés de formes de Pokéball n'ont pas pour seul objectif d'attirer la proie: ils servent également à la capture.
Sur cette image de Gaulet, nous distinguons bien le motif de Pokéball qui trône sur son chapeau.
Nous remarquons tout de suite que cette forme se sépare en deux parties: une partie rose, une partie grise, qui occupent chacun un hémisphère.
Lors du procédé de capture, l'hémisphère gris s'écarte d'environ deux centimètres du rose pour permettre aux spores soporifiques, toxiques ou autres de s'échapper.
Et oui, le chapeau de Gaulet renferme en fait des spores.
II- Lien avec les Pokéball actuelles
"C'est cool wesh, mais le but de ta théorie, c'était de nous démontrer que ce sont les humains qui ont copié sur le Pokémon!"
Patience petit scarabée, j'y viens.
Alors, ce système, ces deux hémisphères qui se séparent, cela ne vous rappellent rien?
Et si, c'est exactement le système qu'utilise Gaulet pour libérer ses spores.
Bien, nous avons à présent la preuve qu'il y a un lien entre les Pokéball que nous connaissons & Gaulet, mais pas que ce sont les hommes qui ont imité le Pokémon.
III- Les premières Pokéball
Voici le premier modèle de Pokéball qui ait existé.
Ici, peu voire pas de similitudes avec le Chapeau de Gaulet: couleur grise dominante, petite goupille rougeâtre qui permet à la Pokéball de s'ouvrir.
Or les ingénieurs vont vite se rendre compte qu'il faut améliorer cette Pokéball: le système d'ouverture est beaucoup trop long & repousse les utilisateurs, il faut en trouver un beaucoup plus fluide.
L'homme s'est alors inspiré du Gaulet. D'un seul mouvement musculaire, le Pokémon peut séparer les deux hémisphère se trouvant sur son chapeau ou ses membres & peut ainsi libérer ses spores en quelques secondes: le Gaulet a réussi une chose dont l'homme n'est pas encore parvenu.
Les ingénieurs vont donc s'inspirer de ce système de capture, enfin que dis-je, vont l'imiter, le copier intégralement.
IV- Apparition des Pokéball actuelles
Il faut savoir qu'avant d'arriver au desing moderne & épuré qu'elles ont aujourd'hui, les Pokéball ont dû passer par plusieurs stades de transformation.
Dans un premier temps, les ingénieurs chargés de la fabrication des balls ne se sont pas cassé la tête: ils ont reproduit exactement le motif de Gaulet, ainsi que ses couleurs & ses signes distinctifs.
Ici nous retrouvons complètement le motif de Gaulet: les mêmes couleurs, les mêmes hémisphères, & même les signes de la peau de Gaulet, ces petits cercles qui traînent sur la Pokéball.
Seulement voilà: le plagiat est bien trop visible, & pour des ingénieurs, être accusé d'avoir copié un champignon pour nous créer des merveilles technologiques, ça le fait moyennement.
Ils vont donc changer les couleurs & supprimer les cercles pour en arriver aux Pokéball que nous connaissons aujourd'hui.
Nous savons désormais que le manque d'imagination des hommes est tel qu'ils en sont réduits à copier un champignon.
Voici ce que vous entendrez lorsque vous présenterez un Trompignon ou un Gaulet à n'importe quelle personne.
C'est faux.
Ici nous voyons bien les motifs semblables à ceux des Pokéball actuelles: nous les retrouvons sur les membres supérieurs et le chapeau de Gaulet.
Alors se pose la question habituelle: "Pourquoi & comment ce Pokémon a-t-il imité ce motif?"
La possibilité que l'inverse se soit produit, c'est à dire que ce soient les hommes qui aient copé le Pokémon, n'a jamais été évoquée.
C'est pourtant ce que je vais tenter de démontrer ici.
I- Le système de capture de Gaulet
Ici, nous voyons un jeune dresseur qui, manquant totalement de connaissances sur les systèmes de capture des Pokémon, s'approche d'une "Pokéball".
Hop, le combat est déclenché.
Comment s'y prend le Gaulet? A quoi servent les motifs de Pokéball qu'il arbore?
Et bien ses bras & son chapeau ont deux rôles bien distincts:
1-Attirer la proie. Le Gaulet joue ici sur la curiosité des jeunes Pokémon voire des dresseurs en phase d'apprentissage, qui n'hésiteront pas une seule seconde à s'approcher de cet étrange motif.
2-Libérer les spores. En effet, leurs membres ornés de formes de Pokéball n'ont pas pour seul objectif d'attirer la proie: ils servent également à la capture.
Sur cette image de Gaulet, nous distinguons bien le motif de Pokéball qui trône sur son chapeau.
Nous remarquons tout de suite que cette forme se sépare en deux parties: une partie rose, une partie grise, qui occupent chacun un hémisphère.
Lors du procédé de capture, l'hémisphère gris s'écarte d'environ deux centimètres du rose pour permettre aux spores soporifiques, toxiques ou autres de s'échapper.
Et oui, le chapeau de Gaulet renferme en fait des spores.
II- Lien avec les Pokéball actuelles
"C'est cool wesh, mais le but de ta théorie, c'était de nous démontrer que ce sont les humains qui ont copié sur le Pokémon!"
Patience petit scarabée, j'y viens.
Alors, ce système, ces deux hémisphères qui se séparent, cela ne vous rappellent rien?
Et si, c'est exactement le système qu'utilise Gaulet pour libérer ses spores.
Bien, nous avons à présent la preuve qu'il y a un lien entre les Pokéball que nous connaissons & Gaulet, mais pas que ce sont les hommes qui ont imité le Pokémon.
III- Les premières Pokéball
Voici le premier modèle de Pokéball qui ait existé.
Ici, peu voire pas de similitudes avec le Chapeau de Gaulet: couleur grise dominante, petite goupille rougeâtre qui permet à la Pokéball de s'ouvrir.
Or les ingénieurs vont vite se rendre compte qu'il faut améliorer cette Pokéball: le système d'ouverture est beaucoup trop long & repousse les utilisateurs, il faut en trouver un beaucoup plus fluide.
L'homme s'est alors inspiré du Gaulet. D'un seul mouvement musculaire, le Pokémon peut séparer les deux hémisphère se trouvant sur son chapeau ou ses membres & peut ainsi libérer ses spores en quelques secondes: le Gaulet a réussi une chose dont l'homme n'est pas encore parvenu.
Les ingénieurs vont donc s'inspirer de ce système de capture, enfin que dis-je, vont l'imiter, le copier intégralement.
IV- Apparition des Pokéball actuelles
Il faut savoir qu'avant d'arriver au desing moderne & épuré qu'elles ont aujourd'hui, les Pokéball ont dû passer par plusieurs stades de transformation.
Dans un premier temps, les ingénieurs chargés de la fabrication des balls ne se sont pas cassé la tête: ils ont reproduit exactement le motif de Gaulet, ainsi que ses couleurs & ses signes distinctifs.
Ici nous retrouvons complètement le motif de Gaulet: les mêmes couleurs, les mêmes hémisphères, & même les signes de la peau de Gaulet, ces petits cercles qui traînent sur la Pokéball.
Seulement voilà: le plagiat est bien trop visible, & pour des ingénieurs, être accusé d'avoir copié un champignon pour nous créer des merveilles technologiques, ça le fait moyennement.
Ils vont donc changer les couleurs & supprimer les cercles pour en arriver aux Pokéball que nous connaissons aujourd'hui.
Nous savons désormais que le manque d'imagination des hommes est tel qu'ils en sont réduits à copier un champignon.
GOLD
Evolution des Ramoloss
Comme vous le savez, ramoloss à 2 évolutions : Flagadoss et Roigada. Ramoloss évolue suite à la morsure d'un kokiyas. Si celui-ci le mord à la tête, Ramoloss évolue en roigada tandis que s'il est mordu à la queue, il deviendra un Flagadoss. C'est donc le Kokiyas qui choisit en quoi le ramoloss va évoluer. Mais alors pourquoi certains Kokiyas décident de mordre la tête et non la queue, ou l'inverse ? Et bien cela dépend du sexe du Kokiyas. Si c'est le Kokiyas est un mâle, il sera intéressé par la connaissance, et décidera de mélanger la sienne avec celle du Ramoloss. Il lui mordra la tête, dans le but de faire "fusionner" les deux cerveaux, et ensuite pouvoir parcourir le monde et en apprendre encore plus. Le ramoloss évoluera donc en un pokémon très intelligent : Roigada.
Si le Kokiyas est une femelle, son instinct de femme fait qu'elle mordra directement la queue. Le ramoloss sera obligé de se balader avec la femelle Kokiyas pendue à se queue. Il deviendra donc une grosse loque bête dont le seul intérêt dans la vie est de paresser, du nom de Flagadoss.
Comme quoi, les humains et les pokémons ne sont pas si différents.
Si le Kokiyas est une femelle, son instinct de femme fait qu'elle mordra directement la queue. Le ramoloss sera obligé de se balader avec la femelle Kokiyas pendue à se queue. Il deviendra donc une grosse loque bête dont le seul intérêt dans la vie est de paresser, du nom de Flagadoss.
Comme quoi, les humains et les pokémons ne sont pas si différents.
le motif en forme de Pokéball sur le chapeau de Gaulet
Expliquez le motif en forme de Pokéball sur le chapeau de Gaulet.
Gaulet, le pokémon champignon de la 5G à sur la tête un motif de pokeball.
BG, non ?
Pourquoi ? Là est la question. J'ai établi une théorie que je vais m'empresser de vous partager.
Tout commence avec Trompignon, la sous évolution de Gaulet.
Durant les premiers mois de sa vie, trompignon n'a pas de motif sur son chapeau. Il y a alors deux possibilités pour l'avenir de trompignon.
Premier cas : Le trompignon est ramassé par un paras.
Les deux pokémons viveront alors en symbiose : Le paras offre les nutriments nécessaires à la survie de trompignon tandis que trompignon défend Paras avec des spores toxiques, paralysant, endormant ou autre. Ceci durera jusqu'à la mort ou l'évolution du pokémon. Lors de l'évolution de paras, les trompignons qu'il a "ramassé" évolue en un champignon plus gros et plus solide, pour plus de protection du parasect. Mais je ne développerai pas là dessus, ce n'est pas le sujet.
Deuxième cas : Le trompignon est délaissé des paras, et est obligé de se débrouiller seul. Il va alors se trouver un endroit humide, ou il vivra, se nourissant uniquement des nutriments trouvés dans le sol. Une fois les nutriments du sols "expirés", le trompignon est obligé de changer de coin. Mais la vie du trompignon n'est pas paisible, il doit se défendre des larveyette ou autre qui essaie de le manger. Il sera obliger de se battre et se rendra compte qu'il a un gros potentiel. Il découvre les joies du combat. Cherchant des combats de plus en plus palpitants et intenseS.
En observant son environnement, il apercevra que certains humains, appelés dresseur, sont attirés par des objets sphériques blancs et rouges : la poke-ball. Il remarque aussi que les dresseurs se battent au cotés de pokémon plus ou moins puissant. Intéressé d'affronter ses dresseurs, le trompignon va se camoufler en poke-ball, grâce à un motif qui apparaitra sur sa tête. Les dresseurs, croyant que c'est une poke-ball, vont approcher et se faire attaquer par le pokémon.
En continuant de combattre, le trompignon va s'endurcir et gagnera tous ses combats. Pour attirer plus de dresseur, il deviendra Gaulet, se laissant pousser 2 "bras", eux aussi ornés de poke-ball pour donner l'impression qu'il y a 3 poke-balls.
Les dresseurs un peu naïfs, en appercevant les 3 balls, vont directement courir vers elles et le Gaulet attaquera. Si le dresseur est plus expérimenté, il saura que c'est un Gaulet et l'attaquera en guise d'entrainement. Dans tous les cas, le Gaulet atteindra son but : le combat.
MYSDI'IF
Evolution des Ramoloss
Ramoloss, le Pokémon con par excellence. C'est la caricature du benêt, le portrait parfait de la mollesse, de l'indolence et de l'apathie dans tous leurs états. Et pourtant, c'est un monstre aimé des Pokéfans de la première heure, notamment pour sa méthode d'évolution un peu spéciale. Exit le jeu-vidéo où il suffit de faire monter le Pokémon avec un Multi-Exp. pour le faire évoluer au niveau 37, exit les idées reçues où comme quoi les Flagadoss sont « pêchables » dans des simples canaux ; non, nous, ici, on va vous dire vraiment comment sont les membres de cette fantasque famille d'endormis, sous toutes les coutures, sous toutes les formes, sous X, sous tout ce que vous voulez.
Tout d'abord, analysons de plus près quel est ce Pokémon. Rien de bien compliqué dans son mode de vie : il se déplace peu, il est sédentaire ; il se nourrit de ce qu'il pêche avec sa queue.
D'ailleurs, parlons-en de sa queue : en plus d'être pour lui son seul espoir de survie, elle sert aussi de moyen d'évolution, sisi. Comment ? Le concept est simple : la simple morsure d'un Kokiyas sur la queue du Ramoloss permet de le faire évoluer (on oublie les images obscènes auxquelles vous pensez maintenant !). Oui, il lui mord la queue !!! Il faut savoir que la queue du Pokémon est insensible à toutes formes de morsures, ce qui rend la douleur plus supportable. « Oui, mais une morsure de Kokiyas ne suffit pas pour le faire évoluer, hein, espèce de noob ! ». C'est là que la magie opère.
Le Kokiyas est un Pokémon recherché par sa perle qu'il fabrique. Sans perle, ce n'est qu'un vulgaire coquillage au fond de l'océan, tout bon à être revendu 50 PokéDollar$ au marchand du coin. La bivalve, qui n'est pas toujours récupérée, est entraîné au gré des courants marins, et s'attache à ce qu'elle peut, la coquille vide n'ayant plus vraiment de conscience : une algue, un morceau de bois ou bien la queue d'un Ramoloss. Comme une conne, il va falloir qu'elle aille s'accrocher à la queue.
Une fois que la transition s'est faite, le Kokiyas, par son poids supérieur par rapport à la bestiole rose, va obliger le bernard-l'ermite à se mettre sur ses deux pattes arrière : il s'agit là de la première transformation : le Pokémon se tient sur ses deux pattes postérieures. Pour rappel, une évolution, c'est le changement d'un Pokémon en une autre entité, avec des mutations physiques et psychiques. Nous avons vu le premier point, abordons maintenant le second.
La protubérance, maintenant solidement accrochée au corps de son nouvel hôte, va injecter un liquide assez spécial ; du poison en quelque sorte. Ledit poison fera, entre-autres, office d’anesthésiant, et provoquera chez le Pokémon des pics de lucidité. A défaut d'être lent et flasque, hybride et sans raisonnement intellectuel, il aura l'intelligence. Durant de brefs moment. Ainsi apparaissent les Flagadoss.
L'évolution d'un imbécile de Ramoloss en un beau et majestueux Roigada est un peu plus... compliquée. Si, dans le principe, il suffit de la morsure d'un Kokiyas sur la queue d'un Ramoloss pour provoquer la transformation en un Flagadoss, qu'en est-il de Roigada ? Rappelons qu'ici, le Kokiyas se trouve sur la tête du Ramoloss. Nous pouvons supposer que ce genre de Ramoloss, bien plus rares que les autres, sont aussi plus intelligents. Plutôt que d'attendre bêtement qu'un Pokémon morde à la « canne-à-pêche naturelle » du Pokémon pour pouvoir bouffer, ceux-ci vont plutôt s'aventurer dans le grand large, à la conquête de quelque aliments à se mettre sous la dent. Plutôt friands de petits animaux tels que les Krabby ou les Ecrapince, ils vont aller au fond des océans les chercher, et seront donc à la merci des Kokiyas. Ensuite, c'est le même processus qui se répète : les bivalves en perdition vont soit se faire emporter par le courant, soit couler. Nous avons vu précédemment que les coquilles emportées au loin donnaient naissance à des Flagadoss. Celles qui couleront tomberont dans les déchets entourant Carmin-sur-Mer. Les Ramoloss, pour la déconne, vont s'amuser à mettre les Kokiyas sur la tête ; ainsi s'opère la transformation d'un Ramoloss en Roigada. Le Kokiyas, une fois branché sur la tête du Roigada nouvellement créé, va être en contact direct avec son cerveau, en toute logique. Le poison, si nous pouvons vraiment l'appeler comme ça, va aussi agir de la même façon que chez le Flagadoss : il permet au Pokémon de réfléchir, d'être intelligent. Sauf qu'ici, le Kokiyas étant directement en relation avec l'encéphale de la bébête rose, son produit aura plus d'effet. Cela peut donc expliquer le fait de son intelligence permanente vis-à-vis de son cousin Flagadoss.
Une légende persistante veut que le Kokiyas ait encore sa « perle » lors de la morsure, et qu'ensuite ladite perle ait mangé le cerveau du Ramoloss pour le remplacer, ce qui permettrait au Kokiyas une prise de contrôle complète sur le Ramoloss – ce qui expliquerait le brutal changement de personnalité entre Ramoloss et Roigada. Une autre légende affirme qu'il faut que le Pokémon tienne une RocheRoyale et qu'il soit échangé, ce qui permettrait l'évolution. Mais ces deux légendes ont toutes deux été étudiées et confirmées comme étant totalement fausses et infondées.
« Mouais, ça se tient. Et si le Poké il perd le Kokiyas ? » Le Kokiyas représente une partie importante de l'évolution. Mieux, elle représente une partie nécessaire et vitale de l'évolution. Si le Flagadoss/Roigada perd, lors d'un combat entre deux meutes, son Kokiyas, alors il redeviendra le stupide Ramoloss qu'il était avant, et tout ce processus est à recommencer.
True sad story.
Il y a quelques années, la Team Rocket, bande de malfrat véreux luttant contre les humains pour s'approprier les Pokémon, avait frappé un grand coup en se rendant au Puits Ramoloss et en coupant leurs queues... toutes ! Pour leur profit. Cela n'est pas bien grave, me direz-vous, elle peut très bien repousser en quelques années, comme pour les autres Pocket Monsters. Sauf que dans ce cas-ci, c'est tout un processus de développement et d'évolution qui est mis en cause. Les Kokiyas étant déjà très rares en ce puits, les Ramoloss étant des êtres fainéants qui ne sont pas capables de se déplacer autrement qu'en nageant (ce qui est difficile dans ce puits, qui était à moitié asséché à l'époque, rappelez-vous), leur vie était menacée. Seul, leur mode de reproduction rapide a permit à l'espèce de perdurer dans ce milieu hostile, avant le retour de la pluie et le remplissage de leur puits.
Peut-on dire qu'il y a ici un côté sexuel ? Une méthode implicite de la Pokémon Company pour introduire le sexe dans leur jeu ? C'est ce que je me suis demandé en écrivant ce texte. Une chose qui paraît invraisemblable comme ça, mais pourtant : qu'est-ce que j'ai galéré pour ne pas mettre à chaque fois les mots « queue » et « morsure » dans la même phrase ! Nous pouvons voir cette synthèse comme une reproduction, une alliance, une pénétration au sens littéral ; car c'est bien ce qu'il se passe lors de l'évolution d'un Ramoloss en un Flagadoss. Que penser ? Pur hasard, simple coïncidence sûrement, mais bien imagé !
Tout d'abord, analysons de plus près quel est ce Pokémon. Rien de bien compliqué dans son mode de vie : il se déplace peu, il est sédentaire ; il se nourrit de ce qu'il pêche avec sa queue.
D'ailleurs, parlons-en de sa queue : en plus d'être pour lui son seul espoir de survie, elle sert aussi de moyen d'évolution, sisi. Comment ? Le concept est simple : la simple morsure d'un Kokiyas sur la queue du Ramoloss permet de le faire évoluer (on oublie les images obscènes auxquelles vous pensez maintenant !). Oui, il lui mord la queue !!! Il faut savoir que la queue du Pokémon est insensible à toutes formes de morsures, ce qui rend la douleur plus supportable. « Oui, mais une morsure de Kokiyas ne suffit pas pour le faire évoluer, hein, espèce de noob ! ». C'est là que la magie opère.
