PS: je fais encore des fautes donc peace sur le sujet.
Spoiler
Accompagné des cantiques de cornebres, Hector marchait lentement dans l’ombre des puissants chênes. Le temps paraissait s’éteindre dans cette forêt isolée. Les lourds arbres se penchaient sous le poids du temps, d’épaisses toiles de migalos pendaient sinistrement de leurs branches tels de sombre nuage dans cette mer d’émeraude. Hector revenait souvent ici pour méditer.
Cette fois-ci, il semblait abattu, les épaules voutées, le regard sinistre malgré un visage séduisant.
Il avait conquis le monde et il ne savait plus quoi faire.
Hector, encore jeune, était partit de Kanto, sans expérience, innocent du monde qui l’entourait. Il gravit alors les échelons rapidement, de Pierre à Argenta jusqu’à Giovanni. Le célèbre Giovanni qu’il avait défait à la surprise de tous. Vint alors la Ligue. Difficile épreuve qu’il parvint néanmoins à surmonter jusqu’au Maitre, son ennemi juré : Blue. Le combat fut terrible, son alakazam lui avait donné du fil à retordre. Mais il avait vaincu et Blue consterné dut s’avouer perdant.
Et il enchaina ainsi les victoires des maitres de Ligues, Peter de Johto, Pierre et Wallace de Hoen, Cynthia de Sinnoh et finalement le flamboyant Goya d’Unys.
Tous vaincus, lui vainqueur.
Hector était parti tel un pèlerin sur les cinq continents à la recherche de nouveaux objectifs. Il avait trouvé la Zone Combat de Hoen grâce à Scott qui l’avait aiguillé. Il s’était passionné pour cette zone pendant de nombreuses années ainsi que la Tour Combat.
Mais un jour, Hector s’était lassé. Il voulait autre chose, il voulait de nouveau avoir ce sentiment de découverte, de nouveau qu’il avait eu a Kanto. Sa recherche fut vaine. Il vint alors se réfugier dans cette ancienne forêt pour faire le point sur son avenir.
Hector entendait le fin bruit du ruisseau qui serpentait à travers les racines noueuses. Le vent s’infiltré sous la fronde des arbres et faisait bruisser les feuilles d’un murmure entêtant. Une mélodie se faisait entendre : des petits claquements d’ailes furtives, des grattements secs, des bruissements sourds, des éclaboussements rapides. Puis un violent craquement se fit entendre plongeant la forêt dans un silence de mort.
Son cœur sauta d’un bond, il tourna la tête à l’affut du moindre mouvement.
Sous un fin rayon de soleil, telle une divine apparition, Hector vit une créature qui l’observait.
Un puissant chien noir lui transperça l’âme de ses yeux jaunes dorés, sur son pelage obscur miroité, dans la pénombre de la forêt, des anneaux bleutés. Il connaissait cette espèce, un noctali sauvage de la famille évolutive d’evoli, l’espèce génétique instable.
Mais, ce noctali là était différent.
Ces anneaux étaient bleutés, non dorés comme ils devaient l’être.
Il comprit alors que cet animal était d’une rareté exceptionnelle : un animal chromatique.
Hector avait toujours considérés les animaux chromatiques comme de vulgaires légendes urbaines pour pimenter les discussions autour d’un feu. Les scientifiques n’avaient pas réussis à prouver leur existence et encore moins leur provenance.
Jusqu’à aujourd’hui.
Il tenait là une occasion d’apporter des preuves pour une nouvelle théorie scientifiques.
Le molosse venait de comprendre ses pensées, il prit alors la fuite. Comme s’il venait d’être électrocuté par electhor lui-même, Hector se précipita à sa poursuite.
La forêt qui avait semblait figé dans la glace une seconde avant paraissait maintenant douée de vie. Les racines s’accrochaient à ses pieds pour qu’il trébuche, les arbres se précipitaient vers lui pour bloquer le passage, les buissons de ronces et de fougères se dressaient face à lui pour qu’il cesse sa folie. L’animal lui bondissait avec aisance dans ce chaos de végétation, en comparaison, Hector avançait tel un ronflex dans un champ de porcelaine.
