[Autres] Pensées Lezahniennes

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Vieille chatte

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13 novembre 2010, 19:21
Non ceci n'est pas une copie.
J'ai trouvé l'idée de Simoh plutôt sympathique en soi, & j'ai décidé d'y faire ici la même chose. J'éditerai régulièrement (ou pas) dans ce post, chaque pensée étant illustré par une date de fin d'édition sous spoiler.
Si vous désirez réagir par rapport à une pensée particulière, prière de signaler dans votre post la date de ladite pensée. Merci.

Samedi 13 Novembre 2010 à 19h33
Une quantité gargantuesque de travail s'écroule sur mes épaules. Une série d'examens de contrôles continus, un effort régulier, & de l'investissement personnel, voici ce qui m'attend.

Je lève les yeux : tant de livres possédés, & qui méritent d'être lus. Le temps. Voilà ce qu'il me manque. Non pas le temps tel qu'on le définit, mais plutôt sa continuité. J'aimerais pouvoir figer le temps à chaque projet que j'entame, dans l'espoir que le soleil ne se couche pas de là à ce que je termine ce projet.

Mes yeux se cernent tous les soirs. Le sommeil me gagne trop aisément, & j'aimerais connaître le moyen de lutter sans en subir les conséquences. J'aimerais remplacer ce temps d'inactivité par un long moment d'écoute musicale. Il y a en plus de cela une liste qui s'élève à quelques centaines d'artistes près de moi : elle attend d'être téléchargée. J'aimerais un lecteur MP3 qui supporte des milliers de gigaoctets..

Puis le temps revient à la charge : "PRENDS LE TEMPS de te doucher ; PRENDS LE TEMPS de manger ; PRENDS LE TEMPS de lire ce merveilleux bouquin de Lermontov ; PRENDS LE TEMPS de dormir".

Qu'importe. Si jamais je me mettais à établir l'agenda de mes objectifs futurs, ma vie n'en serait que plus énervante, si je venais à manquer de temps pour l'un de ces objectifs. J'ai toujours préféré agir selon mon humeur, en tout cas en ce qui concerne ce qui m'affecte moi, & seulement moi (études, travail, santé). Le reste n'est que secondaire, & facilement réalisable.

Ainsi va la vie. Ainsi va ma vie. Un temps qu'on ne rattrape pas, qu'on regrette, puis qu'on finit par oublier, par remplacer pour une excitation plus récente..

Mercredi 17 Novembre 2010 à 17h26
Vide. Totalement vide. Toute cette ferveur, cette flamme, ce courage.. Tout est parti. Il me faut une quelconque motivation, une sensation de bien-être pour repartir. La fin du cannabis est proche. Je me repentis, pour une façon agréable de vivre. Le travail se remet en place. L'amour de l'avenir. Une nuit & c'est reparti ; tout ce qui était parti revient. Motivation. Sensation de bien-être.
[...]
Allons ! La nuit tombe, il faut se remettre d'aplomb. Une nuit fraîche & sèche. Comme du chanvre que l'on viendrait de cueillir. Tais-toi donc ! Non. Sois toi-même ! Sois fier de ta réputation ! Bientôt, ça va revenir. C'est proche..
[...]
Suicide cérébral.

Vendredi 19 Novembre 2010 à 20h46
Ça me revient maintenant. La sensation de faim, la vraie ; non pas celle que l'on ressent lorsque l'on a fumé du cannabis, ou lorsque l'on attend l'heure du midi. Bientôt 10 heures que je n'ai pas mangé. Étant éveillé, donc épuisant seconde après seconde mon énergie, je ne perçois que trop bien le vide intersidéral qui noue mon estomac. Un trou noir qui réclame de la malbouffe à foison.
Je me rends compte, en ces circonstances, que la faim empêche de penser convenablement. Le ramadan, ou le jeûne, doivent être des épreuves terribles. Il s'agit là d'une très grande entreprise. Un jour, je la tenterai. Mais je me tiendrai éloigné de toute vie sociale, afin de ne pas céder à la tentation de la mastication..
La faim est la dégradation de l'être humain face autant circonstanciel : il dure, perdure, & l'affamé endure. C'est ignoble de laisser des gens mourir de faim. Avoir faim constamment, c'est connaître la raison future de sa propre mort. Ce n'est pas tant la faim qui est effrayante, mais plutôt son issue sur la durée.
Je vais dîner.