Le Kokiyas est un Pokémon recherché par sa perle qu'il fabrique. Sans perle, ce n'est qu'un vulgaire coquillage au fond de l'océan, tout bon à être revendu 50 PokéDollar$ au marchand du coin. La bivalve, qui n'est pas toujours récupérée, est entraîné au gré des courants marins, et s'attache à ce qu'elle peut, la coquille vide n'ayant plus vraiment de conscience : une algue, un morceau de bois ou bien la queue d'un Ramoloss. Comme une conne, il va falloir qu'elle aille s'accrocher à la queue.
Une fois que la transition s'est faite, le Kokiyas, par son poids supérieur par rapport à la bestiole rose, va obliger le bernard-l'ermite à se mettre sur ses deux pattes arrière : il s'agit là de la première transformation : le Pokémon se tient sur ses deux pattes postérieures. Pour rappel, une évolution, c'est le changement d'un Pokémon en une autre entité, avec des mutations physiques et psychiques. Nous avons vu le premier point, abordons maintenant le second.
La protubérance, maintenant solidement accrochée au corps de son nouvel hôte, va injecter un liquide assez spécial ; du poison en quelque sorte. Ledit poison fera, entre-autres, office d’anesthésiant, et provoquera chez le Pokémon des pics de lucidité. A défaut d'être lent et flasque, hybride et sans raisonnement intellectuel, il aura l'intelligence. Durant de brefs moment. Ainsi apparaissent les Flagadoss.
L'évolution d'un imbécile de Ramoloss en un beau et majestueux Roigada est un peu plus... compliquée. Si, dans le principe, il suffit de la morsure d'un Kokiyas sur la queue d'un Ramoloss pour provoquer la transformation en un Flagadoss, qu'en est-il de Roigada ? Rappelons qu'ici, le Kokiyas se trouve sur la tête du Ramoloss. Nous pouvons supposer que ce genre de Ramoloss, bien plus rares que les autres, sont aussi plus intelligents. Plutôt que d'attendre bêtement qu'un Pokémon morde à la « canne-à-pêche naturelle » du Pokémon pour pouvoir bouffer, ceux-ci vont plutôt s'aventurer dans le grand large, à la conquête de quelque aliments à se mettre sous la dent. Plutôt friands de petits animaux tels que les Krabby ou les Ecrapince, ils vont aller au fond des océans les chercher, et seront donc à la merci des Kokiyas. Ensuite, c'est le même processus qui se répète : les bivalves en perdition vont soit se faire emporter par le courant, soit couler. Nous avons vu précédemment que les coquilles emportées au loin donnaient naissance à des Flagadoss. Celles qui couleront tomberont dans les déchets entourant Carmin-sur-Mer. Les Ramoloss, pour la déconne, vont s'amuser à mettre les Kokiyas sur la tête ; ainsi s'opère la transformation d'un Ramoloss en Roigada. Le Kokiyas, une fois branché sur la tête du Roigada nouvellement créé, va être en contact direct avec son cerveau, en toute logique. Le poison, si nous pouvons vraiment l'appeler comme ça, va aussi agir de la même façon que chez le Flagadoss : il permet au Pokémon de réfléchir, d'être intelligent. Sauf qu'ici, le Kokiyas étant directement en relation avec l'encéphale de la bébête rose, son produit aura plus d'effet. Cela peut donc expliquer le fait de son intelligence permanente vis-à-vis de son cousin Flagadoss.
Une légende persistante veut que le Kokiyas ait encore sa « perle » lors de la morsure, et qu'ensuite ladite perle ait mangé le cerveau du Ramoloss pour le remplacer, ce qui permettrait au Kokiyas une prise de contrôle complète sur le Ramoloss – ce qui expliquerait le brutal changement de personnalité entre Ramoloss et Roigada. Une autre légende affirme qu'il faut que le Pokémon tienne une RocheRoyale et qu'il soit échangé, ce qui permettrait l'évolution. Mais ces deux légendes ont toutes deux été étudiées et confirmées comme étant totalement fausses et infondées.
« Mouais, ça se tient. Et si le Poké il perd le Kokiyas ? » Le Kokiyas représente une partie importante de l'évolution. Mieux, elle représente une partie nécessaire et vitale de l'évolution. Si le Flagadoss/Roigada perd, lors d'un combat entre deux meutes, son Kokiyas, alors il redeviendra le stupide Ramoloss qu'il était avant, et tout ce processus est à recommencer.
True sad story.
Il y a quelques années, la Team Rocket, bande de malfrat véreux luttant contre les humains pour s'approprier les Pokémon, avait frappé un grand coup en se rendant au Puits Ramoloss et en coupant leurs queues... toutes ! Pour leur profit. Cela n'est pas bien grave, me direz-vous, elle peut très bien repousser en quelques années, comme pour les autres Pocket Monsters. Sauf que dans ce cas-ci, c'est tout un processus de développement et d'évolution qui est mis en cause. Les Kokiyas étant déjà très rares en ce puits, les Ramoloss étant des êtres fainéants qui ne sont pas capables de se déplacer autrement qu'en nageant (ce qui est difficile dans ce puits, qui était à moitié asséché à l'époque, rappelez-vous), leur vie était menacée. Seul, leur mode de reproduction rapide a permit à l'espèce de perdurer dans ce milieu hostile, avant le retour de la pluie et le remplissage de leur puits.
Peut-on dire qu'il y a ici un côté sexuel ? Une méthode implicite de la Pokémon Company pour introduire le sexe dans leur jeu ? C'est ce que je me suis demandé en écrivant ce texte. Une chose qui paraît invraisemblable comme ça, mais pourtant : qu'est-ce que j'ai galéré pour ne pas mettre à chaque fois les mots « queue » et « morsure » dans la même phrase ! Nous pouvons voir cette synthèse comme une reproduction, une alliance, une pénétration au sens littéral ; car c'est bien ce qu'il se passe lors de l'évolution d'un Ramoloss en un Flagadoss. Que penser ? Pur hasard, simple coïncidence sûrement, mais bien imagé !
le motif en forme de pokéball sur le chapeau du Gaulet
Beaucoup d'êtres humains sont tombés raides morts en prononçant la phrase « Oh ! La putain de Pokéball qu'il y a dans l'her... ». Une Pokéball ? Non, plutôt un Gaulet, la forme évoluée du Trompignon.
Le Trompignon est une amanite tue-mouche peu répandue ; on peut en trouver que dans une seule région, à partir du mois de mai (selon certains observateurs). Sa petite taille (20cm seulement pour 1kg) en fait la principale proie des amateurs de champis hallucinogènes tels que les Fourmite ou les Scarhino. Ne pouvant se déplacer ni même se défendre, le Trompignon va trouver un moyen de survivre, le seul pour pouvoir perdurer. Plutôt que de s'adapter au milieu, il va changer de couleur et son chapeau prendra une couleur rouge afin de faire croire aux éventuels prédateurs qu'il est très vénéneux, alors que ce n'est pas le cas...
Les quelques Trompignon qui survivent face à la faune, au scientifiques qui croient percevoir des PokéBalls, à l'hiver et à la cuisine de ta mère, changeront d'apparence avec l'arrivée des beaux jours et grossiront. Oui, environ 39 semaines (plus ou moins) après être sortis de terre, ils « évolueront », en se qu'on pourrait appeler un Gaulet.
Nous pouvons connoter une grande différence entre le Trompignon et le Gaulet : autant le premier utilisait la couleur de son chapeau pour faire croire qu'il était vénéneux, que le second l'utilise pour attirer ses proies. Le Gaulet (Boletus luridus, plus communément appelé bolet blafard), est un champignon qui, en plus de provoquer des visions hallucinogènes comme son prédécesseur, peut aussi empoisonner une personne s'approchant de trop près. Alors qu'il se sert de son chapeau plutôt toxique pour assommer ses proies, « il danse en faisant tournoyer les coupoles en forme de PokéBall de ses bras pour attirer ses proies » (Pokédex Noir).
Peu commun, il est risqué pour tous les pseudos-mycologues et quelques dresseurs trop ambitieux de s'en approcher de trop près, les pores libérés par le bolet étant très nocives. Beaucoup de personnes voient en son chapeau la forme d'une Ball ordinaire, mais il ne s'agit en fait que de l'héritage de sa pré-évolution qui ne lui sert maintenant plus à rien, d'où la raison pour laquelle « peu de Pokémon se laissent avoir » (Pokédex Blanc). Mais quelques impétueuses personnes poussées par la curiosité vont tout de même trop s'approcher du champignon, pensant que c'est un objet rare...
Bien cuisiné, le Gaulet est un met délicieux qui perd toute sa toxicité ; c'est pour cette raison que ceux-ci sont en voie de disparition. Vous remarquerez que les Gaulet que vous avez chopé ne sont pas remplacé, ceux-ci ayant quelques difficultés pour se reproduire...
Le Trompignon est une amanite tue-mouche peu répandue ; on peut en trouver que dans une seule région, à partir du mois de mai (selon certains observateurs). Sa petite taille (20cm seulement pour 1kg) en fait la principale proie des amateurs de champis hallucinogènes tels que les Fourmite ou les Scarhino. Ne pouvant se déplacer ni même se défendre, le Trompignon va trouver un moyen de survivre, le seul pour pouvoir perdurer. Plutôt que de s'adapter au milieu, il va changer de couleur et son chapeau prendra une couleur rouge afin de faire croire aux éventuels prédateurs qu'il est très vénéneux, alors que ce n'est pas le cas...
Les quelques Trompignon qui survivent face à la faune, au scientifiques qui croient percevoir des PokéBalls, à l'hiver et à la cuisine de ta mère, changeront d'apparence avec l'arrivée des beaux jours et grossiront. Oui, environ 39 semaines (plus ou moins) après être sortis de terre, ils « évolueront », en se qu'on pourrait appeler un Gaulet.
Nous pouvons connoter une grande différence entre le Trompignon et le Gaulet : autant le premier utilisait la couleur de son chapeau pour faire croire qu'il était vénéneux, que le second l'utilise pour attirer ses proies. Le Gaulet (Boletus luridus, plus communément appelé bolet blafard), est un champignon qui, en plus de provoquer des visions hallucinogènes comme son prédécesseur, peut aussi empoisonner une personne s'approchant de trop près. Alors qu'il se sert de son chapeau plutôt toxique pour assommer ses proies, « il danse en faisant tournoyer les coupoles en forme de PokéBall de ses bras pour attirer ses proies » (Pokédex Noir).
Peu commun, il est risqué pour tous les pseudos-mycologues et quelques dresseurs trop ambitieux de s'en approcher de trop près, les pores libérés par le bolet étant très nocives. Beaucoup de personnes voient en son chapeau la forme d'une Ball ordinaire, mais il ne s'agit en fait que de l'héritage de sa pré-évolution qui ne lui sert maintenant plus à rien, d'où la raison pour laquelle « peu de Pokémon se laissent avoir » (Pokédex Blanc). Mais quelques impétueuses personnes poussées par la curiosité vont tout de même trop s'approcher du champignon, pensant que c'est un objet rare...
Bien cuisiné, le Gaulet est un met délicieux qui perd toute sa toxicité ; c'est pour cette raison que ceux-ci sont en voie de disparition. Vous remarquerez que les Gaulet que vous avez chopé ne sont pas remplacé, ceux-ci ayant quelques difficultés pour se reproduire...
FLEX
Les oeufs de Pokémons
"De part ce texte, je vais tenter d’expliquer le phénomène du développement et de l’éclosion des œufs de Pokémon en prenant plusieurs exemples bien différents et en vous faisant remarquer les similitudes et généralités entre les œufs de différentes espèces que tous opposent.
La croissance des œufs
Un œuf d’Onix ne sera jamais de la même taille qu’un œuf de Pichu, cela paraît logique. Pourtant, on imagine mal un Onix pondre un œuf faisant sa propre taille. L’explication est simple : Les œufs de Pokémon, quand ils sont pondus, font tous la même taille, et par la suite ils grandissent en fonction de leur espèce.
Juste après la ponte, un œuf de Pokémon mesure environ 25 à 30 cm de large pour 40 à 50 cm de hauteur, ce qui laisse plus ou moins 25 dmᶟ à l’embryon pour le développement de son corps et de ces futurs pouvoirs. La coquille des œufs est constituée de calcite, qui grandit très lentement jusqu’à atteindre la taille finale du Pokémon ou quelques mètres plus petits si l’œuf prend trop de place dans son environnement naturel (Exemple typique : Une grotte pour un Onix).
La croissance de l’œuf peut parfois être accélérée : on a remarqué que si l’œuf est constamment en mouvement (par le transport de celui-ci par un dresseur ou par la femelle porteuse de l’œuf), il grandit plus, et donc il éclot plus rapidement. L’œuf a également tendance à croître plus rapidement en présence de certains Pokémons. La très intense chaleur corporelle dégagée par certains Pokémons comme Maganon ou encore Volcaropod permet à l’embryon de se développer plus rapidement dans l’œuf, et donc il grandit plus vite et son éclosion se fera parfois à l’avance, en comparaison à un Pokémon qui n’aurait pas été en présence constante d’un des deux Pokémons précédemment cités.
L’éclosion de l’œuf
À l’intérieur de l’œuf, le corps du Pokémon se développe jusqu’à atteindre la taille et la forme qu’il gardera toute sa vie ou jusqu’à son évolution. Juste avant l’éclosion, le Pokémon concentre toute son énergie à la maîtrise de sa puissance et de ses pouvoirs, la connaissance de ceux-ci étant inscrit dans ses gènes. Une fois que la croissance du Pokémon dans son œuf est terminée et qu’il est prêt à affronter la réalité du monde extérieur, le Pokémon sort de son œuf en testant ses pouvoirs : quand le Tarsal, nourrisson de son état, va sortir de son œuf, il brisera la coquille de celui-ci par une attaque Choc Mental, alors que le futur Roucool tentera de la picorer de toutes ses forces."
La croissance des œufs
Un œuf d’Onix ne sera jamais de la même taille qu’un œuf de Pichu, cela paraît logique. Pourtant, on imagine mal un Onix pondre un œuf faisant sa propre taille. L’explication est simple : Les œufs de Pokémon, quand ils sont pondus, font tous la même taille, et par la suite ils grandissent en fonction de leur espèce.
Juste après la ponte, un œuf de Pokémon mesure environ 25 à 30 cm de large pour 40 à 50 cm de hauteur, ce qui laisse plus ou moins 25 dmᶟ à l’embryon pour le développement de son corps et de ces futurs pouvoirs. La coquille des œufs est constituée de calcite, qui grandit très lentement jusqu’à atteindre la taille finale du Pokémon ou quelques mètres plus petits si l’œuf prend trop de place dans son environnement naturel (Exemple typique : Une grotte pour un Onix).
La croissance de l’œuf peut parfois être accélérée : on a remarqué que si l’œuf est constamment en mouvement (par le transport de celui-ci par un dresseur ou par la femelle porteuse de l’œuf), il grandit plus, et donc il éclot plus rapidement. L’œuf a également tendance à croître plus rapidement en présence de certains Pokémons. La très intense chaleur corporelle dégagée par certains Pokémons comme Maganon ou encore Volcaropod permet à l’embryon de se développer plus rapidement dans l’œuf, et donc il grandit plus vite et son éclosion se fera parfois à l’avance, en comparaison à un Pokémon qui n’aurait pas été en présence constante d’un des deux Pokémons précédemment cités.
L’éclosion de l’œuf
À l’intérieur de l’œuf, le corps du Pokémon se développe jusqu’à atteindre la taille et la forme qu’il gardera toute sa vie ou jusqu’à son évolution. Juste avant l’éclosion, le Pokémon concentre toute son énergie à la maîtrise de sa puissance et de ses pouvoirs, la connaissance de ceux-ci étant inscrit dans ses gènes. Une fois que la croissance du Pokémon dans son œuf est terminée et qu’il est prêt à affronter la réalité du monde extérieur, le Pokémon sort de son œuf en testant ses pouvoirs : quand le Tarsal, nourrisson de son état, va sortir de son œuf, il brisera la coquille de celui-ci par une attaque Choc Mental, alors que le futur Roucool tentera de la picorer de toutes ses forces."
Evolution des Ramoloss
L’évolution du Ramoloss est un peu particulière en comparaison de la plupart des autres Pokémons. Le seul Ramoloss ne disposant pas de l’énergie nécessaire pour son passage à sa forme évoluée, qu’est soit Flagadoss soit Roigada, il est dépendant d’un autre Pokémon qui lui fournira ladite énergie : Kokiyas. Les deux Pokémons seront donc unis pour former un seul Pokémon : Flagadoss si le Kokiyas mord la queue du Ramoloss ou Roigada si il s’accroche à sa tête. Ce qui suit explique les deux différentes évolutions du Ramoloss et le lien étroit entre Ramoloss et Kokiyas, que la nature a réuni au nom de la survie de leurs espèces respectives.
Evolution du Ramoloss en Flagadoss
Les Ramoloss, connus de tous pour leur léthargie légendaire, sont des Pokémons dont les efforts physiques et même mentaux sont réduits au strict minimum. Ils se regroupent la plupart du temps le long des plages les plus confortables, souvent sur des iles désertes, à l’abri des autres Pokémons ou humains qui viendrait profaner leur besoin inaliénable de tranquillité. Ils sont également présents près des grands fleuves, ceux dont les bords sont suffisamment grands pour leur permettre d’y mener une vie paisible.
Malheureusement pour eux, ce besoin de se prélasser handicape grandement leurs capacités à survivre en milieu naturel : ils devront, la plupart du temps, user d’une volonté de conquérant pour simplement se déplacer de trois ou quatre mètres si besoin il y a. Heureusement pour la survie de son espèce, le Ramoloss a découvert, il y a maintenant bien longtemps, une technique infaillible (et surtout, nécessitant le moins d’effort) pour se nourrir convenablement : le Ramoloss va tenter tant bien que mal de se mettre au bord de l’eau et d’y tremper sa queue, dans l’espoir qu’un poisson vienne la mordre. Une sève sucrée coulant de sa queue lui sert d’appât. Il se nourrira donc grâce aux poissons qu’il aura attrapé.
La plupart du temps, cette manœuvre est sans danger pour le Ramoloss. Il arrive néanmoins qu’un Kokiyas mord sauvagement la queue du Ramoloss. Quand cet évènement survient, le Ramoloss évolue en l’une de ses deux évolutions : Flagadoss. Le phénomène est, malgré la simplicité de l’acte en lui-même, plutôt compliqué à expliquer en comparaison des évolutions des autres Pokémons. Enfaite, le Kokiyas, en mordant la queue du Ramoloss, va libérer une série de toxines dans le corps de ce dernier. Ces toxines provoquent alors un sursaut, intense mais bref, d’énergie chez le Ramoloss, énergie qui sera alors la cause de l’évolution du Ramoloss en Flagadoss. Une fois métamorphosé en Flagadoss, il aura alors suffisamment d’énergie pour se redresser et marcher sur ses deux pattes mais il restera toujours autant flemmard, quoi que légèrement plus dynamique. Mais comme rien n’est gratuit, le Flagadoss devra alors accepter toute sa vie que le Kokiyas reste fermement accroché à sa queue, celui-ci ne pouvant se passer du délicieux nectar y coulant.
Evolution du Ramoloss en Roigada
Le simple fait de se déplacer est déjà un fardeau immense pour les Ramoloss, alors il n’est pas difficile d’imaginer à quel point ils leur seraient compliquer de nager, pire, de nager sous l’eau…Malheureusement pour eux, ils y sont parfois obligé.
