Vos films du moment

euh pour ton premier paragraphe big lol, on peut autant naitre gay que le devenir, tu dis de la merde sur le coup. et quel rapport entre le fait que certains de 14-25 ans se croient bi gays et les films précédemment cités ??? d'autant plus que ouais ptêtre que t'as des connes qui s'affirment bi pour se faire remarquer dans ton lycée, mais personnellement je connais des bis et des gays de cette tranche d'âge qui font pas ça pour être "in" hein, t'as juste des gros aprioris d'autiste.
j'ai maté la vie d'adèle dimanche dernier, c'est un beau film de merde (d'ailleurs kechiche est actuellement au salon du porno à LA) qui ne respecte pas la bande dessinée et qui est axé beaucoup plus sur le cul que sur quoi que ce soit d'autre. Donc déjà y'a aucun rapport entre les deux films, dans les rencontres d'après minuit, le sexe est uniquement un thème principal (au même titre que la mort lol) et le seul truc sexuel qu'on peut voir hormis des allusions dans les dialogues (ce qui est normal vu que ça parle de partouze :/) c'est à un moment une bite au repos (wow grave sexuel je suis choqué !!!!!!!!)

et lol thème récurent ?? l'homosexualité a toujours été un thème récurrent (et n'en est pas un dans les rencontres d’après minuit désolé ^^), regarde juste les films de céline sciamma et réfléchis peut être sur le faut qu'au delà de la sexualité ça soit plutôt les inégalités qui soient pointés du doigt, et ça c'est pas un thème récurent ou nouveau (la cérémonie de chabrol est sorti y a 19 ans tu sais)

Calme ta chatte mec

J'ai voulu mater The Place Beyond the Pines, j'ai pas tenu jusqu'au bout. Chiant comme la mort ce film, dès que l'intrigue devient intéressante, ça retombe. Bon sinon c'est bien filmé et tout mais ça s'arrête là.

Ouais c'est deux films en un faut supporter
Mais le tout est une putain d'histoire

je monte pas dans mes tours mec, je réponds justement aux conneries plus grosses que toi que tu sors

comme tu le souhaites du coup aha

>J'ai pas vu un film mais j'en parle quand même !

Sur ce ta gueule, c'est pas le lieu pour ça comme tu le disais toi même puisque tu as visiblement décidé de m'attaquer sur un truc qui n'a rien à voir avec le cinéma

je m'en bas les couilles, vous comptez pour une seule personne dans ma tête

t'es un vener dis moi

rien vu de très génial ce mois ci so far, si on excepte grand budapest hotel, heureusement qu'il y a la bande dessinée

Ouais ben tenez j'ai fini la vie d'adèle justement, quelle connerie, pire film de l'histoire du cinéma après the tree of life

Non c'est la pire daube qu'on ait jamais réussi à vendre

ce genre de film amène qu'à diviser, soit t'es pris dedans et c'est le pied soit t'es pas réceptif et tu te fais grave chier

ça joue sur la sensibilité du spectateur

vous n'avez rien compris à the tree of life alors, parce qu'à part l'envolée new age de la fin, le film est exceptionnel
oui on peut trouver que la devenue culte "scène des dinosaures" (qui en fait désigne tout le passage métaphorique sur la recréation) appuie un peu trop l'idée de renaissance, mais c'était finalement pas suffisant pour que la mongolerie comprenne le propos du film

c'est justement une des grandes raisons de pourquoi la vie d'Adèle me rend triste par rapport à ses prix et son existence tout simplement : on donne tout, il n'y a pas de symbole, c'est téléphoné, c'est vide, ça pue la merde à fond la caisse à part le jeu d'Adèle qui est impressionnant et Léa Seydoux qui joue un rôle facile mais bien

après je comprends rien à cette idée que l'homosexualité est à la mode aujourd'hui, ça fait un moment que la littérature a brisé le mythe de l'hétérosexualité suprême, qui était déjà brisé depuis encore plus longtemps par les différentes noblesses antiques (Alexandre le Grand, Cicéron et je ne parle même pas des élites grecques), et le cinéma aussi, Pasolini est mort il y a 40 ans pour rappel

je suis d'accord +

http://abimopectore.over-blog.com/article-tree-of-life-une-conversion-vue-par-mali-78732505.html

+ mon avis du coup : Abusivement simpliste pour ceux cultivés en théologie, alambiqué pour les spectateurs lambda, cette oeuvre de Malick est pourtant une leçon de vie synthétique redonnant foi en des préceptes religieux qui se perdent bien trop vite. A l'heure où l'homme ne sait plus se situer, dans une société judéo-chrétienne constituée d'athées en perdition et de religieux stigmatisés, The Tree of Life déverse un flot d'espoir profondément contemplatif et subjectif, joignant les idéaux chrétiens à la vie modeste d'un Jack frappé par sa propre routine. Sans être manichéen, le réalisateur confronte Nature et Grâce, Création et Apocalypse, Vie et Mort, sous le regard omniscient de Dieu.
On peut toutefois reprocher l'aspect esthétique, parfois trop intense et faisant donc songer à une expérimentation publicitaire. Mais les ellipses et analepses tendent à subjuguer le spectateur d'un flux de toute-puissance divine, dénuée à la fois de logique temporelle, mais aussi spatiale (angles, manière de filmer décousue, etc.), évoquant certains chefs-d'oeuvre, comme Koyaanisqatsi, qui utilisent ce type de procédé.

Koyaanisqatsi m'a bien retourné par contre, bel hommage à l'essence du cinéma. J'ai pas ressenti le manque de dialogue ni de progression spatiale/temporelle, juste été emporté dans le flux d'images. Libre d'en tirer une conclusion et ça c'est foutrement fort.

lol

Je viens de voir Mr Nobody, c'est un joli film