Vendredi 04 Mars 2011 à 02h57
Nous n'avons pas besoin de l'éducation ! Un peu de Pink Floyd est en chacun de nous ! Nous devons nous révolter, soulever une anarchie totale ! Faire péter les murs de l'emprisonnement cérébrale ! Noyer le poisson politique, affranchir les soumis, délivrer les dépendances et les impuretés de la tristesse collective ! Regardez cette foule, tout cet océan de gens, de masses humaines, de globes creux et trous noirs, ces oiseaux réfugiés qui planent sur eux, cette nostalgie d'un monde ancien nouveau, les croisements du passé, du présent, du futur, et peut-être même ces gens pensent-ils à leur délivrance ! L'heure du nouveau « nous » a sonné ! A bas les coutumes préétablies et les traditions déformées ! Vive la liberté vraie, l'abolition de l'accoutumance invertueuse ! Conspiration, compromission, humiliation ! Exécution !

Dimanche 01 Mai 2011 à 22h06
Il fait encore nuit. J'ai les yeux rouges de fatigue, un léger mal de crâne, une toux grasse et les cheveux ébouriffés. Je ressemble à un zombie, qui a lui-même été rongé par diverses maladies. L'un des plaisirs de la vie que je préfère, c'est me passer de l'eau fraîche sur le visage : cette sensation de métamorphose, de renaissance me vivifie pour la journée – ou pour la matinée, c'est à voir. J'ai froid, j'aurais peut-être dû porter autre chose qu'un simple caleçon. L'urine orange, je ressens la soirée d'hier. Il faut que je m'allume une cigarette. Roulée à la manière d'un fumeur vétéran, je grille la petite sur mon toit, en regardant la clarté du ciel étoilé. C'est si rare de pouvoir apprécier ce tableau à mi-chemin entre la pénombre de la nuit et les faibles lueurs de l'aube. Je ne pense à rien. J'entends quelques voitures au loin, un écho mystérieux. Une étoile filante ! Merde ! Je me suis brûlé le torse avec ma clope ! Je me redresse, attendant son appel désespérément.

Dimanche 25 Septembre 2011 à 21h51
[...]l'histoire d'un psychédélisme farfelu, l’apaisante sensation de ne plus être soi. Elle me propose un peu de LSD pour apprécier la soirée d'une autre façon. Quoi ? Un sucre ? Non merci. Une goutte, dix euros. D'accord. Ah merde, deux, trois, c'est énorme..

Un rire léger, puis un rictus, l'effarante émotion du bien-être. Fou rire, larmes, manque d'oxygène. Je respire enfin. Je ferme les yeux, me laisse tomber sur ce sol poussiéreux. Je les ouvre, je sombre. Le ciel tout entier s'effondre sur moi, je sens son oppression peser sur ma poitrine, mon crâne est lourd. Je ne peux plus bouger, je perçois ces quelques étoiles tournoyer d'une manière si originale que je parviens à distinguer des constellations inexistantes. Puis, j'y entrevois une forme d'amour, je la vois parfaitement maintenant, c'est elle. Je souris, je parviens enfin à me relever.

Toutes ces silhouettes, des décombres inaccessibles. Ils dansent, rythment mon coeur, les basses sont puissantes, je ressens des lames sabreuses découper finement chacune de mes entrailles. Tout se rapproche & s'éloigne, je peux.. voir.. le son ? Des ondes rondes, colorées, qui donnent vie à toutes ces ombres ternies par un besoin solennel & collectif d'être percutées par ce son.. Je touche mon coeur, il bat en un unique accord musical. Je ne sens plus mes jambes, elles m'entraînent devant ce mur gargantuesque : je lui parle, le remercie d'être là pour moi, puis je plonge ma tête en son sein, & je m'efface. L'âtre de mes pensées se révèle aussi vide que la poche maternelle d'un Jupiter encore inexistant. Le temps n'a plus d'importance, la réalité devient abstraite, telle une matrice dont on se contrefout. Je reste là, inlassablement, durant des heures. Mes membres tremblent, mes yeux se raidissent, mais j'ai mal quelque part..

J'en ressors, & je m'étale faiblement sur la contre-prairie de cette étendue marécageuse. Je constate que mes jambes ne tiennent plus, que je suis assoiffé, affamé, & que mes mai.. à qui sont ces mains ? Quel mouvement délicieux, cet arrondi ralenti, cette complexité d'accords entre chaque doigt, cette grâce..