En effet, il arrive que des Ramoloss s’amasse au bord de l’eau alors qu’il n’y a plus rien à pêcher en utilisant leur technique habituelle. Une très grosse majorité d’entre eux vont alors prendre leur courage à deux mains et repartir à la recherche d’un nouveau territoire de chasse qui serait plus fertile en alimentations. Malgré cela, certains d’entre eux vont rester au bord de l’eau, la queue trempée dans celle-ci, en continuant à espérer qu’un poisson vienne les mordre. Au bout de quelques jours sans rien manger, le reste des Ramoloss va finir par partir rejoindre le troupeau parti plus tôt. Mais quelques Ramoloss persistent, convaincus qu’un poisson finira par les mordre. Mais la réalité finira par les frapper : si ils veulent absolument manger les hypothétiques poissons du lac ou fleuve, ils devront plonger dans l’eau et partir à la recherche de leur subsistance.
C’est précisément sous l’eau qu’un évènement va marquer le tournant de la vie du Ramoloss. Comme le Ramoloss qui évolue en Flagadoss en se faisant mordre la queue par un Kokiyas, le Ramoloss suffisamment téméraire pour se jeter à l’eau se fera mordre à la tête. Ainsi donc, les toxines du Kokiyas iront pénétrer le cerveau du Ramoloss, provoquant alors une sorte d’explosion de lucidité dans l’esprit jusqu’alors inerte du Pokémon rose, ce qui contribuera par la même occasion à faire évoluer le Ramoloss en Roigada. Le Roigada deviendra alors bien supérieur à Ramoloss sur tous les points : intelligence surdéveloppé, pouvoirs psychiques impressionnants, capacité à résoudre des énigmes et des problèmes qu’aucun être humain n’aurait pu déchiffrer. Un Kokiyas fermement accroché à son crâne, Roigada reviendra ensuite sur la terre ferme en marchant sur ces deux pattes, comme son cousin Flagadoss.
Evolution du Ramoloss en Flagadoss
Les Ramoloss, connus de tous pour leur léthargie légendaire, sont des Pokémons dont les efforts physiques et même mentaux sont réduits au strict minimum. Ils se regroupent la plupart du temps le long des plages les plus confortables, souvent sur des iles désertes, à l’abri des autres Pokémons ou humains qui viendrait profaner leur besoin inaliénable de tranquillité. Ils sont également présents près des grands fleuves, ceux dont les bords sont suffisamment grands pour leur permettre d’y mener une vie paisible.
Malheureusement pour eux, ce besoin de se prélasser handicape grandement leurs capacités à survivre en milieu naturel : ils devront, la plupart du temps, user d’une volonté de conquérant pour simplement se déplacer de trois ou quatre mètres si besoin il y a. Heureusement pour la survie de son espèce, le Ramoloss a découvert, il y a maintenant bien longtemps, une technique infaillible (et surtout, nécessitant le moins d’effort) pour se nourrir convenablement : le Ramoloss va tenter tant bien que mal de se mettre au bord de l’eau et d’y tremper sa queue, dans l’espoir qu’un poisson vienne la mordre. Une sève sucrée coulant de sa queue lui sert d’appât. Il se nourrira donc grâce aux poissons qu’il aura attrapé.
La plupart du temps, cette manœuvre est sans danger pour le Ramoloss. Il arrive néanmoins qu’un Kokiyas mord sauvagement la queue du Ramoloss. Quand cet évènement survient, le Ramoloss évolue en l’une de ses deux évolutions : Flagadoss. Le phénomène est, malgré la simplicité de l’acte en lui-même, plutôt compliqué à expliquer en comparaison des évolutions des autres Pokémons. Enfaite, le Kokiyas, en mordant la queue du Ramoloss, va libérer une série de toxines dans le corps de ce dernier. Ces toxines provoquent alors un sursaut, intense mais bref, d’énergie chez le Ramoloss, énergie qui sera alors la cause de l’évolution du Ramoloss en Flagadoss. Une fois métamorphosé en Flagadoss, il aura alors suffisamment d’énergie pour se redresser et marcher sur ses deux pattes mais il restera toujours autant flemmard, quoi que légèrement plus dynamique. Mais comme rien n’est gratuit, le Flagadoss devra alors accepter toute sa vie que le Kokiyas reste fermement accroché à sa queue, celui-ci ne pouvant se passer du délicieux nectar y coulant.
Evolution du Ramoloss en Roigada
Le simple fait de se déplacer est déjà un fardeau immense pour les Ramoloss, alors il n’est pas difficile d’imaginer à quel point ils leur seraient compliquer de nager, pire, de nager sous l’eau…Malheureusement pour eux, ils y sont parfois obligé.
En effet, il arrive que des Ramoloss s’amasse au bord de l’eau alors qu’il n’y a plus rien à pêcher en utilisant leur technique habituelle. Une très grosse majorité d’entre eux vont alors prendre leur courage à deux mains et repartir à la recherche d’un nouveau territoire de chasse qui serait plus fertile en alimentations. Malgré cela, certains d’entre eux vont rester au bord de l’eau, la queue trempée dans celle-ci, en continuant à espérer qu’un poisson vienne les mordre. Au bout de quelques jours sans rien manger, le reste des Ramoloss va finir par partir rejoindre le troupeau parti plus tôt. Mais quelques Ramoloss persistent, convaincus qu’un poisson finira par les mordre. Mais la réalité finira par les frapper : si ils veulent absolument manger les hypothétiques poissons du lac ou fleuve, ils devront plonger dans l’eau et partir à la recherche de leur subsistance.
C’est précisément sous l’eau qu’un évènement va marquer le tournant de la vie du Ramoloss. Comme le Ramoloss qui évolue en Flagadoss en se faisant mordre la queue par un Kokiyas, le Ramoloss suffisamment téméraire pour se jeter à l’eau se fera mordre à la tête. Ainsi donc, les toxines du Kokiyas iront pénétrer le cerveau du Ramoloss, provoquant alors une sorte d’explosion de lucidité dans l’esprit jusqu’alors inerte du Pokémon rose, ce qui contribuera par la même occasion à faire évoluer le Ramoloss en Roigada. Le Roigada deviendra alors bien supérieur à Ramoloss sur tous les points : intelligence surdéveloppé, pouvoirs psychiques impressionnants, capacité à résoudre des énigmes et des problèmes qu’aucun être humain n’aurait pu déchiffrer. Un Kokiyas fermement accroché à son crâne, Roigada reviendra ensuite sur la terre ferme en marchant sur ces deux pattes, comme son cousin Flagadoss.
le motif en forme de pokéball sur le chapeau du Gaulet
INTRODUCTION
Parmi toutes les espèces de Pokémons répertoriées jusqu’à maintenant, il en existe peu qui soient autant mystérieuses que l’espèce des Trompignons et des Gaulets. Ces Pokémons de type Plante que l’on trouve facilement dans la région d’Unys, dans les lisières forestières, ont la particularité d’avoir pris, au fil du temps, l’aspect du matériel de capture préféré des Dresseurs Pokémons : La Pokéball. Le texte qui suit va tenter d’expliquer cette métamorphose d’une partie de l’apparence du Gaulet, évolution du Trompignon.
L'APPARITION DES POKEBALLS ET SON IMPACT SUR LES GAULETS
Tout premièrement, il faut comprendre que la tête des Gaulets n’ont pas toujours eu cet aspect-là. Ils ont commencé progressivement à changer de formes il y a environ cent ans, quand les premières Pokéballs ont fait leur apparition sur le commerce et que les Dresseurs ont adopté ce nouveau style de capture. Les Gaulets, d’il y a deux siècles, n’avaient pas les motifs de Pokéball inscrits sur leurs bras et sur leur tête : ils étaient entièrement rouges, pour passer inaperçu parmi les véritables champignons sauvages que sont les bolets.
Une fois que les Pokéballs sont apparus sur le marché et que celles-ci furent adoptées par une très grande majorité des Dresseurs, ceux-ci commencèrent à perdre parfois leurs Pokéballs vides dans la nature, pendant leurs voyages initiatiques, ce qui ne manquait pas de provoquer la curiosité des Pokémons sauvages, qui souvent s’amassèrent autour d’une Pokéball perdu pour l’examiner de plus près.
MÉCANISME DE DÉFENSE DU GAULET
À partir de ça, le métabolisme du Gaulet commença à changer très lentement et son épiderme se mit à muter en fonction de ce qui entourait celui-ci, ici les Pokéballs. En ayant l’apparence d’une Pokéball, le Gaulet pouvait alors se fondre dans le décor et attirer à lui des proies innocentes et désireuses d’examiner cette pseudo-Pokéball, pour ensuite les asperger de ses spores soporifiques et empoisonnées.
Le Gaulet, un siècle après la mise en vente des Pokéballs
L’apparence actuelle du Gaulet a donc une utilité : elle sert à piéger les Pokémons qui pourraient nuire à la vie de Gaulet. De minuscules pores sont dispersés partout sur sa tête, c’est par ces mêmes pores que sont évacués les spores toxiques qui repousseront les Pokémons sauvages qui voudraient pénétrer le territoire du Pokémon Champignon.
Parmi toutes les espèces de Pokémons répertoriées jusqu’à maintenant, il en existe peu qui soient autant mystérieuses que l’espèce des Trompignons et des Gaulets. Ces Pokémons de type Plante que l’on trouve facilement dans la région d’Unys, dans les lisières forestières, ont la particularité d’avoir pris, au fil du temps, l’aspect du matériel de capture préféré des Dresseurs Pokémons : La Pokéball. Le texte qui suit va tenter d’expliquer cette métamorphose d’une partie de l’apparence du Gaulet, évolution du Trompignon.
L'APPARITION DES POKEBALLS ET SON IMPACT SUR LES GAULETS
Tout premièrement, il faut comprendre que la tête des Gaulets n’ont pas toujours eu cet aspect-là. Ils ont commencé progressivement à changer de formes il y a environ cent ans, quand les premières Pokéballs ont fait leur apparition sur le commerce et que les Dresseurs ont adopté ce nouveau style de capture. Les Gaulets, d’il y a deux siècles, n’avaient pas les motifs de Pokéball inscrits sur leurs bras et sur leur tête : ils étaient entièrement rouges, pour passer inaperçu parmi les véritables champignons sauvages que sont les bolets.
Le Gaulet, avant l'apparition des premières Pokéballs.
Une fois que les Pokéballs sont apparus sur le marché et que celles-ci furent adoptées par une très grande majorité des Dresseurs, ceux-ci commencèrent à perdre parfois leurs Pokéballs vides dans la nature, pendant leurs voyages initiatiques, ce qui ne manquait pas de provoquer la curiosité des Pokémons sauvages, qui souvent s’amassèrent autour d’une Pokéball perdu pour l’examiner de plus près.
MÉCANISME DE DÉFENSE DU GAULET
À partir de ça, le métabolisme du Gaulet commença à changer très lentement et son épiderme se mit à muter en fonction de ce qui entourait celui-ci, ici les Pokéballs. En ayant l’apparence d’une Pokéball, le Gaulet pouvait alors se fondre dans le décor et attirer à lui des proies innocentes et désireuses d’examiner cette pseudo-Pokéball, pour ensuite les asperger de ses spores soporifiques et empoisonnées.
Le Gaulet, un siècle après la mise en vente des Pokéballs
L’apparence actuelle du Gaulet a donc une utilité : elle sert à piéger les Pokémons qui pourraient nuire à la vie de Gaulet. De minuscules pores sont dispersés partout sur sa tête, c’est par ces mêmes pores que sont évacués les spores toxiques qui repousseront les Pokémons sauvages qui voudraient pénétrer le territoire du Pokémon Champignon.
La vie tumultueuse du Trioxhydre
Le monde Pokémon a connu toutes sortes de créatures, toutes autant puissantes les unes que les autres. Certaines d’entre elles préférant utiliser leurs pouvoirs uniquement pour protéger leur famille ou troupeau, d’autres dans l’unique but de se défendre contre les nombreuses menaces qui peuplent ce monde, d’autres pour soigner, pour créer, pour cultiver les richesses de la terre…et il y a celle qui ont choisi d’utiliser leur puissance dans le but d’exercer une domination sur le reste de la faune, qui ne peut parfois que rester passive. C’est précisément à cette catégorie-là que nous allons nous intéresser.
Ce trait de personnalité, très rare chez les Pokémon, atteint son paroxysme au sein d’une espèce de Pokémon en particulier, une espèce à la fois rare et dangereuse pour quiconque cherche à s’en approcher. Un Pokémon de type Dragon, connu pour son extrême violence : Trioxhydre. Le texte qui suit explique le destin tumultueux d’un Pokémon, et de ces pré-évolutions (Solochi et Diamat), qui n’aura de cesse d’alimenter les rêves les plus fous des dresseurs souhaitant s’accaparer leurs puissances, et les cauchemars les plus terrifiants des Pokémons sauvages qui se retrouvent très souvent désarmés face à un tel potentiel de destruction.
Solochi : victime de la nature
Le Solochi est la première pré-évolution de cette espèce de Pokémon. Il évoluera en Diamat. Le Solochi est un Pokémons bien particulier, à qui la nature n’a malheureusement pas fait de cadeaux.
Les œufs de Solochi sont en général laissés à l’abandon par leurs géniteurs, dans des grottes sombres et humides enfoncées dans les montagnes. Ainsi, le Solochi nait seul, il vit une très grande partie de son existence de cette manière-là, et aucune protection ne lui est accordé à sa naissance : il devra se débrouiller par ses propres moyens pour survivre, mais comme le destin semble s’acharner sur lui, un autre facteur viendra encore plus lui compliquer la rude tâche de survivre dans l’environnement hostile dans lequel il est né. Il est aveugle depuis sa naissance et le sera malheureusement longtemps, jusqu’à arriver à son stade final d’évolution. C’est une sorte de carapace qui lui protège la tête jusqu’aux épaules qui le rend aveugle, celle-ci camouflant également le front et les yeux. Cette absence de sens visuel est alors largement combler par un système auditif extrêmement précis et performant : il peut facilement entendre un gravier tomber à cinquante mètres de lui.
Solochi, aveugle depuis sa naissance.
Ce cruel manque de la vue, il ne pourra malheureusement jamais faire avec et son esprit en est profondément blessé. Il ne peut jamais faire le calme en lui-même pour mieux se servir de ses autres sens et se repère dans son environnement naturel en chargeant les parois de la grotte dans laquelle il vit, parfois même jusqu’à s’en blesser grièvement. Il n’est pas rare d’entendre des cris sinistres de douleur au pied des montagnes dans lesquels un Solochi vit. Cette telle frustration de ne pas pouvoir voir va, au fil des années, engendrer en lui une profonde colère, une rage incontrôlable que ni lui, ni personne d’autre ne pourra contrôler.
Au fil des années, il deviendra un véritable danger pour quiconque ose pénétrer son territoire. Même la plus inoffensive des créatures se fera sauvagement attaquer par ce « bébé dragon des ténèbres ».
Diamat : deux fois plus de problèmes
Solochi, comme 46.7% des Pokémons recensés, va un jour évoluer. Très tardivement, en comparaison de la majorité des autres espèces de Pokémons. Vous allez alors penser que son évolution va améliorer son existence ou sa condition de vie mais il n’en n’est rien. Bien au contraire…
En évoluant, l’âme et l’esprit de Solochi va être littéralement déchiré en deux parties : c’est la conséquence de ces nombreuses années de souffrances qu’il a enduré. Sa tête va alors devoir en accueillir une autre qui apparaitra juste à côté de la sienne. C’est dans cette deuxième tête que viendra se loger la seconde partie de l’esprit déchiré de Solochi.
De petites ailes pousseront alors sur son dos mais elles ne seront malheureusement pas assez robustes et grandes pour faire voler Solochi, que nous appellerons désormais Diamat, en référence à ces deux têtes.
Diamat, le Dragon à deux têtes.
Parlons s‘en de ses deux têtes. Souvenons-nous de Solochi qui, au moindre bruit, attaquait tout ce qu’il pouvait attaquer. Et bien maintenant, c’est pire. Les deux têtes de Diamat ont parfois tout simplement de la peine à se rendre compte qu’elles partagent le même corps et donc le même destin. Elles ne peuvent alors pas coordonner leurs gestes et faire en sorte de contribuer à leurs intérêts communs. Manger, par exemple, leur est très difficile : Les deux têtes vont se battre entre elles pour pouvoir manger le plus gros morceau de viande. Même se déplacer devient une tâche complexe : si l’une des têtes veut aller à droite et que l’autre veut aller à gauche, Diamat a alors beaucoup de chance de rester clouer au sol pendant au moins vingt bonnes minutes avant que la tête qui dispose de la moins grande volonté finisse par céder au caprice de l’autre.
Cette période de la vie de cette espèce de Pokémons coïncide également avec des faits importants de son histoire : la reproduction de celui-ci et la migration vers d’autres terres.
Les Diamats se rencontrent et s’accouplent pendant l’hiver quand les températures vont en dessous de 0°C, cette période peut-être considéré comme étant leur « saison des amours ». Ils sortent alors de leurs grottes pour se rendre dans les recoins les plus froids de la montagne dans laquelle ils habitent, au sommet de celle-ci en général. Les Pokémons de cette espèce étant très rares, un Diamat ne trouvera pas forcément de femelles (ou de males, si c’est une femelle) avec qui il pourrait s’accoupler. Si, par malheur, il rencontre un Diamat du même sexe, alors qu’il cherchait un Diamat du sexe opposé pour pouvoir s’accoupler, il va alors se battre violemment avec celui-ci, parfois jusqu’à la mort. Si, au contraire, le Diamat en rencontre un autre mais du sexe opposé, alors ils pourront s’accoupler dans l’unique but de procréer. En effet, chez les Diamats, les Solochis ou les Trioxhydres, il n’y a pas de phase de séduction avant la procréation : ils s’accouplent dans l’unique et seul but qu’est la ponte de leurs œufs, pour faire survivre leur espèce, l’amour n’ayant pas de place dans leur mœurs.
Une fois l’accouplement terminé, la femelle va alors parcourir la montagne dans le but de trouver une caverne suffisamment confortable pour accoucher. Elle va ensuite abandonner ces œufs et partir à la conquête de nouveaux territoires, un voyage qui lui sera utile aux préparatifs nécessaires à sa prochaine évolution. Il en va de même pour le mâle : il quittera sa sinistre caverne pour migrer vers le sud.
Ce voyage, qui se fait en général un peu avant la fin de la saison des amours, a pour but de donner au Diamat la possibilité de découvrir de nouveaux endroits fertiles en alimentations, la montagne dans lequel il habitait autrefois étant devenue déserte de toutes formes de nourritures pendant l’hiver. C’est la période de sa vie où il aura le plus à faire à d’autres Pokémons sauvages, et donc, où il devra le plus se battre pour sa survie. Il va, en général, voyager à travers les jungles, les déserts ou aux pieds des volcans.
Durant cette période de sa vie, il va enchaîner les combats, parfois même contre des Pokémons beaucoup plus puissants que lui. Il va alors accumuler de l’expérience, des nouveaux pouvoirs, il va commencer à privilégier les attaques indirectes aux attaques physiques et ses victoires vont lui rapporter un sursaut d’énergie, mais aussi d’orgueil, qui lui sera vital pour son ultime évolution, celle qui fera de lui l’un des Pokémons Dragons les plus dangereux que l’histoire n’ait jamais connu.
Trioxhydre : quand le mot « puissance » prend tout son sens.
Diamat va évoluer, pour la dernière fois de sa vie, une fois que sa puissance aura atteint son point culminant, généralement quand les deux tiers de sa vie sont entamés (environ une soixantaine d’années). Il évoluera en Trioxhydre.
