Oyé, Oyé à tous.
Je me permets d'écrire de nouveau pour vous faire part mes textes et citations faits récemment à mes heures perdues. L'ancien que j'avais créé auparavant, c'est ce que j'avais écrit il y a fort longtemps. Comprenant donc que peu, voire pas de personnes ont apprécié.
Vais-je parer à cette erreur ?
- Je vous laisse le choix de me dire ce vous en pensez en exposant des critiques libres et constructifs.
Elle que l'on peut aussi surnommer la femme tout en pensant lourdement à sa vie, enceinte, amoureuse, mariée. Elle se trouve libre. Vie qu'elle crée prématurément. Quoiqu'elle puisse souffrir d'un certain traumatisme dû à son passé, cœur saignant son passé inique. Elle cria chaque soir dans son for intérieur, ses anciennes erreurs referaient-elles surface ? Est-elle dans une impasse que seul elle peut franchir, elle vit entourer de son mari et de ses parents défunts errant sa demeure. Elle pense à une seule chose l'évanescence, son passé la bloque, ces arrière-pensées calomnieuses restent incompréhensibles pour elle.
- Tenterait-d'elle de fuir ?
Elle ne peut se convaincre d'une telle chose, restant aux côtés de son mari et de son fils qui n'a que 3 mois. Elle pense, elle écrit ses indifférences, elle peint des frasques d'une telle allégresse, son mari ne peut la comprendre.
Fait-il semblant d'essayer de vivre ? Son petit ventre gargouille, il perdit ses cheveux en quelques jours. Pense-t-il à la faim où ce serait son stress quant à sa femme, pauvre d'elle ? ainsi continua leur vie aussi impie soit-elle.
3 mois plus tard,
Elle perdit son boulot dû à son trouble psychique que personne n'arrivait à comprendre. Son fils commença à avoir 6 mois et battait de sa liberté, elle eut mal, elle est tourmentée. Son mari ayant eu une dépression inalliable quitta leur foyer laissant celle-ci se submerger encore plus dans sa solitude. Elle se posa tas de questions comme elle l'a toujours fait. Au regret, elle fait savoir à son fils sa future erreur, elle devint narcotrafiquante pour pouvoir se nourrir, payer son loyer. Troublée par son divorce, elle encra encore plus et délibérément dans ses pensées corroborer et tomba dans une misanthropie qui l'accapara tant physiquement que psychiquement. Elle ne se comprenait plus, elle se demanda ce qu'étaient toujours ses erreurs du passé, n'arrivant pas à s'en souvenir. elle soufra. Son fils frappa avec ses mains d'une douceur mirifique pour qu'elle entérine la vérité qu'elle essaye de fuir à son insu.
- Elle se posa donc deux questions : Dois-je laisser mon fils seul ? Dois-je continuer avec ma maladie ?
Des questions qui continuèrent sans cesse de lui travailler l'esprit en plus de son passé troublant. Elle se perdit moralement, elle perdit tout sens de l'équilibre, elle cassa tous chez elle. Elle tourna sur elle-même en se lamentant terriblement sur son sort, elle tourna, tourna sans arrêt en s’enfonçant dans l'obscurité la plus totale. elle est touchée d'une maladie rare et sa seule paix se trouva dans la mort.
Son fils trouva la mort avec elle, mais vécut heureux autrement. À ce qu'il paraîtrait qu'elle aurait trouvé raison dans la mort, ces souvenirs douloureux seraient revenue.
Citations :
- L'exécrable s'assujettis aux pires scélératesses contrairement à l'ange qui jouit inéluctablement de la lumière.
- J'ai suivi, comme je l'ai fait toute ma vie des gens qui m'intéressent. Seuls les fous m'intéressent. Ceux qui ont la fureur de vivre, de parler, qui se veulent jouir de tout, qui jamais ne baillent ou disent banalité, mais qui brûlent, brûlent, comme les chandelles romaines dans la nuit.
Poème :
Conseils à mes contemporains
J'aime beaucoup ce superbe vocabulaire
Que ne renierait point ce cher Baudelaire.
Allons, n'as-tu donc aucune sensibilité au beau ?
Eh bien ! laisse-moi te dire que tu es indigne de Rimbaud.
Ton ignorance me fait tant de peine,
Et je puis entendre les larmes de Verlaine.
Pour me guérir de ce terrible mal,
Un seul remède : le bon Kamal.
Ah, là, là ! Tu envemines
La situation de Yassine.
Pour mes oreilles profanes,
Rien ne vaut le savoir de Stéphane.
Les leaders de la terre
Qui sont dignes d'Hitler.
Pourtant, toutes ces histoires de lifestyle
Ne me disent vraiment rien qui vaille.
C'est parce que tu es trop needy
Et, hélas! ça ira de mal en pis.
Textes, citations, poèmes.
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La Seume
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17 février 2014, 04:17
« Modifié: 17 février 2014, 05:43 par Sol »
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