Le jour s'est levé, j'aperçois des centaines de visages tout aussi déconnectés que le mien. Chacun vit en son monde, & chaque monde vit en eux. Je reste bouche bée, observant, m'extasiant sur la formidable beauté de chaque être présent. Je trouve une bouteille de bière encore inutilisée, je bois tout d'un trait. Puis je pars, chancelant sur un pied, je manque la chute à plusieurs reprises, je sors un pull du coffre de la voiture, puis je vais m'isoler dans la forêt voisine.

La nature se fait magnifique ce matin. Elle me murmure quelques conseils de vie, elle me dit à quel point elle m'aime, & je cours pour lui signifier combien je me sens bien en elle. Je m'allonge au milieu de ces herbes touffues, je vois quelques oiseaux passer, des rouge-gorges, des pies, des moineaux, & d'autres bestioles dont je ne connais pas le nom. J'entends le moindre bruit de branche, d'insecte, & je perçois encore les basses de l'aube. Je recommence enfin à penser avec lucidité, & je profite de cette expérience pour repenser à tous les moments divins que ma vie m'a apportés. Je m'endors, tombe dans des songes encore plus irréels, & je réalise enfin comment la vie devrait être lorsqu'on est sobre.

Mercredi 16 Novembre 2011 à 18h28
Je dis "au revoir !" à Aziz, puis je pars, un peu léger, ignorant les regards de tous ces étudiants se posant sur mes yeux rouges & mes pupilles dilatées. Chaque fois que je passe près de quelqu'un, il me semble que je titube, que j'oublie comment marcher. J'ai oublié mes lunettes de soleil : il n'y a pas plus découvert, selon moi, que les yeux. Dans la rue, ils incarnent l'intimité absolue, la gène, il n'est pas très confortable de croiser un regard sans approche préalable.. [...]puis je monte dans le bus, rempli de ces gens bizarres, comme toute la population de ma chère ville. Je vais m'asseoir au fond, je mets le casque sur mes oreilles, puis je lance l'iPod en mode aléatoire. Je tombe sur cette chanson absolument fabuleuse de Walter Meego ; j'oublie d'en regarder le titre. On verra ça plus tard. Ce soleil de merde me tape sur les nerfs, mes yeux se raidissent, un mal de crâne se profile, je dois cesser d'écouter cette musique stridente.. J'ai chaud, je suffoque. Tout le monde descend. Je change de place, puis j'admire une dernière fois le coucher de soleil, soleil si apaisant quand il sait se faire discret. Je suis ébloui par ces nuances d'orange, de rose & de violet. Je retombe dans une sorte d'enfance, appréciant à nouveau quelques saveurs que peuvent nous apporter nos sens. Je profite de voir, pour admirer le coucher de soleil. Plus tard, quand j'arrive à mon arrêt de bus, je remonte le chemin longeant la forêt, trempée par les pluies diluviennes de la semaine dernière ; aujourd'hui il a fait beau, le vent a soufflé, & les odeurs fraîches des écorces me chatouillent les narines. Je peux sentir le bois pourri, le bois sec, & le bois nouveau, les dernières feuilles tombant jusqu'au sol pour montrer à nous humains que l'hiver approche. Je lève les yeux & regarde les étoiles : je me sens bien.