Souvenez-vous de Solochi qui a vu son âme déchirée en deux parties distinctes : ces deux parties seront réunifiés à la suite de l’évolution en Trioxhydre. La deuxième tête qu’avait Diamat va alors disparaître, ses ailes seront trois fois plus nombreuses, ce qui lui donnera le pouvoir de voler. Au contraire de Solochi et Diamat, Trioxhydre se tiendra non pas sur quatre pattes mais sur deux, ces deux anciennes pattes avant deviendront alors ses nouveaux bras. Ces bras. Ils font sûrement partis des armes les plus puissantes de Trioxhydre : ils ont enfaite la forme d’une tête, sans en être une, bien sur, vu qu’elles n’abritent aucun cerveau. Le bras est constitué à l’extrémité de deux yeux et une gueule, qui servira à Trioxhydre quand il devra manger ou quand il souhaitera regarder derrière lui sans devoir tourner sa véritable tête. Le bras servira également à capturer ses proies et à les tuer sauvagement.
Trioxhydre, l'un des plus puissants Pokémons Dragons.
Mais quand est t’il de ses autres membres ou organes vitaux ? Parlons de ses yeux notamment : l’armure qui couvrait la tête de Solochi et/ou de Diamat, et qui leur obstruait la vue, a désormais disparu pour laisser place à une crête rouge qui trônera sur la tête de Trioxhydre. Trioxhydre découvrira enfin le « pouvoir de voir », chose qui lui était interdite avant son évolution. Néanmoins, Trioxhydre n’est pas du tout habitué à la lumière, rien que celle émanant des étoiles qui scintillent dans la nuit obscure lui brûle les yeux. Il va donc, dès son évolution, se réfugier dans les grottes qu’il avait auparavant habité, quand il n’était qu’un simple Solochi. Une fois réfugié dans sa tanière, il attendra toujours la nuit tombé pour y sortir et regarder, quelques secondes par nuit, la lune briller, dans le but d’habituer ses yeux à la lumière. Ils ne seront en revanche jamais prêts pour affronter la lumière du Soleil, celle-ci étant beaucoup trop forte : Trioxhydre ne se manifestera que la nuit pour chasser et le jour, il restera bien à l’abri des rayons du Soleil, dans sa caverne pour se reposer et reprendre des forces.
Vous aurez alors compris que Trioxhydre est un danger uniquement la nuit. Dès le Soleil couché, il sort de sa grotte pour non seulement partir à la recherche de nourritures, mais également pour montrer sa toute puissance au reste du monde. La colère qu’il aura emmagasiner en lui pendant toutes ses années amplifiera alors grandement ses pouvoirs, qu’il ne se gênera pas d’exhiber devant toutes les autres espèces de Pokémons. Il aura tendance à voir en chaque être vivant une cause du malheur qui s’est abattu sur lui étant jeune, ce qu’il le poussera à causer des désastres et des catastrophes d’une ampleur rarement égalé. Il est devenu en même temps spécialiste d’une attaque qui ne manquera pas de faire des dégâts, autant à la nature qu’à ses soi-disant ennemis : l’attaque « Draco Météor ». Cette attaque, (connue pour être la plus puissante et la plus dévastatrice des attaques que les Pokémons Dragon peuvent apprendre) quand elle est lancée par un Trioxhydre dont la colère a atteint son paroxysme, peut littéralement raser une dizaine d’hectare de forets en un seul coup. Rien ne peut échapper à une telle manifestation de la puissance de Trioxhydre. La victime ne pourra alors que regarder, impuissante, les météores invoqués par le Dragon des Ténèbres s’écraser violemment sur le sol innocent et sur elle-même.
Passé cent ans sur Terre, Trioxhydre comme énormément d’être vivants, va gentiment commencer à fatiguer. Ses mouvements seront moins rapides, son envol plus capricieux et surtout, ses attaques moins puissantes. Il sera plus que jamais à la merci d’autres prédateurs, plus jeunes et plus aptes à régner en grand maître de la nature. Trioxhydre, dont la fierté n’a d’égale que sa brutalité, se refusera alors à subir ce triste destin qu’est celui de dépérir comme une victime, alors qu’il fut pendant longtemps celui qui terrorisait les autres troupeaux de Pokémons et rasait des champs tout entiers. Il va alors tenter de se battre contre ces nouveaux ennemis. Bien sûr, il gagnera la plupart de ces combats mais au fil du temps, il finira par céder. A la veille de sa mort, Trioxhydre, blessé par les combats qui auront eu raison de lui, s’envolera une dernière fois vers les montagnes qui lui servait autrefois de maison, pour y pousser ses derniers hurlements de fureur, qui déchireront le silence glaciale de l’hiver pour la dernière fois.
Ce trait de personnalité, très rare chez les Pokémon, atteint son paroxysme au sein d’une espèce de Pokémon en particulier, une espèce à la fois rare et dangereuse pour quiconque cherche à s’en approcher. Un Pokémon de type Dragon, connu pour son extrême violence : Trioxhydre. Le texte qui suit explique le destin tumultueux d’un Pokémon, et de ces pré-évolutions (Solochi et Diamat), qui n’aura de cesse d’alimenter les rêves les plus fous des dresseurs souhaitant s’accaparer leurs puissances, et les cauchemars les plus terrifiants des Pokémons sauvages qui se retrouvent très souvent désarmés face à un tel potentiel de destruction.
Solochi : victime de la nature
Le Solochi est la première pré-évolution de cette espèce de Pokémon. Il évoluera en Diamat. Le Solochi est un Pokémons bien particulier, à qui la nature n’a malheureusement pas fait de cadeaux.
Les œufs de Solochi sont en général laissés à l’abandon par leurs géniteurs, dans des grottes sombres et humides enfoncées dans les montagnes. Ainsi, le Solochi nait seul, il vit une très grande partie de son existence de cette manière-là, et aucune protection ne lui est accordé à sa naissance : il devra se débrouiller par ses propres moyens pour survivre, mais comme le destin semble s’acharner sur lui, un autre facteur viendra encore plus lui compliquer la rude tâche de survivre dans l’environnement hostile dans lequel il est né. Il est aveugle depuis sa naissance et le sera malheureusement longtemps, jusqu’à arriver à son stade final d’évolution. C’est une sorte de carapace qui lui protège la tête jusqu’aux épaules qui le rend aveugle, celle-ci camouflant également le front et les yeux. Cette absence de sens visuel est alors largement combler par un système auditif extrêmement précis et performant : il peut facilement entendre un gravier tomber à cinquante mètres de lui.
Solochi, aveugle depuis sa naissance.
Ce cruel manque de la vue, il ne pourra malheureusement jamais faire avec et son esprit en est profondément blessé. Il ne peut jamais faire le calme en lui-même pour mieux se servir de ses autres sens et se repère dans son environnement naturel en chargeant les parois de la grotte dans laquelle il vit, parfois même jusqu’à s’en blesser grièvement. Il n’est pas rare d’entendre des cris sinistres de douleur au pied des montagnes dans lesquels un Solochi vit. Cette telle frustration de ne pas pouvoir voir va, au fil des années, engendrer en lui une profonde colère, une rage incontrôlable que ni lui, ni personne d’autre ne pourra contrôler.
Au fil des années, il deviendra un véritable danger pour quiconque ose pénétrer son territoire. Même la plus inoffensive des créatures se fera sauvagement attaquer par ce « bébé dragon des ténèbres ».
Diamat : deux fois plus de problèmes
Solochi, comme 46.7% des Pokémons recensés, va un jour évoluer. Très tardivement, en comparaison de la majorité des autres espèces de Pokémons. Vous allez alors penser que son évolution va améliorer son existence ou sa condition de vie mais il n’en n’est rien. Bien au contraire…
En évoluant, l’âme et l’esprit de Solochi va être littéralement déchiré en deux parties : c’est la conséquence de ces nombreuses années de souffrances qu’il a enduré. Sa tête va alors devoir en accueillir une autre qui apparaitra juste à côté de la sienne. C’est dans cette deuxième tête que viendra se loger la seconde partie de l’esprit déchiré de Solochi.
De petites ailes pousseront alors sur son dos mais elles ne seront malheureusement pas assez robustes et grandes pour faire voler Solochi, que nous appellerons désormais Diamat, en référence à ces deux têtes.
Diamat, le Dragon à deux têtes.
Parlons s‘en de ses deux têtes. Souvenons-nous de Solochi qui, au moindre bruit, attaquait tout ce qu’il pouvait attaquer. Et bien maintenant, c’est pire. Les deux têtes de Diamat ont parfois tout simplement de la peine à se rendre compte qu’elles partagent le même corps et donc le même destin. Elles ne peuvent alors pas coordonner leurs gestes et faire en sorte de contribuer à leurs intérêts communs. Manger, par exemple, leur est très difficile : Les deux têtes vont se battre entre elles pour pouvoir manger le plus gros morceau de viande. Même se déplacer devient une tâche complexe : si l’une des têtes veut aller à droite et que l’autre veut aller à gauche, Diamat a alors beaucoup de chance de rester clouer au sol pendant au moins vingt bonnes minutes avant que la tête qui dispose de la moins grande volonté finisse par céder au caprice de l’autre.
Cette période de la vie de cette espèce de Pokémons coïncide également avec des faits importants de son histoire : la reproduction de celui-ci et la migration vers d’autres terres.
Les Diamats se rencontrent et s’accouplent pendant l’hiver quand les températures vont en dessous de 0°C, cette période peut-être considéré comme étant leur « saison des amours ». Ils sortent alors de leurs grottes pour se rendre dans les recoins les plus froids de la montagne dans laquelle ils habitent, au sommet de celle-ci en général. Les Pokémons de cette espèce étant très rares, un Diamat ne trouvera pas forcément de femelles (ou de males, si c’est une femelle) avec qui il pourrait s’accoupler. Si, par malheur, il rencontre un Diamat du même sexe, alors qu’il cherchait un Diamat du sexe opposé pour pouvoir s’accoupler, il va alors se battre violemment avec celui-ci, parfois jusqu’à la mort. Si, au contraire, le Diamat en rencontre un autre mais du sexe opposé, alors ils pourront s’accoupler dans l’unique but de procréer. En effet, chez les Diamats, les Solochis ou les Trioxhydres, il n’y a pas de phase de séduction avant la procréation : ils s’accouplent dans l’unique et seul but qu’est la ponte de leurs œufs, pour faire survivre leur espèce, l’amour n’ayant pas de place dans leur mœurs.
Une fois l’accouplement terminé, la femelle va alors parcourir la montagne dans le but de trouver une caverne suffisamment confortable pour accoucher. Elle va ensuite abandonner ces œufs et partir à la conquête de nouveaux territoires, un voyage qui lui sera utile aux préparatifs nécessaires à sa prochaine évolution. Il en va de même pour le mâle : il quittera sa sinistre caverne pour migrer vers le sud.
Ce voyage, qui se fait en général un peu avant la fin de la saison des amours, a pour but de donner au Diamat la possibilité de découvrir de nouveaux endroits fertiles en alimentations, la montagne dans lequel il habitait autrefois étant devenue déserte de toutes formes de nourritures pendant l’hiver. C’est la période de sa vie où il aura le plus à faire à d’autres Pokémons sauvages, et donc, où il devra le plus se battre pour sa survie. Il va, en général, voyager à travers les jungles, les déserts ou aux pieds des volcans.
Durant cette période de sa vie, il va enchaîner les combats, parfois même contre des Pokémons beaucoup plus puissants que lui. Il va alors accumuler de l’expérience, des nouveaux pouvoirs, il va commencer à privilégier les attaques indirectes aux attaques physiques et ses victoires vont lui rapporter un sursaut d’énergie, mais aussi d’orgueil, qui lui sera vital pour son ultime évolution, celle qui fera de lui l’un des Pokémons Dragons les plus dangereux que l’histoire n’ait jamais connu.
Trioxhydre : quand le mot « puissance » prend tout son sens.
Diamat va évoluer, pour la dernière fois de sa vie, une fois que sa puissance aura atteint son point culminant, généralement quand les deux tiers de sa vie sont entamés (environ une soixantaine d’années). Il évoluera en Trioxhydre.
Souvenez-vous de Solochi qui a vu son âme déchirée en deux parties distinctes : ces deux parties seront réunifiés à la suite de l’évolution en Trioxhydre. La deuxième tête qu’avait Diamat va alors disparaître, ses ailes seront trois fois plus nombreuses, ce qui lui donnera le pouvoir de voler. Au contraire de Solochi et Diamat, Trioxhydre se tiendra non pas sur quatre pattes mais sur deux, ces deux anciennes pattes avant deviendront alors ses nouveaux bras. Ces bras. Ils font sûrement partis des armes les plus puissantes de Trioxhydre : ils ont enfaite la forme d’une tête, sans en être une, bien sur, vu qu’elles n’abritent aucun cerveau. Le bras est constitué à l’extrémité de deux yeux et une gueule, qui servira à Trioxhydre quand il devra manger ou quand il souhaitera regarder derrière lui sans devoir tourner sa véritable tête. Le bras servira également à capturer ses proies et à les tuer sauvagement.
Trioxhydre, l'un des plus puissants Pokémons Dragons.
Mais quand est t’il de ses autres membres ou organes vitaux ? Parlons de ses yeux notamment : l’armure qui couvrait la tête de Solochi et/ou de Diamat, et qui leur obstruait la vue, a désormais disparu pour laisser place à une crête rouge qui trônera sur la tête de Trioxhydre. Trioxhydre découvrira enfin le « pouvoir de voir », chose qui lui était interdite avant son évolution. Néanmoins, Trioxhydre n’est pas du tout habitué à la lumière, rien que celle émanant des étoiles qui scintillent dans la nuit obscure lui brûle les yeux. Il va donc, dès son évolution, se réfugier dans les grottes qu’il avait auparavant habité, quand il n’était qu’un simple Solochi. Une fois réfugié dans sa tanière, il attendra toujours la nuit tombé pour y sortir et regarder, quelques secondes par nuit, la lune briller, dans le but d’habituer ses yeux à la lumière. Ils ne seront en revanche jamais prêts pour affronter la lumière du Soleil, celle-ci étant beaucoup trop forte : Trioxhydre ne se manifestera que la nuit pour chasser et le jour, il restera bien à l’abri des rayons du Soleil, dans sa caverne pour se reposer et reprendre des forces.
Vous aurez alors compris que Trioxhydre est un danger uniquement la nuit. Dès le Soleil couché, il sort de sa grotte pour non seulement partir à la recherche de nourritures, mais également pour montrer sa toute puissance au reste du monde. La colère qu’il aura emmagasiner en lui pendant toutes ses années amplifiera alors grandement ses pouvoirs, qu’il ne se gênera pas d’exhiber devant toutes les autres espèces de Pokémons. Il aura tendance à voir en chaque être vivant une cause du malheur qui s’est abattu sur lui étant jeune, ce qu’il le poussera à causer des désastres et des catastrophes d’une ampleur rarement égalé. Il est devenu en même temps spécialiste d’une attaque qui ne manquera pas de faire des dégâts, autant à la nature qu’à ses soi-disant ennemis : l’attaque « Draco Météor ». Cette attaque, (connue pour être la plus puissante et la plus dévastatrice des attaques que les Pokémons Dragon peuvent apprendre) quand elle est lancée par un Trioxhydre dont la colère a atteint son paroxysme, peut littéralement raser une dizaine d’hectare de forets en un seul coup. Rien ne peut échapper à une telle manifestation de la puissance de Trioxhydre. La victime ne pourra alors que regarder, impuissante, les météores invoqués par le Dragon des Ténèbres s’écraser violemment sur le sol innocent et sur elle-même.
Passé cent ans sur Terre, Trioxhydre comme énormément d’être vivants, va gentiment commencer à fatiguer. Ses mouvements seront moins rapides, son envol plus capricieux et surtout, ses attaques moins puissantes. Il sera plus que jamais à la merci d’autres prédateurs, plus jeunes et plus aptes à régner en grand maître de la nature. Trioxhydre, dont la fierté n’a d’égale que sa brutalité, se refusera alors à subir ce triste destin qu’est celui de dépérir comme une victime, alors qu’il fut pendant longtemps celui qui terrorisait les autres troupeaux de Pokémons et rasait des champs tout entiers. Il va alors tenter de se battre contre ces nouveaux ennemis. Bien sûr, il gagnera la plupart de ces combats mais au fil du temps, il finira par céder. A la veille de sa mort, Trioxhydre, blessé par les combats qui auront eu raison de lui, s’envolera une dernière fois vers les montagnes qui lui servait autrefois de maison, pour y pousser ses derniers hurlements de fureur, qui déchireront le silence glaciale de l’hiver pour la dernière fois.
VICO
Evolution des Ramoloss
Bonjour, aujourd’hui, je vais vous parler des évolutions de Ramoloss. Mais d'abord, intéressons nous à Ramoloss lui même. D'un certain point de vue, Ramoloss est un chien sans poil tout rose auquel on a ajouté une queue géante et un sourire béat (si c'était un chat, ça s'appellerait NaynCat). Maintenant que nous avons fixé le personnage, intéressons nous à ses évolutions.
ROIGADA : Roigada est une évolution de Ramoloss, sinon, je m'emmerderai pas à vous en parler. Roigada est donc un chien sans poil tout rose avec un sourire béat, mais qui s'est mis sur ses pattes arrières, et qui porte une espèce de couronne de pierre.
Mais me demanderez vous "Que vient faire cette couronne ici?". Eh bien, d'un point de vue scientifique, cela se nomme les stalagmites. Imaginez donc que le crâne supérieur de Ramoloss soit en pierre, il ne suffirait que, lors de son évolution que la roche royale ait le le principe de la stalagmite accélérée, non?
Il serait assez simple de vérifier cela en plaçant de la poudre de crâne de Ramoloss dans du mercure, un produit liquide ne contenant pas d'eau, et de tremper ce mélange dans du sulfate de cuivre anhydre?
Alors ma théorie serait exact.
FLAGADOSS : Flagadoss est un chiens sans poil tout rose avec une queue géante en pierre. Mais rappellez moi, de quelle type est Flagadoss? Et oui, il est de type eau-psy. Il serait donc tout à fait possible que la queue de Flagadoss soit un fossile "réveillé" au passage du dit pokémon. Mais comment serait-il réveillé? Peut être par le double type de Flagadoss Psy. Une aura entoure peut être ce pokémon? Et donc, ce fossile aurait, "réveillé" par Flagadoss, mordu le protagoniste pour suivre cette aura bénéfique? Il se sentirait nourri et protégé probablement.
Voila, je vous ai donc présenté les deux évolutions de Ramoloss.
ROIGADA : Roigada est une évolution de Ramoloss, sinon, je m'emmerderai pas à vous en parler. Roigada est donc un chien sans poil tout rose avec un sourire béat, mais qui s'est mis sur ses pattes arrières, et qui porte une espèce de couronne de pierre.
Mais me demanderez vous "Que vient faire cette couronne ici?". Eh bien, d'un point de vue scientifique, cela se nomme les stalagmites. Imaginez donc que le crâne supérieur de Ramoloss soit en pierre, il ne suffirait que, lors de son évolution que la roche royale ait le le principe de la stalagmite accélérée, non?
Il serait assez simple de vérifier cela en plaçant de la poudre de crâne de Ramoloss dans du mercure, un produit liquide ne contenant pas d'eau, et de tremper ce mélange dans du sulfate de cuivre anhydre?
Alors ma théorie serait exact.
FLAGADOSS : Flagadoss est un chiens sans poil tout rose avec une queue géante en pierre. Mais rappellez moi, de quelle type est Flagadoss? Et oui, il est de type eau-psy. Il serait donc tout à fait possible que la queue de Flagadoss soit un fossile "réveillé" au passage du dit pokémon. Mais comment serait-il réveillé? Peut être par le double type de Flagadoss Psy. Une aura entoure peut être ce pokémon? Et donc, ce fossile aurait, "réveillé" par Flagadoss, mordu le protagoniste pour suivre cette aura bénéfique? Il se sentirait nourri et protégé probablement.
