Je viens de voir Mr Nobody, c'est un joli film
C'était pas mal mais à l'époque je l'avais trouvé chelou
Je viens de voir Mr Nobody, c'est un joli film
Genre LovelyBones j'avais pas trop aimé parce que les séquences oniriques n'étaient qu'un putain de gadget
Là ça sert vraiment l'histoire et c'est bien foutu
comme ça cause morceaux à recoller, 500 jours ensemble c'est un bel enculé de puzzle dans le genre
vous n'avez rien compris à the tree of life alors, parce qu'à part l'envolée new age de la fin, le film est exceptionnel
oui on peut trouver que la devenue culte "scène des dinosaures" (qui en fait désigne tout le passage métaphorique sur la recréation) appuie un peu trop l'idée de renaissance, mais c'était finalement pas suffisant pour que la mongolerie comprenne le propos du film
c'est justement une des grandes raisons de pourquoi la vie d'Adèle me rend triste par rapport à ses prix et son existence tout simplement : on donne tout, il n'y a pas de symbole, c'est téléphoné, c'est vide, ça pue la merde à fond la caisse à part le jeu d'Adèle qui est impressionnant et Léa Seydoux qui joue un rôle facile mais bien
après je comprends rien à cette idée que l'homosexualité est à la mode aujourd'hui, ça fait un moment que la littérature a brisé le mythe de l'hétérosexualité suprême, qui était déjà brisé depuis encore plus longtemps par les différentes noblesses antiques (Alexandre le Grand, Cicéron et je ne parle même pas des élites grecques), et le cinéma aussi, Pasolini est mort il y a 40 ans pour rappel
je suis d'accord +
http://abimopectore.over-blog.com/article-tree-of-life-une-conversion-vue-par-mali-78732505.html
+ mon avis du coup : Abusivement simpliste pour ceux cultivés en théologie, alambiqué pour les spectateurs lambda, cette oeuvre de Malick est pourtant une leçon de vie synthétique redonnant foi en des préceptes religieux qui se perdent bien trop vite. A l'heure où l'homme ne sait plus se situer, dans une société judéo-chrétienne constituée d'athées en perdition et de religieux stigmatisés, The Tree of Life déverse un flot d'espoir profondément contemplatif et subjectif, joignant les idéaux chrétiens à la vie modeste d'un Jack frappé par sa propre routine. Sans être manichéen, le réalisateur confronte Nature et Grâce, Création et Apocalypse, Vie et Mort, sous le regard omniscient de Dieu.
On peut toutefois reprocher l'aspect esthétique, parfois trop intense et faisant donc songer à une expérimentation publicitaire. Mais les ellipses et analepses tendent à subjuguer le spectateur d'un flux de toute-puissance divine, dénuée à la fois de logique temporelle, mais aussi spatiale (angles, manière de filmer décousue, etc.), évoquant certains chefs-d'oeuvre, comme Koyaanisqatsi, qui utilisent ce type de procédé.
hm je décris selon ce dont je me souviens
c'est un bâtard ce film, il te fait espérer une romance mais te refile une non-romance
le nom de la meuf porte tout le sens du film d'ailleurs, elle n'est qu'une étape vers une véritable relation, donc forcément faut pas s'attendre au truc classique
l'envolée new age de la fin
Abusivement simpliste pour ceux cultivés en théologie, alambiqué pour les spectateurs lambda, cette oeuvre de Malick est pourtant une leçon de vie synthétique redonnant foi en des préceptes religieux qui se perdent bien trop vite. A l'heure où l'homme ne sait plus se situer, dans une société judéo-chrétienne constituée d'athées en perdition et de religieux stigmatisés, The Tree of Life déverse un flot d'espoir profondément contemplatif et subjectif, joignant les idéaux chrétiens à la vie modeste d'un Jack frappé par sa propre routine. Sans être manichéen, le réalisateur confronte Nature et Grâce, Création et Apocalypse, Vie et Mort, sous le regard omniscient de Dieu.
On peut toutefois reprocher l'aspect esthétique, parfois trop intense et faisant donc songer à une expérimentation publicitaire. Mais les ellipses et analepses tendent à subjuguer le spectateur d'un flux de toute-puissance divine, dénuée à la fois de logique temporelle, mais aussi spatiale (angles, manière de filmer décousue, etc.), évoquant certains chefs-d'oeuvre, comme Koyaanisqatsi, qui utilisent ce type de procédé.
Moon, assez prévisible sur l'ensemble du scénar, mais vraiment bon.
Ce film te met dans une déprime pas possible, mais tu en redemandes.