Samedi 04 Février 2012 à 22h24
Je montai dans la voiture, croisant les doigts, serrant mon chapelet contre ma poitrine, lorgnant sur le Teddy Bear qui pendouillait sur le rétroviseur intérieur.
Ce matin-là, j'avais mis de l'encens indien dans ma chambre, afin d'être concentré sur ma lecture de la biographie d'Alexandre II par Hélène Carrière d'Encausse. Je sirotais une bouteille de Coca Cola, en regardant le plafond, cherchant l'inspiration. Je me sentais magnifique, avant de poser les yeux sur les quelques pots de tabac éparpillés le long de mes étagères. J'avais ensuite pris ma guitare pour composer un morceau sur l'acide. Je sentais comme une dépression passagère, folâtre & naissante.
[...] Je conduisis en direction de Nulle-Part, comme ça arrive parfois à chacun d'entre nous. J'aimais ça, errer, ne jamais savoir où aller. Je m'arrêtai dans la cambrousse verdoyante, écoutant l'appel de Mère Nature. Je descendis lentement de ma voiture, la fermai à clé, & m'enfonçai paisiblement sur un sentier, laissant mes pensées de côté pour autoriser mes émotions à se frayer un chemin. Tout était si reposé que j'entendais presque clairement le piano neurasthénique qui jouait dans ma tête, le violon dépravé d'espoir, & les échos de cette voix souffrante, qui disait "Ask yourself how it is going..". Je m'assis sur un rocher, à l'ombre d'un arbre dont les branches semblaient couler, & dont les feuilles paraissaient mourantes, molles, délicatement secouées par une brise fraîche. Je restai là, à contempler, seulement admirer les parcelles de paysage qui s'offraient à ma vue. Ni pensée, ni imagination, ni fantasme, seulement une réalité pleine d'émotion, du brut, du sauvage. Parfois, quelques animaux passaient ça & là. Je n'y prêtais qu'une faible attention. C'était la vie, & cela se révélait parfaitement normal. Parfaitement. A quelques moments, j'entendais les arbres bercés par le vent, comme s'ils désiraient me chuchoter le secret, ce que je devais faire. J'eus l'envie de leur demander en quoi consistait ma condition. J'eus l'audace d'appliquer mon oreille contre leurs écorces, afin d'écouter chacun de leurs secrets. Mais je les entendais respirer, rien d'autre. Peut-être n'avaient-ils eux-mêmes pas la réponse.
Je repartis, conquis par une idée que je ne saurais jamais exprimer, un sentiment libérateur, & à la fois oppressant, celui selon lequel j'étais condamné à rester un homme, à ne jamais connaître la sensation d'un bonheur absolu, d'une rédemption probatoire à mon statut lamentable d'être humain. Je rentrai chez moi, m'allumai un joint en ayant précautionneusement dosé le tout, rendis hommage à Dieu pour cet unique plaisir que je perçois, puis lui fis signe d'aller se faire mettre en recrachant la fumée dans sa direction.
« Modifié: 26 janvier 2013, 01:31 par Vilgrav-Klaus »

-S@M-

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14 novembre 2010, 00:11
Ton style me fatigue man.

Vieille chatte

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14 novembre 2010, 00:15
C'est parce que je suis fatigué en ce moment. & j'ai bien trop de pensées en tête, j'ai le cerveau qui fond.

Vieille chatte

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Ck-Ub

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17 novembre 2010, 20:03
Ça fait très écrivain gay.

Vieille chatte

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17 novembre 2010, 20:15
Ce n'est en aucun cas de la littérature, mais simplement la retranscription de mes pensées à mes heures perdues.

Vieille chatte

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-S@M-

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08 décembre 2010, 23:00
Style toujours aussi long avec la moitié des mots qui servent pas a exprimer mais a styliser l'expression => relou a lire

Vieille chatte

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09 décembre 2010, 09:25
Style toujours aussi long avec la moitié des mots qui servent pas a exprimer mais a styliser l'expression => relou a lire

Tu n'y es pas obligé, ce n'est que la transcription immédiate de mes pensées. Désolé de penser avec trop de style (H)

Steak

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26 décembre 2010, 16:00
En tout cas, t'as beaucoup de choses dans la tête  ;)
On sent la fatigue sur tes écrits, isn't it ?

Vieille chatte

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26 décembre 2010, 16:14
L'extirpation cérébrale de mes capacités, accentuée par une fatigue incessante. Je ne sais plus ce qu'est "être en forme", & je m'y accommode.

Draphyp

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26 décembre 2010, 18:42
Putain mec elle est pas cool ta vie snif, du suicide, etc... t'y penses au suicide, tout ces jeux que tu va laisser derrière toi, tu as encore une longue pour voir la 30ième génération de pokemon... :you:

Steak

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26 décembre 2010, 19:15
Putain mec elle est pas cool ta vie snif, du suicide, etc... t'y penses au suicide, tout ces jeux que tu va laisser derrière toi, tu as encore une longue pour voir la 30ième génération de pokemon... :you:
Heu ... ?! WTF Mec ?  :black:

Mec ne t'accomode pas à ce fait, essaye de bouger quelque part et dors beaucoup  ;)
« Modifié: 26 décembre 2010, 19:16 par Steak² »

Vieille chatte

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26 décembre 2010, 19:17
Putain mec elle est pas cool ta vie snif, du suicide, etc... t'y penses au suicide, tout ces jeux que tu va laisser derrière toi, tu as encore une longue pour voir la 30ième génération de pokemon... :you:

Ok t'es en BEP c'est ça ?