Voila, je vous ai donc présenté les deux évolutions de Ramoloss.
YAGO
Evolution des Ramoloss
Tout le monde croit que ramoloss évolue au niveau 38 en flagadoss, mais c'est faux. Régulièrement je vois des ramoloss tremper leur queue dans l'eau, je me suis posé la question comment font ils pour attirer un kokiyas et donc évoluer.
Eh bien j'ai trouvé un moyen (dégueulasse je le conçois)
J'ai donc capturé un ramoloss, comme je sais que leur queue repousse, j'en profite un peu.
Après examens complet de l'appendice, j'ai découvert une petite glande sécrétant une hormone qui attire les kokiyas.
Cependant une question reste entière : comment les kokiyas changent de formes après avoir mordu la queue ?
Cette fois je capture un kokiyas, à qui je fais absorber l'hormone, et là il change de forme, victoire. Seulement il meurt peu de temps après. c'est là que je comprend que le pokemon a besoin d’être en symbiose avec ramoloss, pour survivre.
Par contre, je me suis posé la question : comment ramoloss évolue en roigada ?
Je suppose que c'est de la même manière que flagadoss mais ramoloss m'a l'air un peu trop décérébré pour mettre sa tête dans l'eau.
Cependant avec des recherches plus poussées, j'ai fini par trouver à quoi sert la roche royale
Bizarrement elle sert à attirer le kokiyas en faisant passer la pierre pour de la nourriture, au moment où le pokémon bivalve se referme la douleur provoquée génère une réaction sur les afflux neural et donc réveille les capacités intellectuelle du pokemon.
Eh bien j'ai trouvé un moyen (dégueulasse je le conçois)
J'ai donc capturé un ramoloss, comme je sais que leur queue repousse, j'en profite un peu.
Après examens complet de l'appendice, j'ai découvert une petite glande sécrétant une hormone qui attire les kokiyas.
Cependant une question reste entière : comment les kokiyas changent de formes après avoir mordu la queue ?
Cette fois je capture un kokiyas, à qui je fais absorber l'hormone, et là il change de forme, victoire. Seulement il meurt peu de temps après. c'est là que je comprend que le pokemon a besoin d’être en symbiose avec ramoloss, pour survivre.
Par contre, je me suis posé la question : comment ramoloss évolue en roigada ?
Je suppose que c'est de la même manière que flagadoss mais ramoloss m'a l'air un peu trop décérébré pour mettre sa tête dans l'eau.
Cependant avec des recherches plus poussées, j'ai fini par trouver à quoi sert la roche royale
Bizarrement elle sert à attirer le kokiyas en faisant passer la pierre pour de la nourriture, au moment où le pokémon bivalve se referme la douleur provoquée génère une réaction sur les afflux neural et donc réveille les capacités intellectuelle du pokemon.
EFFERALGAN
Evolution des Ramoloss
« Ramoloss trempe sa queue dans l'eau au bord des rivières pour attraper ses proies », nous dit le Pokédex Émeraude. Cette pêche est d’ailleurs facilitée par « la sève sucrée [qui] coule du bout [blanc] de sa queue » (Pokédex Argent). J’en vois qui rigolent dans le fond, on arrête ça tout de suite. Cette queue attire donc les Pokémon aquatiques, et les membres de la Team Rocket qui les vendent comme friandises (« elle reste agréable à mâchouiller », Pokédex Argent). Oui, des friandises à 1.000.000. Mais bon. Les seuls problèmes auxquels Ramoloss est confronté étant que 1) il lui faut 5 secondes pour ressentir la douleur (Pokédex Rouge) et que 2) il lui faut une journée pour remarquer qu'on lui mord la queue (Pokédex Or). On pourrait penser qu’il faille vraiment que la proie ait des envies de suicide pour rester accrochée, mais il faut aussi prendre en compte l’effet apaisant du liquide qui suinte, et le métabolisme particulièrement lent du Ramoloss, qui peut se permettre de ne prendre qu’un repas par semaine, voire moins.
Si un Pokémon a mordu à la queue, et si Ramoloss le remarque, sa réaction va être de la sortir de l’eau, de frapper le Pokémon jusqu’à ce que K.O. s’ensuive, et de le manger. Mais si c’est un Kokiyas, dont « la coquille [est] aussi dure que du diamant » (Pokédex Rouge Feu), et dont le seul point faible est refermé sur la queue, il devient quasiment impossible de le déloger, et le Kokiyas continue donc indéfiniment à ne nourrir du liquide qui suinte.
Devenu incapable de continuer à vivre de sa pêche, maintenant que sa queue est indisponible, la Ramoloss n’a plus le choix : il doit s’adapter ou mourir. (On utilisera par la suite le terme Flagadoss pour désigner l’association d’un Ramoloss et d’un Kokiyas accroché à sa queue.) Il « connaît des éclairs de lucidité » et « ne ressent plus la douleur à cause du poison injecté par le Kokiyas » (Pokédex Argent). N’oublions pas que Kokiyas peut apprendre Toxic et Double-Dard. Ainsi rendu un poil plus intelligent, notre Flagadoss va passer en station debout, et générer une armure sur son ventre, pour éviter des blessures qu’il ne sentirait pas et qui risqueraient donc de s’infecter. De son côté, Kokiyas va durcir sa coquille et l’hérisser de pics. Il a en effet tout intérêt à la survie de son hôte, et balancer des Hydroqueues avec un appendice garni de piquants plus durs que le diamant, j’appelle ça un bon moyen de survivre, personnellement. Ces modifications dans le blindage de chacun de nos deux Pokémon sont suffisantes pour expliquer les problèmes de conservation de la masse : Ramoloss pèse 36kg, Kokiyas en pèse 4, mais Flagadoss pèse 78,5kg, soit presque le double, et la différence s’explique donc par les couches protectrices développées par chacun. Rendu ainsi plus dense, Flagadoss nage plus facilement ; heureusement, car c’est désormais son seul moyen de chercher des proies : « [il] est donc obligé de nager pour attraper ses proies » (Pokédex Émeraude).
Néanmoins, cette transformation est totalement réversible. Que le Kokiyas vienne à se détacher, au cours d’un combat par exemple, et le Ramoloss, n’ayant plus besoin de son armure, et donc de se tenir debout, reviendra à son état initial de simple pêcheur : « si pendant un combat le Kokiyas accroché à sa queue est arraché, il redevient un Ramoloss » (Pokédex Or).
De ceci, on peut tirer un résultat qui nous sera extrêmement important par la suite : le poison de Kokiyas a un effet très court et localisé. Sitôt le Kokiyas parti, le Ramoloss devient complètement abruti, déjà, et sensible à la douleur, sauf dans la queue, qui, chez tous les Ramoloss, est insensibilisée, rappelons-le.
Mais une autre évolution est possible pour les Ramoloss, bien que très rare. En effet, un Ramoloss qui trouve, et qui décide de porter, une Roche Royale, va voir ses pouvoirs psychiques amplifiés par cette dernière (le lecteur cultivé aura noté qu'il est de type Eau/Psy). De plus, les morsures de Kokiyas ne se font à présent plus sur la queue, mais sur la tête (on parle alors de Roigada). Est-ce à cause de la richesse en minéraux de cette couronne antique, qui fortifieraient l'armure de Kokiyas, ou des pouvoirs télekinétiques de Ramoloss qui, dans un souci de se fatiguer le moins possible, fait directement léviter les proies jusqu'à sa bouche ? Impossible de le dire précisément, les observations de Ramoloss couronnés sauvages ont été bien trop rares.
Une fois mordu à la tête par le Kokiyas, le Ramoloss est obligé de se lever, pour que le poids dudit Kokiyas s'exerce verticalement et non plus horizontalement : bouger la tête deviendrait une épreuve en soi. Dès la morsure, les effets du poison commencent à se faire sentir : cette toxine, à l'effet, nous l'avons vu, très localisé, était déjà capable d'améliorer les capacités cérébrales si injecté dans la queue. Appliqué directement à la source, il démultiplie alors l'intelligence et les pouvoirs Psy du Ramoloss, déjà améliorés par la Roche Royale. Ainsi, certains Roigada deviennent capables de paroles (voir le film Pokémon 2 : Le Pouvoir est en Toi). La Roche Royale profite également au Kokiyas, puisque ce dernier l'a littéralement dans la bouche, et est semble t'il, à l'origine du joyau rouge à la surface de sa coquille, dont l'utilité est encore sujette à de nombreux débats parmi les rangs des plus grands biologistes de ce continent.
Les mêmes transformations que précédemment ont lieu sur les deux Pokémon : le Kokiyas change de forme, et le Ramoloss développe une armure ventrale. La différence de poids entre Roigada et Flagadoss, de 1kg, s'explique simplement par le poids de la Roche Royale.
Par ailleurs, en y regardant de plus près, on observe la disparition de la tache blanche au bout de la queue du Ramoloss : pour nourrir son Kokiyas, source de tous ses pouvoirs, le Ramoloss ne génère plus son liquide par la queue, mais par la tête. La collerette autour du cou du Ramoloss servirait, selon certains experts, à recueillir le surplus de liquide, et à l'empêcher de se répandre sur le sol. Ce qui ne manquerait pas d'attirer tous les Pokémon des environs. On est à présent amenés à se questionner sur la réversibilité de cette association symbiotique qui forme le Roigada. Mais, contrairement à son proche cousin le Flagadoss, il ne combat plus par la force de ses muscles, mais grâce à des vagues d'énergie mentale. Ne subissant aucun choc, le Kokiyas ne se décroche donc jamais, théorie confirmée par le fait qu'aucun Ramoloss issu d'une désévolution (c'est-à-dire portant des traces de crocs autour de la tête) n'ait été observé.
ANNEXE : le lecteur curieux se demande certainement pourquoi aucun Ramoloss ne porte de Crustabri, qui se forme lors du contact d'un Kokiyas et d'une Pierre Eau. Lorsque le Kokiyas est accroché à son hôte, sa coquille est hyper résistante et refermée sur le Ramoloss. Ainsi, le Kokiyas est complètement coupé de l'extérieur, et les radiations de la Pierre Évolutive ne lui parviennent pas. Heureusement pour le Ramoloss, qui se retrouverait lié à un Crustabri (1,5m pour 132kg, tout de même).Autre cas de figure possible : c'est un Crustabri qui mort le Ramoloss à la queue. Le Ramoloss voit alors sa queue sectionnée d'un coup sec, et le Crustabri repart repus. Le Ramoloss ne meurt pas de sa blessure (souvenez-vous des Ramoloss mutilés par la Team Rocket, dans le puits), mais uniquement de faim, après une agonie de plusieurs mois. Toutefois, les nouveaux progrès de l'industrie génique ont permis la création de Ramoloss dotés de Régénération, ce qui leur permet de faire repousser leur membre mutilé.
Si un Pokémon a mordu à la queue, et si Ramoloss le remarque, sa réaction va être de la sortir de l’eau, de frapper le Pokémon jusqu’à ce que K.O. s’ensuive, et de le manger. Mais si c’est un Kokiyas, dont « la coquille [est] aussi dure que du diamant » (Pokédex Rouge Feu), et dont le seul point faible est refermé sur la queue, il devient quasiment impossible de le déloger, et le Kokiyas continue donc indéfiniment à ne nourrir du liquide qui suinte.
Devenu incapable de continuer à vivre de sa pêche, maintenant que sa queue est indisponible, la Ramoloss n’a plus le choix : il doit s’adapter ou mourir. (On utilisera par la suite le terme Flagadoss pour désigner l’association d’un Ramoloss et d’un Kokiyas accroché à sa queue.) Il « connaît des éclairs de lucidité » et « ne ressent plus la douleur à cause du poison injecté par le Kokiyas » (Pokédex Argent). N’oublions pas que Kokiyas peut apprendre Toxic et Double-Dard. Ainsi rendu un poil plus intelligent, notre Flagadoss va passer en station debout, et générer une armure sur son ventre, pour éviter des blessures qu’il ne sentirait pas et qui risqueraient donc de s’infecter. De son côté, Kokiyas va durcir sa coquille et l’hérisser de pics. Il a en effet tout intérêt à la survie de son hôte, et balancer des Hydroqueues avec un appendice garni de piquants plus durs que le diamant, j’appelle ça un bon moyen de survivre, personnellement. Ces modifications dans le blindage de chacun de nos deux Pokémon sont suffisantes pour expliquer les problèmes de conservation de la masse : Ramoloss pèse 36kg, Kokiyas en pèse 4, mais Flagadoss pèse 78,5kg, soit presque le double, et la différence s’explique donc par les couches protectrices développées par chacun. Rendu ainsi plus dense, Flagadoss nage plus facilement ; heureusement, car c’est désormais son seul moyen de chercher des proies : « [il] est donc obligé de nager pour attraper ses proies » (Pokédex Émeraude).
Néanmoins, cette transformation est totalement réversible. Que le Kokiyas vienne à se détacher, au cours d’un combat par exemple, et le Ramoloss, n’ayant plus besoin de son armure, et donc de se tenir debout, reviendra à son état initial de simple pêcheur : « si pendant un combat le Kokiyas accroché à sa queue est arraché, il redevient un Ramoloss » (Pokédex Or).
De ceci, on peut tirer un résultat qui nous sera extrêmement important par la suite : le poison de Kokiyas a un effet très court et localisé. Sitôt le Kokiyas parti, le Ramoloss devient complètement abruti, déjà, et sensible à la douleur, sauf dans la queue, qui, chez tous les Ramoloss, est insensibilisée, rappelons-le.
Mais une autre évolution est possible pour les Ramoloss, bien que très rare. En effet, un Ramoloss qui trouve, et qui décide de porter, une Roche Royale, va voir ses pouvoirs psychiques amplifiés par cette dernière (le lecteur cultivé aura noté qu'il est de type Eau/Psy). De plus, les morsures de Kokiyas ne se font à présent plus sur la queue, mais sur la tête (on parle alors de Roigada). Est-ce à cause de la richesse en minéraux de cette couronne antique, qui fortifieraient l'armure de Kokiyas, ou des pouvoirs télekinétiques de Ramoloss qui, dans un souci de se fatiguer le moins possible, fait directement léviter les proies jusqu'à sa bouche ? Impossible de le dire précisément, les observations de Ramoloss couronnés sauvages ont été bien trop rares.
Une fois mordu à la tête par le Kokiyas, le Ramoloss est obligé de se lever, pour que le poids dudit Kokiyas s'exerce verticalement et non plus horizontalement : bouger la tête deviendrait une épreuve en soi. Dès la morsure, les effets du poison commencent à se faire sentir : cette toxine, à l'effet, nous l'avons vu, très localisé, était déjà capable d'améliorer les capacités cérébrales si injecté dans la queue. Appliqué directement à la source, il démultiplie alors l'intelligence et les pouvoirs Psy du Ramoloss, déjà améliorés par la Roche Royale. Ainsi, certains Roigada deviennent capables de paroles (voir le film Pokémon 2 : Le Pouvoir est en Toi). La Roche Royale profite également au Kokiyas, puisque ce dernier l'a littéralement dans la bouche, et est semble t'il, à l'origine du joyau rouge à la surface de sa coquille, dont l'utilité est encore sujette à de nombreux débats parmi les rangs des plus grands biologistes de ce continent.
Les mêmes transformations que précédemment ont lieu sur les deux Pokémon : le Kokiyas change de forme, et le Ramoloss développe une armure ventrale. La différence de poids entre Roigada et Flagadoss, de 1kg, s'explique simplement par le poids de la Roche Royale.
Par ailleurs, en y regardant de plus près, on observe la disparition de la tache blanche au bout de la queue du Ramoloss : pour nourrir son Kokiyas, source de tous ses pouvoirs, le Ramoloss ne génère plus son liquide par la queue, mais par la tête. La collerette autour du cou du Ramoloss servirait, selon certains experts, à recueillir le surplus de liquide, et à l'empêcher de se répandre sur le sol. Ce qui ne manquerait pas d'attirer tous les Pokémon des environs. On est à présent amenés à se questionner sur la réversibilité de cette association symbiotique qui forme le Roigada. Mais, contrairement à son proche cousin le Flagadoss, il ne combat plus par la force de ses muscles, mais grâce à des vagues d'énergie mentale. Ne subissant aucun choc, le Kokiyas ne se décroche donc jamais, théorie confirmée par le fait qu'aucun Ramoloss issu d'une désévolution (c'est-à-dire portant des traces de crocs autour de la tête) n'ait été observé.
ANNEXE : le lecteur curieux se demande certainement pourquoi aucun Ramoloss ne porte de Crustabri, qui se forme lors du contact d'un Kokiyas et d'une Pierre Eau. Lorsque le Kokiyas est accroché à son hôte, sa coquille est hyper résistante et refermée sur le Ramoloss. Ainsi, le Kokiyas est complètement coupé de l'extérieur, et les radiations de la Pierre Évolutive ne lui parviennent pas. Heureusement pour le Ramoloss, qui se retrouverait lié à un Crustabri (1,5m pour 132kg, tout de même).Autre cas de figure possible : c'est un Crustabri qui mort le Ramoloss à la queue. Le Ramoloss voit alors sa queue sectionnée d'un coup sec, et le Crustabri repart repus. Le Ramoloss ne meurt pas de sa blessure (souvenez-vous des Ramoloss mutilés par la Team Rocket, dans le puits), mais uniquement de faim, après une agonie de plusieurs mois. Toutefois, les nouveaux progrès de l'industrie génique ont permis la création de Ramoloss dotés de Régénération, ce qui leur permet de faire repousser leur membre mutilé.
Le motif en forme de pokéballs sur le chapeau du Gaulet
Tout comme ses prédécesseurs Voltorbe et Electrode, Gaulet doit assumer, dans cette 5ème génération, le rôle du truc chiant qu’on prend pour une Pokéball mais qui n’en est pas une. À la différence de ces derniers, toutefois, il n’en possède pas la morphologie, mais en revêt seulement un dessin sur le chapeau.
Chapeau qui fait au moins 40cm de large. Je sais pas, je vois une Pokéball, dans l’herbe, qui fait environ 10 fois la taille d’une Pokéball normale, je me dis pas « ouais, super, elle doit contenir des trucs vachement importants ! ». Genre, je me casse. Enfin bon, c’était pareil dans les premières générations dans les différentes centrales électriques, avec les Voltorbe et les Electrode qu’on prenait pour des balls malgré leurs tailles respectives de 50cm et 1,2m. Pour le bien de cet exposé, on va donc dire que le héros est presbyte hypermétrope astigmate borgne.
Revenons à notre champignon. Il est dit qu’il utilise le dessin de Pokéball sur ses bras pour attirer des Pokémon sauvages. Il est également dit que ça ne marche pas. Quel Pokémon est suffisamment stupide pour se jeter sur une Pokéball, sérieusement ? À moins que j’aie raté quelque chose d’important dans mes cours de sciences nat, un des buts principaux d’un Pokémon sauvage, dans la vie, c’est quand même plus ou moins de le rester. Mais je m’égare. Ça peut potentiellement être efficace sur des trucs particulièrement abrutis (Chenipan, Crikzik), qui ne peuvent de toute façon pas bouger (Coconfort, Armulys), ou à l’extrême limite à certains qui sont, comme notre héros, complètement miros. Après quoi notre ami les Champignon les endort à coups de Spore et les mange. D’ailleurs, depuis quand un champignon mange des insectes ? C’est pas censé puiser ses nutriments dans la terre, ou quelque chose comme ça ? J’ai décidément dû dormir en SVT. Ah, attendez, non, ce champignon n’est pas un champignon ordinaire. C’est un champignon capable de Photosynthèse (niveau 35). Bon. Je résume, nous sommes donc en présence d’un champignon insectivore qui photosynthétise et qui se déplace en sautillant. Je pense que les dessins de Pokéball sont les derniers de nos soucis, mais bon, ce n’est pas moi qui ai choisi le sujet d’étude. Mais je digresse encore.