Il vit alors la lumière du jour et déboucha sur une plaine bordée d’une muraille d’arbres entrelacés. La plaine herbeuse était totalement silencieuse et vide, plongé sous un soleil groudonien. Au centre sur un plateau surélevé, le noctali chromatique l’attendait le regardant de haut.
Hector s’avançait avec précaution de peur que le molosse ne disparaisse, trahissant une vue de son esprit, une simple illusion de son cerveau fiévreux.
Il sortit six petites sphères blanches et rouges de son sac-à-dos. Il était prêt à lancer le combat quand le noctali fit quelque chose qui le choqua profondément.
Noctali sauta en l’air avec légèreté puis les formes du chien se tordirent, se contractèrent, se dilatèrent pour laisser place à une autre créature aux grands yeux bleus.
Un mew chromatique venait d’apparaitre. Alexir en resta bouche bée.
Cet animal qui flottait devant ses yeux ne devrait pas exister. Les scientifiques avaient fait de longues recherches sur cet animal mystérieux. De longs débats houleux avaient enflammés la sphère scientifique mais le professeur Chen avait néanmoins réussi à faire prévaloir sa théorie. De nombreux mews avaient du exister par le passé et par la théorie de l’évolution chacun d’eux avaient évolué vers tous les animaux actuels. Mew était l’ancêtre commun de tous.
Peut-être même de l’Humain, mais sur ce cas là, le professeur Chen n’avait pas recueillit assez de preuves et fut hués, malgré sa sagesse, par tous ces compères scientifiques. Le professeur Chen s’était alors exclu des recherches scientifiques signalant sa retraite sur ce domaine.
Mais ce mew chromatique n’était jamais intervenu dans les équations des chercheurs.
Hector comprit alors le rôle de cette créature légendaire.
Le mew qui se tenait devant lui devait être le descendant direct de tous les animaux chromatiques existants. Une véritable avancée pour la recherche.
Son cœur pris le rythme d’un tambour de guerre, du sang brulant irrigué son corps en tension, un sourire illumina enfin le visage d’Hector.
Il avait retrouvé la fureur qui l’avait animé à Kanto.
Sous le regard inquisiteur du mew chromatique, Hector lança alors sa première petite sphère de combat.
Cette fois-ci, il semblait abattu, les épaules voutées, le regard sinistre malgré un visage séduisant.
Il avait conquis le monde et il ne savait plus quoi faire.
Hector, encore jeune, était partit de Kanto, sans expérience, innocent du monde qui l’entourait. Il gravit alors les échelons rapidement, de Pierre à Argenta jusqu’à Giovanni. Le célèbre Giovanni qu’il avait défait à la surprise de tous. Vint alors la Ligue. Difficile épreuve qu’il parvint néanmoins à surmonter jusqu’au Maitre, son ennemi juré : Blue. Le combat fut terrible, son alakazam lui avait donné du fil à retordre. Mais il avait vaincu et Blue consterné dut s’avouer perdant.
Et il enchaina ainsi les victoires des maitres de Ligues, Peter de Johto, Pierre et Wallace de Hoen, Cynthia de Sinnoh et finalement le flamboyant Goya d’Unys.
Tous vaincus, lui vainqueur.
Hector était parti tel un pèlerin sur les cinq continents à la recherche de nouveaux objectifs. Il avait trouvé la Zone Combat de Hoen grâce à Scott qui l’avait aiguillé. Il s’était passionné pour cette zone pendant de nombreuses années ainsi que la Tour Combat.
Mais un jour, Hector s’était lassé. Il voulait autre chose, il voulait de nouveau avoir ce sentiment de découverte, de nouveau qu’il avait eu a Kanto. Sa recherche fut vaine. Il vint alors se réfugier dans cette ancienne forêt pour faire le point sur son avenir.
Hector entendait le fin bruit du ruisseau qui serpentait à travers les racines noueuses. Le vent s’infiltré sous la fronde des arbres et faisait bruisser les feuilles d’un murmure entêtant. Une mélodie se faisait entendre : des petits claquements d’ailes furtives, des grattements secs, des bruissements sourds, des éclaboussements rapides. Puis un violent craquement se fit entendre plongeant la forêt dans un silence de mort.
