[Autres] Emotional instability of the end

Il y a tellement de choix à faire. Tellement de chemin. C'est comme un jeu vidéo. Il y a des quêtes optionnelles. Mais il y a la quête principale. Tu es pris dans un de ces bugs, la quête principale n'est plus valable. Et l'option de recommencer, elle existe pas, ici. Alors tu es là. Tu te demandes quel est le but. Faire toutes les quêtes optionnelles pour passer le temps ? En faire une, deux, trois, laisser tomber. Rester là. Bien présent, bien absent. Car au final, tous les personnages te répètent la même chose. Il n'y a plus de changement, ça n'avancera pas. Quelque part, peut être, une fois, plusieurs fois, ça à été le choc. Bouleversé d'être pris au piège, qui sait. Là c'est le néant. Comme s'il n'y avait plus de hauts et de bas, c'est constant. C'est chiant. T'es comme la nouvelle option. L'option ajoutable qui fait repartir le jeu. Part moment, ça semble si prêt. Mais sans joie ni mal, je le vois bien, ça ne marche pas. Et puis plus on attends, plus, finalement, on obtient rien. À la fin, je reviens à cet état de pensé. Faire les quêtes optionnelles. Une, deux, trois, laisser tomber. Bien présente, bien absente. Et quand on me répète là même chose, j'espère. J'attends. Même si je sais qu'il n'y aura rien au bout. J'espère. Je t'attends. Quand tu reviens, ça brûle toujours plus fort. Tes mensonges sont chaque fois sublime. Et j'espère. J'espère que tu n'arrêteras jamais de me mentir. J'espère que ses sentiments humains en toi s'estomperont. J'espère que tu ne ressentiras plus de chagrin, à me mentir de la sorte. J'espère que tu t'aimerais, à me mentir sans arrêt. Car que ce soit vrai, que ce soit faux, tu es ma quête principale, tu joues toujours aussi fort. Bien présent, bien absent. Tu joues toujours plus fort.

c'est d'la merde
c'est quoi cette obsession des jeunes français avec les phrases courtes ? on est la langue usant le plus de la ponctuation & vous vous contentez de faire des phrases courtes
on dirait un trailer loufoque

Parce que c'est Weby.

Ah j'ai dû oublier de changer de compte sur mobile. My bad.

"Passer un mois a, petit à petit, construire un espace pour accueillir une gamète. Jours après jours, on construis de petits vaisseaux sanguins pour renforcir cet habitat sécuritaire. Une fois par là, le cycle de l'oestrogène se dérègle et en envoie trop à travers le corps. Mal de seins épouvantables. Renflement, gonflement, ça devient dur et lourd, sensible et douloureux. Et puis tout ce lâche. Tout le contenue suit la trajectoire donnée par la gravité. Amen. Non seulement l'endomètre se détache, il se déchire, il s'arrache et saigne comme un boeuf. Tout meurt. Il fait chaud. Il fait froid. C'est la troisième guerre mondiale près de mon utérus. Le bas de mon dos est touché. Il est brisé. Ah mais ça va se reconstruire. Ça va se reconstruire. Et ça va tomber en ruine encore. Exactement comme les ponts au Québec. Mais tout va bien. Tout est normal."

J't'encule et j'aime ça.

C'est marrant la dernière, on dirait un truc posté sur Doctissimo ! 

"Passer un mois a, petit à petit, construire un espace pour accueillir une gamète. Jours après jours, on construis de petits vaisseaux sanguins pour renforcir cet habitat sécuritaire. Une fois par là, le cycle de l'oestrogène se dérègle et en envoie trop à travers le corps. Mal de seins épouvantables. Renflement, gonflement, ça devient dur et lourd, sensible et douloureux. Et puis tout ce lâche. Tout le contenue suit la trajectoire donnée par la gravité. Amen. Non seulement l'endomètre se détache, il se déchire, il s'arrache et saigne comme un boeuf. Tout meurt. Il fait chaud. Il fait froid. C'est la troisième guerre mondiale près de mon utérus. Le bas de mon dos est touché. Il est brisé. Ah mais ça va se reconstruire. Ça va se reconstruire. Et ça va tomber en ruine encore. Exactement comme les ponts au Québec. Mais tout va bien. Tout est normal."