Tout ça, donc, c’était pour les Pokéball au bout des bras. Passons à celle sur la tête maintenant. À quoi ça peut servir, franchement ? Il va se baisser pour attirer les Pokémon avec ? Ou alors c’est pour attirer l’attention des Pokémon volants, comme par exemple un Roucoups, ou un Etourvol, un peu comme un grand panneau « Mangez-moi » ? Ou pour les dresseurs, comme un appel à se faire capturer/buter ? Éventuellement, on peut vraisemblablement considérer qu’il se déplace dans les bois, et que ça peut parfois servir à peut-être faire venir à lui les hypothétiques Chenipan dans les arbres. Mais c’est tout. Pour moi, la réponse est ailleurs.
En effet, si les Pokéballs des bras ne sont qu’un artifice de chasse plus ou moins nase, mais suffisant pour assurer sa survie, la Pokéball de la tête est un attribut sexuel majeur. Je m’explique. Cette Pokéball est à la fois extrêmement encombrante, voyante, et fragile. Elle représente en plus, suprême désavantage, un appât à dresseurs, reconnus par toute la Pokéfaune sauvage comme étant les créatures les plus difficiles à vaincre. Un Gaulet parvenu jusqu’à un stade adulte en ayant survécu et en ayant conservé un chapeau intact devient attirant pour les membres du sexe opposé : il doit être très fort/intelligent/whatever pour avoir réussi à s’en sortir. Voilà qui fait de lui un partenaire idéal, puisqu’il possède un patrimoine génétique avantageux. (Pour plus de détails, la sélection sexuelle des paons est à peu près similaire.) D’où une expansion de la quantité d??individus chapeautés, qui a atteint aujourd’hui la totalité de la population, malgré le désavantage originel, et flagrant, apporté par cette mutation.
Enfin, remarquons qu’un Gaulet dispose d’un « essai gratuit » avec son encombrant fardeau sous la forme de Trompignon : s’il y parvient, il obtient un chapeau neuf au moment de l’évolution. Notons également les récentes manipulations génétiques ayant abouti à des individus sauvage présentant les couleurs de la MasterBall. Ils étaient à la base destinés à des études en laboratoire (et je pense surtout à une blague entre étudiants quasi-aveugles pour faire croire aux autres qu’on a une MasterBall), mais certains ont réussi à répandre leurs Spores à l’extérieur, à l’origine des mutations parfois observés chez ceux qu’on appelle désormais « chromatiques ».
Chapeau qui fait au moins 40cm de large. Je sais pas, je vois une Pokéball, dans l’herbe, qui fait environ 10 fois la taille d’une Pokéball normale, je me dis pas « ouais, super, elle doit contenir des trucs vachement importants ! ». Genre, je me casse. Enfin bon, c’était pareil dans les premières générations dans les différentes centrales électriques, avec les Voltorbe et les Electrode qu’on prenait pour des balls malgré leurs tailles respectives de 50cm et 1,2m. Pour le bien de cet exposé, on va donc dire que le héros est presbyte hypermétrope astigmate borgne.
Revenons à notre champignon. Il est dit qu’il utilise le dessin de Pokéball sur ses bras pour attirer des Pokémon sauvages. Il est également dit que ça ne marche pas. Quel Pokémon est suffisamment stupide pour se jeter sur une Pokéball, sérieusement ? À moins que j’aie raté quelque chose d’important dans mes cours de sciences nat, un des buts principaux d’un Pokémon sauvage, dans la vie, c’est quand même plus ou moins de le rester. Mais je m’égare. Ça peut potentiellement être efficace sur des trucs particulièrement abrutis (Chenipan, Crikzik), qui ne peuvent de toute façon pas bouger (Coconfort, Armulys), ou à l’extrême limite à certains qui sont, comme notre héros, complètement miros. Après quoi notre ami les Champignon les endort à coups de Spore et les mange. D’ailleurs, depuis quand un champignon mange des insectes ? C’est pas censé puiser ses nutriments dans la terre, ou quelque chose comme ça ? J’ai décidément dû dormir en SVT. Ah, attendez, non, ce champignon n’est pas un champignon ordinaire. C’est un champignon capable de Photosynthèse (niveau 35). Bon. Je résume, nous sommes donc en présence d’un champignon insectivore qui photosynthétise et qui se déplace en sautillant. Je pense que les dessins de Pokéball sont les derniers de nos soucis, mais bon, ce n’est pas moi qui ai choisi le sujet d’étude. Mais je digresse encore.
Tout ça, donc, c’était pour les Pokéball au bout des bras. Passons à celle sur la tête maintenant. À quoi ça peut servir, franchement ? Il va se baisser pour attirer les Pokémon avec ? Ou alors c’est pour attirer l’attention des Pokémon volants, comme par exemple un Roucoups, ou un Etourvol, un peu comme un grand panneau « Mangez-moi » ? Ou pour les dresseurs, comme un appel à se faire capturer/buter ? Éventuellement, on peut vraisemblablement considérer qu’il se déplace dans les bois, et que ça peut parfois servir à peut-être faire venir à lui les hypothétiques Chenipan dans les arbres. Mais c’est tout. Pour moi, la réponse est ailleurs.
En effet, si les Pokéballs des bras ne sont qu’un artifice de chasse plus ou moins nase, mais suffisant pour assurer sa survie, la Pokéball de la tête est un attribut sexuel majeur. Je m’explique. Cette Pokéball est à la fois extrêmement encombrante, voyante, et fragile. Elle représente en plus, suprême désavantage, un appât à dresseurs, reconnus par toute la Pokéfaune sauvage comme étant les créatures les plus difficiles à vaincre. Un Gaulet parvenu jusqu’à un stade adulte en ayant survécu et en ayant conservé un chapeau intact devient attirant pour les membres du sexe opposé : il doit être très fort/intelligent/whatever pour avoir réussi à s’en sortir. Voilà qui fait de lui un partenaire idéal, puisqu’il possède un patrimoine génétique avantageux. (Pour plus de détails, la sélection sexuelle des paons est à peu près similaire.) D’où une expansion de la quantité d??individus chapeautés, qui a atteint aujourd’hui la totalité de la population, malgré le désavantage originel, et flagrant, apporté par cette mutation.
Enfin, remarquons qu’un Gaulet dispose d’un « essai gratuit » avec son encombrant fardeau sous la forme de Trompignon : s’il y parvient, il obtient un chapeau neuf au moment de l’évolution. Notons également les récentes manipulations génétiques ayant abouti à des individus sauvage présentant les couleurs de la MasterBall. Ils étaient à la base destinés à des études en laboratoire (et je pense surtout à une blague entre étudiants quasi-aveugles pour faire croire aux autres qu’on a une MasterBall), mais certains ont réussi à répandre leurs Spores à l’extérieur, à l’origine des mutations parfois observés chez ceux qu’on appelle désormais « chromatiques ».
THE OLD QWERTY
Evolution des Ramoloss
THEORIE DE L'EVOLUTION D'UN RAMOLOSS
Ou comment expliquer l'existence de deux évolutions d'un seul pokémon.
Mais dans ce cas ci, il faudrait parler de transformation plutôt que d'évolution.
Ramoloss aime pêcher. Avec sa queue, il tente d'attraper du poisson. Mais un jour, il tombe sur un Kokiyas !
Hypothèse 1 : le Kokias le mord au niveau de la queue.
Hypothèse 2 : le Kokiyas le mord au niveau de la tête.
Hypothèse 3 : le Kokiyas renonce à l'attaquer.
Si hypothèse 1, le Kokiyas parvient à donner de brefs moments de lucidité au Ramoloss.
Roigada n'est pas vraiement une transformation/évolution puisque il s'agit suelement d'un Kokiyas accroché à un Ramoloss. C'est pour cela que si le parasite le quittait, il redeviendrait un simple Ramoloss.
Si hypothèse 2, le Kokiyas injecte une toxine dans le cerveau de notre pokémon.
Ceci déclenchera une mutation génétique, provoquant la transformation de Ramoloss en Roigada. Devenu intelligent, Roigada perdrait néanmoins tous ses souvenirs si le Kokiyas venait à s'en aller. Roigada redeviendrait il Ramoloss ou le resterait il jusqu'à la fin de ses jours ?
Si hypothèse 3, Ramoloss ne se transformera point. Une hypothèse du plus grand intérêt.
Et si Kokiyas disparaissait ?
Nul doute que les transformations de Ramoloss cesseraient.
C'est pourquoi, les Kokiyas se raréfiant quelques peu ces temps derniers, des scientifiques mirent au point un objet pour transformer Ramoloss sans parasite : la RocheRoyale.
Cet objet n'est à utiliser qu'en cas dêxtrêe necessité car il provoque la mutation contre natre d'un pokémon.
La Team Rocket essaya de s'en procurer mais échoua lamentablement, se faiaant battre par un jeune dresseur
Ou comment expliquer l'existence de deux évolutions d'un seul pokémon.
Mais dans ce cas ci, il faudrait parler de transformation plutôt que d'évolution.
Ramoloss aime pêcher. Avec sa queue, il tente d'attraper du poisson. Mais un jour, il tombe sur un Kokiyas !
Hypothèse 1 : le Kokias le mord au niveau de la queue.
Hypothèse 2 : le Kokiyas le mord au niveau de la tête.
Hypothèse 3 : le Kokiyas renonce à l'attaquer.
Si hypothèse 1, le Kokiyas parvient à donner de brefs moments de lucidité au Ramoloss.
Roigada n'est pas vraiement une transformation/évolution puisque il s'agit suelement d'un Kokiyas accroché à un Ramoloss. C'est pour cela que si le parasite le quittait, il redeviendrait un simple Ramoloss.
Si hypothèse 2, le Kokiyas injecte une toxine dans le cerveau de notre pokémon.
Ceci déclenchera une mutation génétique, provoquant la transformation de Ramoloss en Roigada. Devenu intelligent, Roigada perdrait néanmoins tous ses souvenirs si le Kokiyas venait à s'en aller. Roigada redeviendrait il Ramoloss ou le resterait il jusqu'à la fin de ses jours ?
Si hypothèse 3, Ramoloss ne se transformera point. Une hypothèse du plus grand intérêt.
Et si Kokiyas disparaissait ?
Nul doute que les transformations de Ramoloss cesseraient.
C'est pourquoi, les Kokiyas se raréfiant quelques peu ces temps derniers, des scientifiques mirent au point un objet pour transformer Ramoloss sans parasite : la RocheRoyale.
Cet objet n'est à utiliser qu'en cas dêxtrêe necessité car il provoque la mutation contre natre d'un pokémon.
La Team Rocket essaya de s'en procurer mais échoua lamentablement, se faiaant battre par un jeune dresseur
KONA
Evolution des Ramoloss
Lorsque Ramoloss est mordu par Kokiyas, il se concentre pour comprendre ce qui lui arrive (n'oublions pas que c'est un débile profond),a force de se concentrer il libère ses vrais pouvoirs (une sorte de morphing V2) et fusionne avec le Kokiyas.
Une fois la fusion effectuer Kokiyas affecter par le grand pouvoir de Ramoloss ce voie lui aussi contraint d'évoluer.
Des lors les deux entités ne formant plus qu'une devienne bien plus puissantes et développent des pouvoir selon l'endroit mordu.
Noté que si le Kokiyas mors Ramoloss autre part que sur la tête ou la queue Ramoloss a la possibilité de le voir et donc il n'a pas besoin de réfléchir et se débarrasse tout simplement du Kokiyas.
Lorsque Kokiyas mors la queue de Ramoloss leurs forces ce cumules mais le comportement du Ramoloss venant d’évoluer ne change pas.
Par contre si Kokiyas le mors a la tête source du pouvoir de Ramoloss,le Kokiyas évolue a un stade encore plus poussé que celui expliquer plus haut et il développe un poison.
Lorsque le poison entre en contact avec le cerveau du Ramoloss il stimule la partie endormie de sont cerveau boostant alors ses capacité au maximum et le rendant capable de mieux comprendre ce qui l'entoure.
Une fois le poison diffusé le Kokiyas ayant utiliser trop d’énergie récupéré les minéraux autours de lui et se crée une perle dont il se nourris un peu tout les jours(noté que grâce a cette perle il diffuse du poison 24/24).
Noté qu'une fois séparés Kokiyas et Ramoloss redeviennent normal et dans le cas du Roigada le poison ne coulant plus en lui, il perd rapidement ses capacités intellectuels.
Une fois la fusion effectuer Kokiyas affecter par le grand pouvoir de Ramoloss ce voie lui aussi contraint d'évoluer.
Des lors les deux entités ne formant plus qu'une devienne bien plus puissantes et développent des pouvoir selon l'endroit mordu.
Noté que si le Kokiyas mors Ramoloss autre part que sur la tête ou la queue Ramoloss a la possibilité de le voir et donc il n'a pas besoin de réfléchir et se débarrasse tout simplement du Kokiyas.
Lorsque Kokiyas mors la queue de Ramoloss leurs forces ce cumules mais le comportement du Ramoloss venant d’évoluer ne change pas.
Par contre si Kokiyas le mors a la tête source du pouvoir de Ramoloss,le Kokiyas évolue a un stade encore plus poussé que celui expliquer plus haut et il développe un poison.
Lorsque le poison entre en contact avec le cerveau du Ramoloss il stimule la partie endormie de sont cerveau boostant alors ses capacité au maximum et le rendant capable de mieux comprendre ce qui l'entoure.
Une fois le poison diffusé le Kokiyas ayant utiliser trop d’énergie récupéré les minéraux autours de lui et se crée une perle dont il se nourris un peu tout les jours(noté que grâce a cette perle il diffuse du poison 24/24).
Noté qu'une fois séparés Kokiyas et Ramoloss redeviennent normal et dans le cas du Roigada le poison ne coulant plus en lui, il perd rapidement ses capacités intellectuels.
THE MIZ
Evolution des Ramoloss
Evolution en Flagadoss : les ramoloss se faisant mordre à la queue par un kokyas évoluent alors en Flagadoss. Derrière cette évolution se trouve une explication scientifique : en effet les kokyas ont la particularité d'avoir dans leur dents des canaux leur permettant d'injecter un venin contenant leur propre ADN. Ce venin est toxique, cependant les ramoloss se sont au fil des années adaptés à ceci, étant, à cause de leur lenteur et leur manie de laisser trainer leur queue dans l'eau, une cible privilégié pour les kokyas en quête de proie. C'est la selection naturelle. En effet les ramoloss ont évolués jusqu'a devenir capable d'intégrer l'ADN de kokyas présent dans le venin qui leur est injecté, et de le fusionner à leur propre ADN. Cela les rends plus puissant, plus résistant, et leur confère la capacité de se tenir sur leur deux pates, mais ça ne les rend pas plus intelligents ni plus vivaces, ce qui nous conduiras à la deuxième évolution. Les kokyas étant réputés pour ne jamais lacher leur proie, ils restent accrochés à vie à la queue de leur ramoloss, devenu flagadoss.
Evolution en Roigada : les ramoloss, créatures pitoyables s'il en est, ont évolué au cours du temps pour devenir plus résistant, grâce aux kokyas. mais restait le problème de leur intelligence extremement limitée. Un groupe de ramoloss vivait sur une plage à proximité d'une grotte sous marine. Cette grotte était réputée pour sa roche, spéciale et recherchée : la roche royale. ce que peu de gens savent, c'est que cette roche est radioactives, et emet des radiations qui se dissipent dans l'eau. Mais le groupe de ramoloss vivant dans ces eaux a été pendant longtemps exposé à ces radiations, qui a, au fil du temps, modifiés leur ADN, le faisant muté. Ces mutations sont comparables à celles générées par la fusion avec l'ADN de kokyas, apportant ainsi les mêmes caractéristiques que pour le flagadoss : plus grande force, endurance, plus de puissance. Mais les modifications ne s'arrêtes pas la : en effet, au contraire de l'évolution en flagadoss, les mutations dues à ces radiations touchent également les cellules nerveuses, conférant ainsi au nouveau pokémon, appelé roigada, une immense intelligence, s'associant aux autres qualités nouvellement développées, et faisant ainsi de lui l'évolution ultime de ramoloss, possédant tout ce que ce dernier n'a pas. Pour prouver leur supériorité, les premeiers roigadas ont utilisés leur intelligence et leur nouvelle force pour abattre des kokyas, leur plus grand ennemis naturel lorsqu'ils étaient simplement ramoloss, et en signe de victoire, se sont coiffés de la coquille de leur ennemis déchus. Cette tradition est depuis repris par tous les roigadas venant d'évoluer, ce qui explique pourquoi ils portent un coquillage sur la tête.
Evolution en Roigada : les ramoloss, créatures pitoyables s'il en est, ont évolué au cours du temps pour devenir plus résistant, grâce aux kokyas. mais restait le problème de leur intelligence extremement limitée. Un groupe de ramoloss vivait sur une plage à proximité d'une grotte sous marine. Cette grotte était réputée pour sa roche, spéciale et recherchée : la roche royale. ce que peu de gens savent, c'est que cette roche est radioactives, et emet des radiations qui se dissipent dans l'eau. Mais le groupe de ramoloss vivant dans ces eaux a été pendant longtemps exposé à ces radiations, qui a, au fil du temps, modifiés leur ADN, le faisant muté. Ces mutations sont comparables à celles générées par la fusion avec l'ADN de kokyas, apportant ainsi les mêmes caractéristiques que pour le flagadoss : plus grande force, endurance, plus de puissance. Mais les modifications ne s'arrêtes pas la : en effet, au contraire de l'évolution en flagadoss, les mutations dues à ces radiations touchent également les cellules nerveuses, conférant ainsi au nouveau pokémon, appelé roigada, une immense intelligence, s'associant aux autres qualités nouvellement développées, et faisant ainsi de lui l'évolution ultime de ramoloss, possédant tout ce que ce dernier n'a pas. Pour prouver leur supériorité, les premeiers roigadas ont utilisés leur intelligence et leur nouvelle force pour abattre des kokyas, leur plus grand ennemis naturel lorsqu'ils étaient simplement ramoloss, et en signe de victoire, se sont coiffés de la coquille de leur ennemis déchus. Cette tradition est depuis repris par tous les roigadas venant d'évoluer, ce qui explique pourquoi ils portent un coquillage sur la tête.
le motif en forme de Pokéball sur le chapeau de Gaulet.
A l'origine, les Gaulet n'avaient pas de motifs sur leur "bras" et leur chapeaux. Ces motifs sont apparus il y'a déjà un certain temps, peu après la fabrication des poké ball modernes, rouge et blanche. En effet, comme vous le savez tous, leur motifs représentent des poké ball.
A la création des poké ball modernes, par la Sylph Sarl de Kanto, celles ci ont été exportés partout, y compris dans la région d'Unys.
La bas vivait une espèce de pokémon particulière en forme de champignons : les Gaulet. Ces Gaulet étaient très recherchés par certains : en effet, ils émettaient naturellement des spores qui étaient utilisés pour fabriquer certains produits tels que les anti-para et les anti-poisons. Des dresseurs de la région d'Unys se spécialisaient donc dans la capture et l'élevage de Gaulet, dans le but de récolter ces spores. Oui mais voilà : pour produire ces spores, les Gaulet devaient être élevés dans d'excellentes conditions et devaient être bien traités, se sentir bien. Un Gaulet malheureux ne produit en effet que des spores empoisonnés. Cela posait un problème aux dresseurs qui voulaient produire des spores en grande quantité : en effet capturer (sans pokéball à l'époque) et entretenir des centaines de Gaulet demandait de grands espaces où ces pokémons puissent vivre dans de bonnes conitions.
L'apparition et la commercialisation de masse fut une très belle avancée pour les producteurs de spores : en effet capturer les Gaulet devenait bien plus aisé, et surtout celà supprimait le problème de la place, puisque chaque Gaulet vivait paisiblement dans sa pokéball la majorité du temps.