Son cœur sauta d’un bond, il tourna la tête à l’affut du moindre mouvement.
Sous un fin rayon de soleil, telle une divine apparition, Hector vit une créature qui l’observait.
Un puissant chien noir lui transperça l’âme de ses yeux jaunes dorés, sur son pelage obscur miroité, dans la pénombre de la forêt, des anneaux bleutés. Il connaissait cette espèce, un noctali sauvage de la famille évolutive d’evoli, l’espèce génétique instable.
Mais, ce noctali là était différent.
Ces anneaux étaient bleutés, non dorés comme ils devaient l’être.
Il comprit alors que cet animal était d’une rareté exceptionnelle : un animal chromatique.
Hector avait toujours considérés les animaux chromatiques comme de vulgaires légendes urbaines pour pimenter les discussions autour d’un feu. Les scientifiques n’avaient pas réussis à prouver leur existence et encore moins leur provenance.
Jusqu’à aujourd’hui.
Il tenait là une occasion d’apporter des preuves pour une nouvelle théorie scientifiques.
Le molosse venait de comprendre ses pensées, il prit alors la fuite. Comme s’il venait d’être électrocuté par electhor lui-même, Hector se précipita à sa poursuite.
La forêt qui avait semblait figé dans la glace une seconde avant paraissait maintenant douée de vie. Les racines s’accrochaient à ses pieds pour qu’il trébuche, les arbres se précipitaient vers lui pour bloquer le passage, les buissons de ronces et de fougères se dressaient face à lui pour qu’il cesse sa folie. L’animal lui bondissait avec aisance dans ce chaos de végétation, en comparaison, Hector avançait tel un ronflex dans un champ de porcelaine.
Il vit alors la lumière du jour et déboucha sur une plaine bordée d’une muraille d’arbres entrelacés. La plaine herbeuse était totalement silencieuse et vide, plongé sous un soleil groudonien. Au centre sur un plateau surélevé, le noctali chromatique l’attendait le regardant de haut.
Hector s’avançait avec précaution de peur que le molosse ne disparaisse, trahissant une vue de son esprit, une simple illusion de son cerveau fiévreux.
Il sortit six petites sphères blanches et rouges de son sac-à-dos. Il était prêt à lancer le combat quand le noctali fit quelque chose qui le choqua profondément.
Noctali sauta en l’air avec légèreté puis les formes du chien se tordirent, se contractèrent, se dilatèrent pour laisser place à une autre créature aux grands yeux bleus.
Un mew chromatique venait d’apparaitre. Alexir en resta bouche bée.
Cet animal qui flottait devant ses yeux ne devrait pas exister. Les scientifiques avaient fait de longues recherches sur cet animal mystérieux. De longs débats houleux avaient enflammés la sphère scientifique mais le professeur Chen avait néanmoins réussi à faire prévaloir sa théorie. De nombreux mews avaient du exister par le passé et par la théorie de l’évolution chacun d’eux avaient évolué vers tous les animaux actuels. Mew était l’ancêtre commun de tous.
Peut-être même de l’Humain, mais sur ce cas là, le professeur Chen n’avait pas recueillit assez de preuves et fut hués, malgré sa sagesse, par tous ces compères scientifiques. Le professeur Chen s’était alors exclu des recherches scientifiques signalant sa retraite sur ce domaine.
Mais ce mew chromatique n’était jamais intervenu dans les équations des chercheurs.
Hector comprit alors le rôle de cette créature légendaire.
Le mew qui se tenait devant lui devait être le descendant direct de tous les animaux chromatiques existants. Une véritable avancée pour la recherche.
Son cœur pris le rythme d’un tambour de guerre, du sang brulant irrigué son corps en tension, un sourire illumina enfin le visage d’Hector.
Il avait retrouvé la fureur qui l’avait animé à Kanto.
Sous le regard inquisiteur du mew chromatique, Hector lança alors sa première petite sphère de combat.