Draphyp

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26 décembre 2010, 19:44
Euh non, pas du tou je suis en 1°S

Steak

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26 décembre 2010, 20:01
O_________________________o

Vieille chatte

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04 mars 2011, 02:59

Vendredi 04 Mars 2011 à 02h57
Nous n'avons pas besoin de l'éducation ! Un peu de Pink Floyd est en chacun de nous ! Nous devons nous révolter, soulever une anarchie totale ! Faire péter les murs de l'emprisonnement cérébrale ! Noyer le poisson politique, affranchir les soumis, délivrer les dépendances et les impuretés de la tristesse collective ! Regardez cette foule, tout cet océan de gens, de masses humaines, de globes creux et trous noirs, ces oiseaux réfugiés qui planent sur eux, cette nostalgie d'un monde ancien nouveau, les croisements du passé, du présent, du futur, et peut-être même ces gens pensent-ils à leur délivrance ! L'heure du nouveau « nous » a sonné ! A bas les coutumes préétablies et les traditions déformées ! Vive la liberté vraie, l'abolition de l'accoutumance invertueuse ! Conspiration, compromission, humiliation ! Exécution !

MAJ : ) c'est un extrait du roman que je suis en train d'écrire (ou plutôt un recueil de pensées, & j'y mettrai la bande-son adéquate quand je l'aurai terminé : ) ).

-S@M-

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04 mars 2011, 08:09
K_MAS tu veux refaire mai 68?

M2K

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04 mars 2011, 08:13
haha lol leza va révolutionner le monde de chez lui en écoutant du pink floyd

Vieille chatte

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04 mars 2011, 12:28
K_MAS tu veux refaire mai 68?

roman
réalité

débat

Vieille chatte

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04 mars 2011, 12:29
haha lol leza va révolutionner le monde de chez lui en écoutant du pink floyd

Mais mec, leurs paroles sont si profondes :'( leur musique est imbattable, ce sont des dieux !!

Ze Torres

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12 avril 2011, 16:20
JamesPas :/
Il y a trop de mots pour une simple idée :/

Vieille chatte

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12 avril 2011, 16:50
Désolé de ne pas rentrer dans le système scolaire :/

Vieille chatte

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12 avril 2011, 16:52
Bref, j'ai commencé à écrire un roman, en plusieurs parties (peut-être seront-elles indépendantes les unes des autres). Je ne le publierai sûrement jamais, ne serait-ce que sur Internet, car il reste beaucoup trop intime, personnel, & est donc réservé à la stricte élite me connaissant. Les différentes parties du roman seront basées sur les évènements très importants dans la vie de plusieurs personnages qui ne se sont jamais rencontrés & ont des vies opposées. Je me réserve le spleen final : ) j'ai ma petite idée, je réfléchis à comment l'exploiter le plus correctement possible.

Ze Torres

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12 avril 2011, 17:00
Désolé de ne pas rentrer dans le système scolaire :/

C'est cool, t'acceptes les critiques.
Et, en effet, ton travail n'entre pas dans le système scolaire, t'imagines pas les méfaits pour les enfants s'ils devaient lire ça...
 :ahah: (Petit émo pour rappeler que ce commentaire n'est pas (entièrement) méchant.
« Modifié: 15 avril 2011, 10:51 par ze torres »

Vieille chatte

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12 avril 2011, 19:17
En fait, je n'aime écrire que quand je me sens mal. C'est plus une libération spirituelle qu'un réel travail de soi.

Ze Torres

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13 avril 2011, 10:45
Comme moi, je gratte des dizaines de pages quand je me sens mal. Ensuite je les déchire  :ahah:

Vieille chatte

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13 avril 2011, 11:27
Comme moi, je gratte des dizaines de pages quand je me sens mal. Ensuite je les déchire  :ahah:

Je ne jette, n'efface, ou ne supprime jamais ce que j'écris, aussi mauvais que ce soit :/

Ze Torres

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13 avril 2011, 11:41
Mouà si ! :O En fait, si tu as passé une mauvaise journée. Tu l'écris et tu la déchires.
En fait, tu as l'impression de te "libérer" de ta journée, de la supprimer.  :orly:

Et voilà je passe pour un taré  :domo:

Vieille chatte

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13 avril 2011, 18:06
Oui. Chaque écrit représente un état passé de ton être. Il faut tous les garder !

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