Puis avec les avancées technologiques, des substances synthétiques remplacèrent les spores de Gaulet dans la composition des produits de soin, étant moins cher à produire que l'achat aux éleveurs d'Unys des spores.
A Unys, l'activité d'élevage des Gaulet fut donc abandonnée. Les dresseurs qui élevaient des centaines de ces pokémons les relâchèrent dans la nature.
Dans les premiers temps, ces Gaulet, livrés à eux même après avoir connus pendant des années le confort d'une pokéball, étaient craintifs et restaient entre eux, à cause du traumatisme d'avoir perdu leur maison. Il se passa alors un phénomène étrange chez certains d'entre eux : des motifs de pokéball apparurent sur leur bras et leur chapeau. Ces motifs rappelaient à leur congénère leur ancien foyer, et avaient pour effet de les apaiser. Ainsi grâce à cela, les groupes de Gaulet réapprirent à vivre en liberté. Ceci explique l’apparition de ces motifs chez quelques spécimens.
Mais alors, comment ces motifs se sot généralisés à tous les spécimens ?
Et bien la réponse est simple : ces motifs constituent un avantage évolutif. En effet, les pokéball sont des symboles craint par les pokémon sauvage, qui ont appris au fil du temps à y voir le symbole de la vie en captivité. Ainsi les motifs protègent les Gaulet de leur prédateur en les effrayant. Ces motifs proviennent d'une mutation génétique chez les premiers spécimens touchés, mutation déclenchée par la volonté de rassurer leur groupe en leur rappelant leur ancien foyer.
Cette mutation s'est ensuite transmise à la descendance de ces spécimens (et donc à leur pré-évolution Trompignon) et comme elle constitue un avantage vis à vis des prédateurs, les Gaulet à motifs se sont multipliés, il s'agit tout simplement du fondement de la théorie de l'évolution.
Cela explique qu'aujourd'hui, des années après, presque tous les Gaulet (et Trompignon) d'Unys possèdent des motifs de pokéball. Néanmoins il reste encore quelques très rare spécimens qui n'ont pas été touchés par cette mutation. On raconte qu'ils sont aussi rare et recherchés que les fameux pokémon shiney.
A la création des poké ball modernes, par la Sylph Sarl de Kanto, celles ci ont été exportés partout, y compris dans la région d'Unys.
La bas vivait une espèce de pokémon particulière en forme de champignons : les Gaulet. Ces Gaulet étaient très recherchés par certains : en effet, ils émettaient naturellement des spores qui étaient utilisés pour fabriquer certains produits tels que les anti-para et les anti-poisons. Des dresseurs de la région d'Unys se spécialisaient donc dans la capture et l'élevage de Gaulet, dans le but de récolter ces spores. Oui mais voilà : pour produire ces spores, les Gaulet devaient être élevés dans d'excellentes conditions et devaient être bien traités, se sentir bien. Un Gaulet malheureux ne produit en effet que des spores empoisonnés. Cela posait un problème aux dresseurs qui voulaient produire des spores en grande quantité : en effet capturer (sans pokéball à l'époque) et entretenir des centaines de Gaulet demandait de grands espaces où ces pokémons puissent vivre dans de bonnes conitions.
L'apparition et la commercialisation de masse fut une très belle avancée pour les producteurs de spores : en effet capturer les Gaulet devenait bien plus aisé, et surtout celà supprimait le problème de la place, puisque chaque Gaulet vivait paisiblement dans sa pokéball la majorité du temps.
Puis avec les avancées technologiques, des substances synthétiques remplacèrent les spores de Gaulet dans la composition des produits de soin, étant moins cher à produire que l'achat aux éleveurs d'Unys des spores.
A Unys, l'activité d'élevage des Gaulet fut donc abandonnée. Les dresseurs qui élevaient des centaines de ces pokémons les relâchèrent dans la nature.
Dans les premiers temps, ces Gaulet, livrés à eux même après avoir connus pendant des années le confort d'une pokéball, étaient craintifs et restaient entre eux, à cause du traumatisme d'avoir perdu leur maison. Il se passa alors un phénomène étrange chez certains d'entre eux : des motifs de pokéball apparurent sur leur bras et leur chapeau. Ces motifs rappelaient à leur congénère leur ancien foyer, et avaient pour effet de les apaiser. Ainsi grâce à cela, les groupes de Gaulet réapprirent à vivre en liberté. Ceci explique l’apparition de ces motifs chez quelques spécimens.
Mais alors, comment ces motifs se sot généralisés à tous les spécimens ?
Et bien la réponse est simple : ces motifs constituent un avantage évolutif. En effet, les pokéball sont des symboles craint par les pokémon sauvage, qui ont appris au fil du temps à y voir le symbole de la vie en captivité. Ainsi les motifs protègent les Gaulet de leur prédateur en les effrayant. Ces motifs proviennent d'une mutation génétique chez les premiers spécimens touchés, mutation déclenchée par la volonté de rassurer leur groupe en leur rappelant leur ancien foyer.
Cette mutation s'est ensuite transmise à la descendance de ces spécimens (et donc à leur pré-évolution Trompignon) et comme elle constitue un avantage vis à vis des prédateurs, les Gaulet à motifs se sont multipliés, il s'agit tout simplement du fondement de la théorie de l'évolution.
Cela explique qu'aujourd'hui, des années après, presque tous les Gaulet (et Trompignon) d'Unys possèdent des motifs de pokéball. Néanmoins il reste encore quelques très rare spécimens qui n'ont pas été touchés par cette mutation. On raconte qu'ils sont aussi rare et recherchés que les fameux pokémon shiney.
TRAIL
L'évolution de Kokiyas.
Vous pensiez tous qu'il suffisait de frotter une pierre eau sur le dos d'un Kokiyas, et oplà, abrakadabra vous obteniez un Crustabri en deux secondes? Que nenni. Et heureusement d'ailleurs, ça serait trop simple pour tous les dresseurs de 11 ans qui partent de chez eux avec leur sac-à-dos, faut un peu leur apprendre la vie à ces jeunes.
Les Kokiyas vivent dans les eaux peu profondes, se nourrissent d'algues, de plancton, et d’autres aliments comestibles pour eux, leur longue langue leur permettant de faire glisser les aliments jusqu'à leur système digestif. A leur maturité, trois ans après leur naissance pour la plupart, quatre pour certains, ils entament un long voyage vers les eaux plus profondes.
Ceux qui résistent aux changements de température de l’eau et de pression continuent de descendre. Ceux qui ne résistent pas, remontent, ou meurent, la coquille explosée. Des marins ont souvent remontés à la surface des coquille de Kokiyas vides, sans jamais trouver le corps.
Vint ensuite une longue descente jusque dans les fonds les plus profonds, parsemée de dangers, de changements de pression importants, de températures extrêmements froides, et d’une luminosité nulle.
Les recherches scientifiques ont prouvé que la pression importante et la température quasi nulle de l’eau entrainait un durcissement de la coquille du Kokiyas, ainsi que l’apparition instinctive de pics de défense. Le processus dure plusieurs mois, le Kokiyas étant soumis à des contraintes impressionnantes. On pense que ces contraintes sont obtenues uniquement dans la Fosse pas loin des Iles Ecumes, ou encore la Fosse au large de « trouvez un nom j’connais que les 2 premières générations ». Les recherches ne démontrent pas l’attaque d’autres Pokémons pour entrainer l’apparition de ces pics.
Des essais ont été réalisés en laboratoire dans des aquariums spéciaux, et effectivement les Kokiyas ont « évolués » suivant ces mêmes contraintes. Pour ceux dont la coquille n’a pas éclaté sous la pression.
Mais la technologie ayant aujourd’hui évolué, il est possible de faire évoluer votre Kokiyas dans les laboratoires d’évolutions de Doublonville et et et, pour la modique somme de 3000 pokédollars et 2 semaines sans votre animal préféré, qui vous permettra cette fois de gagner votre combat contre le Salamèche de votre rival.
Payez plus, pour gagner plus.
Les Kokiyas vivent dans les eaux peu profondes, se nourrissent d'algues, de plancton, et d’autres aliments comestibles pour eux, leur longue langue leur permettant de faire glisser les aliments jusqu'à leur système digestif. A leur maturité, trois ans après leur naissance pour la plupart, quatre pour certains, ils entament un long voyage vers les eaux plus profondes.
Ceux qui résistent aux changements de température de l’eau et de pression continuent de descendre. Ceux qui ne résistent pas, remontent, ou meurent, la coquille explosée. Des marins ont souvent remontés à la surface des coquille de Kokiyas vides, sans jamais trouver le corps.
Vint ensuite une longue descente jusque dans les fonds les plus profonds, parsemée de dangers, de changements de pression importants, de températures extrêmements froides, et d’une luminosité nulle.
Les recherches scientifiques ont prouvé que la pression importante et la température quasi nulle de l’eau entrainait un durcissement de la coquille du Kokiyas, ainsi que l’apparition instinctive de pics de défense. Le processus dure plusieurs mois, le Kokiyas étant soumis à des contraintes impressionnantes. On pense que ces contraintes sont obtenues uniquement dans la Fosse pas loin des Iles Ecumes, ou encore la Fosse au large de « trouvez un nom j’connais que les 2 premières générations ». Les recherches ne démontrent pas l’attaque d’autres Pokémons pour entrainer l’apparition de ces pics.
Des essais ont été réalisés en laboratoire dans des aquariums spéciaux, et effectivement les Kokiyas ont « évolués » suivant ces mêmes contraintes. Pour ceux dont la coquille n’a pas éclaté sous la pression.
Mais la technologie ayant aujourd’hui évolué, il est possible de faire évoluer votre Kokiyas dans les laboratoires d’évolutions de Doublonville et et et, pour la modique somme de 3000 pokédollars et 2 semaines sans votre animal préféré, qui vous permettra cette fois de gagner votre combat contre le Salamèche de votre rival.
Payez plus, pour gagner plus.
Le cas Osselait-Ossatueur
Ce Pokémon vit dans les déserts et dans les montagnes. Certains disent les voir dans les cimetières, notamment à Lavanville. Peut-être. L’histoire du fantôme d’Ossateur est restée dans les mœurs, même si nous savons tous que c’est une belle légende.
Toujours est-il que les rumeurs, voire certaines données erronées de certaines marques de Pokédex (la marque qu’à créé Ondine d’Azuria par exemple), qui parlent du crâne de la mère Ossatueur sur le bébé Osselait c’est faux, faux, totalement faux.
Les scientifiques du professeur Chen se sont tout de suite intéressée à ce Pokémon la première fois que quelqu’un leur en a ramené un. « Hè regardez, ce Pokémon porte le crâne de sa mère ! » « Putain mais arrêtez sérieux, imagine y’a ta mère qui meure, tu lui enlèves sa peau, et tu prends son crâne et tu le portes à vie sur ta tête. Nan mais sérieux. Et en plus Ossatueur il aurait aussi un crâne donc genre quand il grandit la crâne aussi nan mais stop les conneries là. Et comment le crâne peut aller tout pile tout bien tout joli (tout glauque) sur la tête de ce pauvre Pokémon ? Et imagine un jour la mère elle se prend un coup de barre à mine et… » Oui le prof Chen était jeune aussi.
Toujours est-il que, la composition de ce crâne contient beaucoup trop de calcaire pour être simplement un os. Il s’agit bien sûr d’une excroissance que développe le Pokémon dès la naissance. Ce casque de calcaire lui permet une protection accrue de son crâne très fragile, fragilisé à vie à cause justement de la présence de ce casque. De toute façon, il est impossible de lui enlever simplement comme si c’était des cheveux Playmobil, cette excroissance faisant partie intégrante de son métabolisme. Ce casque ne contient pas de récepteurs à la douleur, ni aucune autre sensation d’ailleurs.
Quand le Osselait grandit, le calcaire sur sa tête devient de plus en plus dure, s’affinant au fil des jours, et augmentant ainsi la protection, jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge adulte, ce que les dresseurs appellent un Ossatueur.
Il est fréquent de voir des Osselait et des Ossatueur avec des os en main. Dès leur plus jeune âge, il récupère les os de leurs proies, rarement de leurs parents, et les entassent dans des grottes, connues de la population justement pour être des réservoirs d’os pour les Osselaits.
« Pour seulement 45 pokédollars, accédez à notre caverne, laissez gambader votre Pokémon pour le laisser choisir un os ! Tous nos os sont en acier blanc véritable, fabriquée dans notre usine de Doublonville, offrant une qualité de résistance aux coups impressionnante ! Si votre Pokémon ne trouvait pas satisfaction, nous vous offrons un os en aluminium, plus proche de la réalité, et ce à moindre prix ! Venez vite ! La vengeance de la Mort de sa mère n’attend pas ! »
Toujours est-il que les rumeurs, voire certaines données erronées de certaines marques de Pokédex (la marque qu’à créé Ondine d’Azuria par exemple), qui parlent du crâne de la mère Ossatueur sur le bébé Osselait c’est faux, faux, totalement faux.
Les scientifiques du professeur Chen se sont tout de suite intéressée à ce Pokémon la première fois que quelqu’un leur en a ramené un. « Hè regardez, ce Pokémon porte le crâne de sa mère ! » « Putain mais arrêtez sérieux, imagine y’a ta mère qui meure, tu lui enlèves sa peau, et tu prends son crâne et tu le portes à vie sur ta tête. Nan mais sérieux. Et en plus Ossatueur il aurait aussi un crâne donc genre quand il grandit la crâne aussi nan mais stop les conneries là. Et comment le crâne peut aller tout pile tout bien tout joli (tout glauque) sur la tête de ce pauvre Pokémon ? Et imagine un jour la mère elle se prend un coup de barre à mine et… » Oui le prof Chen était jeune aussi.
Toujours est-il que, la composition de ce crâne contient beaucoup trop de calcaire pour être simplement un os. Il s’agit bien sûr d’une excroissance que développe le Pokémon dès la naissance. Ce casque de calcaire lui permet une protection accrue de son crâne très fragile, fragilisé à vie à cause justement de la présence de ce casque. De toute façon, il est impossible de lui enlever simplement comme si c’était des cheveux Playmobil, cette excroissance faisant partie intégrante de son métabolisme. Ce casque ne contient pas de récepteurs à la douleur, ni aucune autre sensation d’ailleurs.
Quand le Osselait grandit, le calcaire sur sa tête devient de plus en plus dure, s’affinant au fil des jours, et augmentant ainsi la protection, jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge adulte, ce que les dresseurs appellent un Ossatueur.
Il est fréquent de voir des Osselait et des Ossatueur avec des os en main. Dès leur plus jeune âge, il récupère les os de leurs proies, rarement de leurs parents, et les entassent dans des grottes, connues de la population justement pour être des réservoirs d’os pour les Osselaits.
« Pour seulement 45 pokédollars, accédez à notre caverne, laissez gambader votre Pokémon pour le laisser choisir un os ! Tous nos os sont en acier blanc véritable, fabriquée dans notre usine de Doublonville, offrant une qualité de résistance aux coups impressionnante ! Si votre Pokémon ne trouvait pas satisfaction, nous vous offrons un os en aluminium, plus proche de la réalité, et ce à moindre prix ! Venez vite ! La vengeance de la Mort de sa mère n’attend pas ! »
Ponyta, mon petit poney, emmène-moi, dans ton pays magique
« Mais putain t’assois pas là-dessus c’est une crinière de feu mais bordel t’assois pas TU VAS TE BRULER MAIS MERDE NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!!!!!!!!!! » « Vas-y déstresse c’est mon Ponyta, je sais encore si c’est du feu ou pas, bouffon » Pataclop, pataclop… Hum.
Pokémons capables de cracher du feu, les Ponyta sont également « utilisées » par leurs dresseurs et leurs éleveurs pour faire des ballades équestres. Leurs crinières et leurs queues ont longtemps été considérées comme du feu, alors qu’en fait ce ne sont que des crins de la même couleur que du feu. Certains se sont évidemment brûlés en touchant ces crins, d’où la confusion.
Le Ponyta possède la capacité de cracher du feu, de maîtriser le feu, et plus dans le détail, de monter sa température corporelle à des températures impressionnantes. Et notamment les crins que composent sa crinière et sa queue. Quand elles montent en température, les crins se fluidifient, bougent, changent de couleur suivant la puissance thermique dégagée, d’où l’impression de feu sur le dos du Ponyta. Cette impression est renforcée quand il court, l’air et les poussières s’enflammant au contact de sa crinière.
Ces observations valent également pour l’oiseau légendaire Sulfura.
Pokémons capables de cracher du feu, les Ponyta sont également « utilisées » par leurs dresseurs et leurs éleveurs pour faire des ballades équestres. Leurs crinières et leurs queues ont longtemps été considérées comme du feu, alors qu’en fait ce ne sont que des crins de la même couleur que du feu. Certains se sont évidemment brûlés en touchant ces crins, d’où la confusion.
Le Ponyta possède la capacité de cracher du feu, de maîtriser le feu, et plus dans le détail, de monter sa température corporelle à des températures impressionnantes. Et notamment les crins que composent sa crinière et sa queue. Quand elles montent en température, les crins se fluidifient, bougent, changent de couleur suivant la puissance thermique dégagée, d’où l’impression de feu sur le dos du Ponyta. Cette impression est renforcée quand il court, l’air et les poussières s’enflammant au contact de sa crinière.
Ces observations valent également pour l’oiseau légendaire Sulfura.
PHENIX:
Notes sur l'usage du Repousse
"Nous recevons chaque jour des dizaines de réclamations venant de Dresseurs se plaignant d'être régulièrement submergés par des masses de Pokémon faibles dans la nature, ce qui ralentit les possibilités d'entraînement pour leur propre équipe : on constate en effet qu'au fur et à mesure que le rapport entre le niveau du Pokémon sauvage et le Pokémon du Dresseur diminue, l'expérience engrangée en fait de même. C'est un processus empirique qui nous paraît d'ailleurs tout à fait naturel et contre lequel aucune parade n'est possible."
"Nous avons cependant constaté que la plupart des Pokémon possédaient une sorte de phéromone sur leur peau dont la concentration augmente au fur et à mesure que leur force progresse, et qui constitue un signal de crainte pour les autres Pokémon. Une expérience menée par le Laboratoire E a ainsi montré qu'en prenant des Pokémon témoins de niveau similaire entre chaque test, plus le Pokémon face auquel on les confrontait était puissant, plus leur envie de fuir augmentait, et ce en dépit de l'espèce du Pokémon. Ainsi, les meilleurs Pokémon possèdent une concentration phéromonale particulièrement élevée qui a le don d'imiter le reste de la faune."
"Une étude plus poussée nous a ensuite permis de localiser les glandes sécrétant cette hormone et c'est après diverses expérimentations que nous avons mis au point le Spray 45-H24, plus connu dans le commerce courant sous le nom de Repousse. Il s'agit d'un spray que l'on diffuse sur la peau du Pokémon accompagnant le Dresseur qui provoque une excitation anormale de ces glandes. En conséquence, la production hormonale s'accroît à tel point que tous les Pokémon alentours fuient plus vite que prévu. Il apparaît cependant que la concentration de l'hormone dans l'air ne soit pas changée, il s'agit simplement d'une simple augmentation quantitative et non pas une augmentation de la puissance de l'hormone, aussi des Pokémon plus puissants sont aptes à s'approcher du Pokémon."
"Enfin, quelques tests complémentaires ont montré qu'une activité physique importante a tendance à faire évacuer le produit du spray plus vite que prévu grâce à la transpiration, aussi une activité de marche normale suffit à obtenir une efficacité optimale dans le temps."
- Rapport du Laboratoire Mu, datation XV-42.1, rédigé par le chercheur S. Keleton, à conserver dans la base d'archives, niveau de classification Gamma -
"Nous avons cependant constaté que la plupart des Pokémon possédaient une sorte de phéromone sur leur peau dont la concentration augmente au fur et à mesure que leur force progresse, et qui constitue un signal de crainte pour les autres Pokémon. Une expérience menée par le Laboratoire E a ainsi montré qu'en prenant des Pokémon témoins de niveau similaire entre chaque test, plus le Pokémon face auquel on les confrontait était puissant, plus leur envie de fuir augmentait, et ce en dépit de l'espèce du Pokémon. Ainsi, les meilleurs Pokémon possèdent une concentration phéromonale particulièrement élevée qui a le don d'imiter le reste de la faune."
"Une étude plus poussée nous a ensuite permis de localiser les glandes sécrétant cette hormone et c'est après diverses expérimentations que nous avons mis au point le Spray 45-H24, plus connu dans le commerce courant sous le nom de Repousse. Il s'agit d'un spray que l'on diffuse sur la peau du Pokémon accompagnant le Dresseur qui provoque une excitation anormale de ces glandes. En conséquence, la production hormonale s'accroît à tel point que tous les Pokémon alentours fuient plus vite que prévu. Il apparaît cependant que la concentration de l'hormone dans l'air ne soit pas changée, il s'agit simplement d'une simple augmentation quantitative et non pas une augmentation de la puissance de l'hormone, aussi des Pokémon plus puissants sont aptes à s'approcher du Pokémon."
"Enfin, quelques tests complémentaires ont montré qu'une activité physique importante a tendance à faire évacuer le produit du spray plus vite que prévu grâce à la transpiration, aussi une activité de marche normale suffit à obtenir une efficacité optimale dans le temps."
- Rapport du Laboratoire Mu, datation XV-42.1, rédigé par le chercheur S. Keleton, à conserver dans la base d'archives, niveau de classification Gamma -
Notes Projet Jungle X
Année 1, Jour 1
Je me présente, Akam Jhorker, ceci est mon journal de bord sur le projet "Alpha Prime". Je suis un ancien scientifique de la Sylphe SARL qui travaillait sur les expériences de bio-ingénierie, notre laboratoire a été fermé suite à une décision de la Fédération Pokémon, qui jugeait nos expériences non conformes à la règlementation éthique. En même temps que les Centre Pokémon officiels démarraient la commercialisation des Protéines ... ce qui a achevé de me dégoûter sur ce sujet. Il y a quelques mois, j'ai fait la connaissance dans un bar d'un homme qui s'appelait Giovanni et qui avait entendu parler de moi. Il prétendait être particulièrement intéressé par la nature de mes travaux et me proposait de reformer un laboratoire, en m'avouant au passage que la législation officielle n'était pas dans ses cordes et que seuls les résultats faisaient l'avenir. La proposition m'enchantait et je finis par accepter : c'est ainsi que je me suis retrouvé à la tête du projet.
Année 1, Jour 42
Les équipes de traque ont pu nous ramener nos premiers spécimens d'étude, afin que nous puissions commencer les tests pratiques dès que possible. Les premiers résultats sont particulièrement mitigés : bien que le mélange "Gamma" soit le plus efficace en terme d'augmentation de puissance, les effets secondaires semblent dévastateurs : le sujet souffre ainsi de pertes de contrôle fréquentes. Nous avons du reconstruire les salles d'expérimentation à plusieurs reprises suite aux dégâts causés.
Année 1, Jour 63
Nous avons frôlé la catastrophe. Pour améliorer le taux de synchronisation entre le catalyseur et l'espèce étudiée, nous l'avons injecté en pleine phase d'évolution afin que le produit soit mieux assimilé par le génome de l'individu. Le Drattak obtenu grâce à l'expérience est devenu puissant au-delà de toute attente, je crois que j'ai rarement vu un tel sourire sur les lèvres de Giovanni quand il est venu nous rendre visite. Une injection ayant pour but de stabiliser le rythme cardiaque du Pokémon a cependant eu les effets inverses, la pulsation a ainsi tellement augmenté que le cortex du Pokémon a été gravement endommagé, ce qui l'a mis dans une colère sans nom. La moitié de nos bâtiments ont été rayés en l'espace de quelques minutes et le Pokémon a réussi à s'échapper. Nos informations indiquent qu'il est parvenu à voler jusqu'à Céladopole où il a détruit plusieurs bâtiments et blessé de nos nombreuses personnes avant de succomber à une crise cardiaque. Devant l'ampleur de la situation, Giovanni a du décréter l'arrêt de l'exploration de ce pan de recherche.
Année 1, Jour 85
Un investisseur étranger du nom de Nosfrat est passé voir Giovanni quelques jours. Des sources dans la mafia lui avaient permis de remonter jusqu'à nous sur l'échelle de responsabilité sur l'incident du Drattak, et il se montrait particulièrement intéressé par nos travaux. Devant les graves problèmes financiers qu'affrontait le groupe en ce moment, Giovanni n'a pas hésité un seul instant et nous sommes finalement parvenu à un accord qui arrangeait tout le monde très rapidement, chose assez rare pour être notée.
Année 1, Jour 102
Un de nos chercheurs nous a aiguillé sur une piste des plus intéressantes. En nous intéressant plus attentivement aux légendes de la région de Kanto, nous nous sommes penchés sur les histoires relatives au Pokémon légendaire Mew, qui serait un ancêtre commun à tous les espèces existantes. Le chercheur avait notamment mis l'aspect sur le code génétique du Pokémon qui contiendrait en conséquence celui de tous les Pokémon, ce qui permettrait des combinaisons inédites. Nous avons aussitôt présenté le projet à Giovanni qui a en conséquence mis notre meilleure agent de terrain sur l'affaire, dans la perspective de capturer le Pokémon.
Année 1, Jour 167
Je n'ai jamais vu Madame Boss dans un tel état de fureur. L'agent que nous avions envoyé serait morte dans une avalanche que Mew aurait provoqué, ce qui est contradictoire avec les informations que nous avions préalablement recueilli sur l'espèce. Des rumeurs faisant état de traces d'explosifs sur les lieux du drame laissent à penser que des jalousies internes dans l'organisation seraient à l'origine du drame. Les deux enquêteurs envoyés sur place pour vérifier ces allégations ont finalement été retrouvés dans les égoûts de Safrania, décapités : l'enquête devenait impossible à mener, ce qui nous a amené à classer l'affaire. Nous avons cependant conclu que des unités individuelles étaient insuffisantes pour mener à bien de tels travaux.
Année 1, Jour 205
Un rapport de l'un de nos agents indiquent l'emplacement dans les jungles de l'ouest de Kanto d'un temple antique. Les gravures et statues présentes à l'entrée ne laissent aucun doute quant au Pokémon qui y était vénéré : il s'agissait de Mew. Avec quelques débats et levées de fonds, nous avons réussi à monter une expédition complète à laquelle je prendrais personnellement part : ce sera l'Operation Jungle X, nom choisi par Giovanni et dont la signification serait "assez imagée" selon ses propres termes, le "X" représentant traditionnellement l'emplacement d'un site sur une carte.
Année 1, Jour 237
L'expédition a été un succès total : nous avons recueilli une quantité incroyable d'informations inédites sur Mew, et mieux encore, une crypte cachée dans le temple où nous avons pu obtenir des fragments d'ADN de Mew. Un poil plurimillénaire était resté entreposé à l'intérieur, et les données génétiques sont encore exploitables. Seul l'effondrement d'une des galeries ayant entraîné la mort de deux sbires aura réussi à gâcher la fête : il y a peut-être bien davantage à trouver dans cette partie désormais scellée du temple ...
Année 1, Jour 282
Nous en sommes encore au stade du clonage, la maîtrise des gênes architectes et de la prolifération des cellules étant assez problématiques, cependant nous avons désormais assez d'acide désoxyribonucléique en réserve pour pouvoir effectuer nos premières expériences de réorganisation sans risque.
Année 1, Jour 305
De part leur extrême versatilité, des tests ont prouvé que l'on pouvait implanter avec succès les gamètes de Mew dans l'appareil procréatif de n'importe quelle espèce pour en obtenir un embryon développé sans trop de problèmes. Cependant, passé un certain stade de développement, le foetus perd progressivement ses caractéristiques primaires pour se focaliser sur celles de son géniteur. Il paraît nécessaire de retirer l'embryon du ventre du sujet porteur avant que les gènes architectes aient commencé leur oeuvre.
Année 1, Jour 354
Nous avons finalement maîtrisé le processus de formation des gênes architectes de l'espèce en nous basant sur certaines facultés issues de l'espèce Métamorph, dont une petite étude nous a prouvé qu'il s'agit en fait d'une forme instable de Mew de part la perte de ces gènes codificateurs, ce qui explique sa faculté de copie parfaite et son incapacité à conserver une forme précise lorsqu'on lui fait perdre sa concentration. Nous pouvons ainsi passer à la phase de réorganisation du patrimoine.
Année 2, Jour 76
Après plusieurs expérimentations, nous avons pu localiser les gènes des espèces les plus puissantes. Cependant, la difficulté du projet a exponentiellement augmenté lorsque le processus s'est déstabilisé : les gènes recherchés prennent ainsi l'ascendant et finissent par dégrader la cellule au point de la détruire, ce qui confirme certaines de nos hypothèses mais n'a fait que compliquer la tâche.
Année 2, Jour 148
Nous avons finalement trouvé la réponse à nos problèmes en réinjectant directement le mélange "Gamma" de nos anciennes expériences dans l'embryon. Il a eu pour conséquence de donner plus de résistance aux autres gênes tout en augmentant la force du cobaye. Un nouveau problème s'offre cependant : les embryons obtenus deviennent ainsi tellement dangereux qu'ils dégradent la santé de leur mère porteuse. Nous avons enregistré huit décès supplémentaires cette semaine, il nous faut désormais envisager d'autres méthodes de gestation.
Année 2, Jour 213
Suite à un coup de génie du responsable des mises en culture du laboratoire, nous avons réussi à reproduire les conditions d'incubation du placenta des mères porteuses dans des cuves spéciales : nous pouvons ainsi mener à terme le développement de l'embryon.
Année 3, Jour 30
Nous avons réussi, l'expérience est terminée, nous avons créé le Pokémon le plus puissant de tous les temps, le Projet Mewtwo est achevé, nous avons réussi ...
Ces notes ont été retrouvées dans les décombres de l'île de Main, les rapports des investigateurs ont conclu à la mort de leur auteur dans l'incendie qui a ravagé l'île. La cause exacte du feu est inconnue. Une analyse poussée du rapport effectuée par plusieurs psychologues a conclu à la folie complète du rédacteur, et tient donc les faits consignés ici comme fruits purs et simples de son imagination. Nous conserverons cependant ces notes comme preuves morales dans le cadre du futur procès de la Team Rocket ...
Rapport de catégorie Alpha++, accréditation Oméga requise pour consultation, à conserver dans les archives de la Fédération Pokémon, Secret Total sur le sujet.
Je me présente, Akam Jhorker, ceci est mon journal de bord sur le projet "Alpha Prime". Je suis un ancien scientifique de la Sylphe SARL qui travaillait sur les expériences de bio-ingénierie, notre laboratoire a été fermé suite à une décision de la Fédération Pokémon, qui jugeait nos expériences non conformes à la règlementation éthique. En même temps que les Centre Pokémon officiels démarraient la commercialisation des Protéines ... ce qui a achevé de me dégoûter sur ce sujet. Il y a quelques mois, j'ai fait la connaissance dans un bar d'un homme qui s'appelait Giovanni et qui avait entendu parler de moi. Il prétendait être particulièrement intéressé par la nature de mes travaux et me proposait de reformer un laboratoire, en m'avouant au passage que la législation officielle n'était pas dans ses cordes et que seuls les résultats faisaient l'avenir. La proposition m'enchantait et je finis par accepter : c'est ainsi que je me suis retrouvé à la tête du projet.
Année 1, Jour 42
Les équipes de traque ont pu nous ramener nos premiers spécimens d'étude, afin que nous puissions commencer les tests pratiques dès que possible. Les premiers résultats sont particulièrement mitigés : bien que le mélange "Gamma" soit le plus efficace en terme d'augmentation de puissance, les effets secondaires semblent dévastateurs : le sujet souffre ainsi de pertes de contrôle fréquentes. Nous avons du reconstruire les salles d'expérimentation à plusieurs reprises suite aux dégâts causés.
Année 1, Jour 63
Nous avons frôlé la catastrophe. Pour améliorer le taux de synchronisation entre le catalyseur et l'espèce étudiée, nous l'avons injecté en pleine phase d'évolution afin que le produit soit mieux assimilé par le génome de l'individu. Le Drattak obtenu grâce à l'expérience est devenu puissant au-delà de toute attente, je crois que j'ai rarement vu un tel sourire sur les lèvres de Giovanni quand il est venu nous rendre visite. Une injection ayant pour but de stabiliser le rythme cardiaque du Pokémon a cependant eu les effets inverses, la pulsation a ainsi tellement augmenté que le cortex du Pokémon a été gravement endommagé, ce qui l'a mis dans une colère sans nom. La moitié de nos bâtiments ont été rayés en l'espace de quelques minutes et le Pokémon a réussi à s'échapper. Nos informations indiquent qu'il est parvenu à voler jusqu'à Céladopole où il a détruit plusieurs bâtiments et blessé de nos nombreuses personnes avant de succomber à une crise cardiaque. Devant l'ampleur de la situation, Giovanni a du décréter l'arrêt de l'exploration de ce pan de recherche.
Année 1, Jour 85
Un investisseur étranger du nom de Nosfrat est passé voir Giovanni quelques jours. Des sources dans la mafia lui avaient permis de remonter jusqu'à nous sur l'échelle de responsabilité sur l'incident du Drattak, et il se montrait particulièrement intéressé par nos travaux. Devant les graves problèmes financiers qu'affrontait le groupe en ce moment, Giovanni n'a pas hésité un seul instant et nous sommes finalement parvenu à un accord qui arrangeait tout le monde très rapidement, chose assez rare pour être notée.
Année 1, Jour 102
Un de nos chercheurs nous a aiguillé sur une piste des plus intéressantes. En nous intéressant plus attentivement aux légendes de la région de Kanto, nous nous sommes penchés sur les histoires relatives au Pokémon légendaire Mew, qui serait un ancêtre commun à tous les espèces existantes. Le chercheur avait notamment mis l'aspect sur le code génétique du Pokémon qui contiendrait en conséquence celui de tous les Pokémon, ce qui permettrait des combinaisons inédites. Nous avons aussitôt présenté le projet à Giovanni qui a en conséquence mis notre meilleure agent de terrain sur l'affaire, dans la perspective de capturer le Pokémon.
Année 1, Jour 167
Je n'ai jamais vu Madame Boss dans un tel état de fureur. L'agent que nous avions envoyé serait morte dans une avalanche que Mew aurait provoqué, ce qui est contradictoire avec les informations que nous avions préalablement recueilli sur l'espèce. Des rumeurs faisant état de traces d'explosifs sur les lieux du drame laissent à penser que des jalousies internes dans l'organisation seraient à l'origine du drame. Les deux enquêteurs envoyés sur place pour vérifier ces allégations ont finalement été retrouvés dans les égoûts de Safrania, décapités : l'enquête devenait impossible à mener, ce qui nous a amené à classer l'affaire. Nous avons cependant conclu que des unités individuelles étaient insuffisantes pour mener à bien de tels travaux.
Année 1, Jour 205
Un rapport de l'un de nos agents indiquent l'emplacement dans les jungles de l'ouest de Kanto d'un temple antique. Les gravures et statues présentes à l'entrée ne laissent aucun doute quant au Pokémon qui y était vénéré : il s'agissait de Mew. Avec quelques débats et levées de fonds, nous avons réussi à monter une expédition complète à laquelle je prendrais personnellement part : ce sera l'Operation Jungle X, nom choisi par Giovanni et dont la signification serait "assez imagée" selon ses propres termes, le "X" représentant traditionnellement l'emplacement d'un site sur une carte.
Année 1, Jour 237
L'expédition a été un succès total : nous avons recueilli une quantité incroyable d'informations inédites sur Mew, et mieux encore, une crypte cachée dans le temple où nous avons pu obtenir des fragments d'ADN de Mew. Un poil plurimillénaire était resté entreposé à l'intérieur, et les données génétiques sont encore exploitables. Seul l'effondrement d'une des galeries ayant entraîné la mort de deux sbires aura réussi à gâcher la fête : il y a peut-être bien davantage à trouver dans cette partie désormais scellée du temple ...
Année 1, Jour 282
Nous en sommes encore au stade du clonage, la maîtrise des gênes architectes et de la prolifération des cellules étant assez problématiques, cependant nous avons désormais assez d'acide désoxyribonucléique en réserve pour pouvoir effectuer nos premières expériences de réorganisation sans risque.
Année 1, Jour 305
De part leur extrême versatilité, des tests ont prouvé que l'on pouvait implanter avec succès les gamètes de Mew dans l'appareil procréatif de n'importe quelle espèce pour en obtenir un embryon développé sans trop de problèmes. Cependant, passé un certain stade de développement, le foetus perd progressivement ses caractéristiques primaires pour se focaliser sur celles de son géniteur. Il paraît nécessaire de retirer l'embryon du ventre du sujet porteur avant que les gènes architectes aient commencé leur oeuvre.
Année 1, Jour 354
Nous avons finalement maîtrisé le processus de formation des gênes architectes de l'espèce en nous basant sur certaines facultés issues de l'espèce Métamorph, dont une petite étude nous a prouvé qu'il s'agit en fait d'une forme instable de Mew de part la perte de ces gènes codificateurs, ce qui explique sa faculté de copie parfaite et son incapacité à conserver une forme précise lorsqu'on lui fait perdre sa concentration. Nous pouvons ainsi passer à la phase de réorganisation du patrimoine.
Année 2, Jour 76
Après plusieurs expérimentations, nous avons pu localiser les gènes des espèces les plus puissantes. Cependant, la difficulté du projet a exponentiellement augmenté lorsque le processus s'est déstabilisé : les gènes recherchés prennent ainsi l'ascendant et finissent par dégrader la cellule au point de la détruire, ce qui confirme certaines de nos hypothèses mais n'a fait que compliquer la tâche.
Année 2, Jour 148
Nous avons finalement trouvé la réponse à nos problèmes en réinjectant directement le mélange "Gamma" de nos anciennes expériences dans l'embryon. Il a eu pour conséquence de donner plus de résistance aux autres gênes tout en augmentant la force du cobaye. Un nouveau problème s'offre cependant : les embryons obtenus deviennent ainsi tellement dangereux qu'ils dégradent la santé de leur mère porteuse. Nous avons enregistré huit décès supplémentaires cette semaine, il nous faut désormais envisager d'autres méthodes de gestation.
Année 2, Jour 213
Suite à un coup de génie du responsable des mises en culture du laboratoire, nous avons réussi à reproduire les conditions d'incubation du placenta des mères porteuses dans des cuves spéciales : nous pouvons ainsi mener à terme le développement de l'embryon.
Année 3, Jour 30
Nous avons réussi, l'expérience est terminée, nous avons créé le Pokémon le plus puissant de tous les temps, le Projet Mewtwo est achevé, nous avons réussi ...
Ces notes ont été retrouvées dans les décombres de l'île de Main, les rapports des investigateurs ont conclu à la mort de leur auteur dans l'incendie qui a ravagé l'île. La cause exacte du feu est inconnue. Une analyse poussée du rapport effectuée par plusieurs psychologues a conclu à la folie complète du rédacteur, et tient donc les faits consignés ici comme fruits purs et simples de son imagination. Nous conserverons cependant ces notes comme preuves morales dans le cadre du futur procès de la Team Rocket ...
Rapport de catégorie Alpha++, accréditation Oméga requise pour consultation, à conserver dans les archives de la Fédération Pokémon, Secret Total sur le sujet.